C'tmrm la trempe de son cœur pour comprendre ce dont il était capable. A l'exemple des naturels, il était aussi plus impatient du frein que le Français. Il faut qu'un Canadien soit convaincu de la valeur de son capitaine/ pour qu'il lui obéisse,... Les machabeés canadiens - Page 11de François Marie Uncas Maximilien Bibaud - 1859 - 28 pagesAffichage du livre entier - À propos de ce livre
| François Marie Uncas Maximilien Bibaud - 1858 - 118 pages
...intérêts de notre race ? connu était i plus impatient du frein que le Français. Il faut qit'un Canadien soit convaincu de la valeur de son capitaine,...connaissait intimement. Quand on parle de nos guerriers d'autrefois, il faut donc les rapprocher tant soit peu de l'enfant de la nature. C'est peut être pour... | |
| François Marie Uncas Maximilien Bibaud - 1859 - 42 pages
...à" ' l'envi las ititérêts de notie race ? C'tmrm la trempe de son cœur pour comprendre ce dont il était capable. A l'exemple des naturels, il était...connaissait intimement. Quand on parle de nos guerriers d'autrefois, il faut donc les rapprocher tant soit peu de l'enfant de la nature. C'est peut être pour... | |
| Joseph-Edmond Roy - 1897 - 674 pages
...inanses germaniques du moyen âge. Le capitaine de milice était choisi par les colons eux-mêmes. " II faut qu'un Canadien soit convaincu de la valeur de son capitaine pour qu'il lui obéisse," dit la • Potherie (i). Avec un chef de leur choix ces braves gêna pouvaient faire des prodiges. . En... | |
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