Quand tu cesseras d'être l'objet de nos sollicitudes, nous aurons cessé de vivre. Si tu savais combien de pleurs tes erreurs ont fait répandre à notre respectable mère, combien elles paraissent déplorables à tout ce qui pense et fait profession... Chateaubriand - Page 43by Agénor Bardoux - 1893 - 239 pagesFull view - About this book
| Villemain (M., Abel-François) - 1858 - 580 pages
...poignante, par les reproches affectueux, qu'elle adressait à son frère : « Si tu « savais, disait-elle, combien de pleurs tes erreurs ont fait « répandre à notre respectable mère, combien elles pa« raissentdéplorables à tout ce qui pense et fait profession, « non pas de piété, mais de raison... | |
| Charles Augustin Sainte-Beuve - French literature - 1861 - 428 pages
...funeste... Quand tu cesseras d'être l'objet de nos sollicitudes, nous aurons cessé de vivre. Si tu savais combien de pleurs tes erreurs ont fait répandre à...déplorables à tout ce qui pense et fait profession non-seulement de piété, mais de raison ; si tu le savais, peut-être cela contribuerait-il à t'ouvrir... | |
| François-René vicomte de Chateaubriand - 1861 - 682 pages
...funeste... Quand tu cesseras d'être l'objet de nos sollicitudes , nous aurons cessé de vivre. Si tu savais combien de pleurs tes erreurs ont fait répandre à...déplorables à tout ce qui pense et fait profession non-seulement de piété, mais de raison; si tu le savois, peut-être cela contribueroit-il à t'ouvrir... | |
| Charles-Augustin Sainte-Beuve - French literature - 1861 - 426 pages
...de vivre. Si tu savais combien de pleurs tes erreurs ont fait répandre à notre respectable mèrv, combien elles paraissent déplorables à tout ce qui pense et fait profession non-seulement de piété, mais de raison ; si tu le savais, peut-être cela contribuerait-il à t'ouvrir... | |
| Alphonse de Lamartine - Authors, French - 1869 - 424 pages
...funeste... Quand tu cesseras d'être l'objet de nos sollicitudes, nous aurons cessé de vivre. Si tu savais combien de pleurs tes erreurs ont fait répandre à...déplorables à tout ce qui pense et fait profession non-seulement de piété. mais de raison ; si tu le savais, peut-être cela contribuerait-il à t'ouvrir... | |
| François-René vicomte de Chateaubriand - 1863 - 712 pages
...quand tu cesseras d'être l'objet de nos sollicite tuiles, nous aurons cessé de vivre. Si tu savais combien de pleurs tes erreurs ont fait répandre «...respectable mère, combien elles paraissent déplorables à lout ce qui pense et fait « profession non-seulement de piété, mais de raison; si tu le savais,... | |
| François-René vicomte de Chateaubriand - 1874 - 394 pages
...Quand tu cesseras d'être l'objet de nos sollicitudes, » nous aurons cessé de vivre. Si tu savais combien » de pleurs tes erreurs ont fait répandre...notre » respectable mère, combien elles paraissent déplo» râbles ci tout ce qui pense et l'ait profession non» seulement de piété, mais de raison;... | |
| Antonin Roche - French literature - 1878 - 444 pages
...savais combien de pleurs tes erreurs ont fait répaadre à notre respectable mère, ajoutait-elle, combien elles paraissent déplorables à tout ce qui pense et fait profession nonseulement de piété, mais de raison : si tu le savais, peut-être cela contribuerait-il à t'ouvrir... | |
| Charles Antoine Gidel - French literature - 1883 - 546 pages
...une funeste atteinte, puisque sa sœur, Mmc Farcy, lui écrivait dans ces termes : « Si tu savais combien de pleurs tes erreurs ont fait répandre à...déplorables à tout ce qui pense et fait profession non-seulement de piété, maïs de raison... » Ne s'agissait-il que des sophismes et des déclamations... | |
| France - 1890 - 972 pages
...nous venons de perdre la meilleure des mères ; je t'annonce à regret ce coup funeste... Si tu savais combien de pleurs tes erreurs ont fait répandre à...déplorables à tout ce qui pense et fait profession non-seulement de piété, mais de raison; si tu le savais, peut-être cela contribuerait-il à t'ouvrir... | |
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