... l'impression que fit sur moi le chant de guerre des Franks eut quelque chose d'électrique. Je quittai la place où j'étais assis, et, marchant d'un bout à l'autre de la salle, je répétai à haute voix et en faisant sonner mes pas sur le pavé... La sincerite religieuse de Chateaubrland - Page 35by Georges Bertrin - 1900 - 24413 pagesFull view - About this book
 | Alexandre Rodolphe Vinet - French literature - 1908
...corps demi-nus. A. mesure que se déroulait à mes yeux le contraste si dramatique du guerrier sauvage et du soldat civilisé, j'étais saisi, de plus en...pavé : » — Pharamond ! Pharamond ! nous avons combattu avec l'épée. j Nous avons lancé la francisque à deux tranchants ; la sueur tombait du... | |
 | François-René vicomte de Chateaubriand - 1912 - 328 pages
...vocation d'historien. « L'impression que fit sur moi le chant de guerre des Francs, écrit-il, est quelque chose d'électrique. Je quittai la place où...bout à l'autre de la salle, je répétai à haute vois et en faisant sonner mes pas sur le pavé : « Pharamond! Pharamond! nous « avons combattu avec... | |
 | Donald G. Charlton - History - 1984 - 240 pages
...deroulait a mes yeux le contraste si drnmatique du guerrier sauvage et du soldat civilise, j'eta1s saisi de plus en plus vivement; l'impression que fit sur moi le chant de guerre des Franks est quelque chose d'electrique. Je quittai la place oil j'etais assis, et, marchant d'un bout a l'autre... | |
 | Augustin Hélie - 1854
...demi-nus. » -« A mesure que se déroulait à mes yeux le contraste * si dramatique du guerrier sauvage et du soldat civilisé, « j'étais saisi de plus...guerre des Franks eut quelque « chose d'électrique. « L'histoire nationale est, pour tous les hommes du '« même pays, une sorte de propriété commune... | |
 | Académie des sciences, belles-lettres et arts de Besançon - 1868
...et imposant.,... A mesure que se déroulait à mes yeux le contraste dramatique du guerrier sauvage et du soldat civilisé, j'étais saisi de plus en...L'impression que fit sur moi le chant de guerre des Francs eut quelque chose d'électrique; je quittai la place où j'étais assis, et, marchant d'un bout... | |
 | France - 1841
...corps demi-nus. A mesure que se déroulait à mes yeux le contraste.si dramatique du guerrier sauvage et du soldat civilisé , j'étais saisi de plus en...l'impression que fit sur moi le chant de guerre des Francs, eut quelque chose d'électrique. Je quittai le place où j'étais assis, et, marchant d'un... | |
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