Je voyais dans les mains de cet ange un long dard qui était d'or, et dont la pointe en fer avait à l'extrémité un peu de feu. De temps en temps, il le plongeait au travers de mon cœur, et l'enfonçait jusqu'aux entrailles; en le retirant, il semblait... La lanterne - Page 175de Arthur Buies - 1884 - 336 pagesAffichage du livre entier - À propos de ce livre
| Teresa (st.) - 1857 - 746 pages
...dire. Je voyais dans les mains de cet ange un long dard qui était d'or , et dont la pointe en fer avait à l'extrémité un peu de feu. De temps en...cette blessure était si vive, qu'elle m'arrachait ces faibles soupirs dont je parlais naguère : mais cet indicible martyre me faisait goûter en même... | |
| Charles Letourneau - 1868 - 256 pages
...corporelle... Je voyais dans les mains de cet ange un long dard qui était d'or, et dont la pointe de fer avait à l'extrémité un peu de feu. De temps en...jusqu'aux entrailles. « En le retirant, il semblait les emporter avec ce dard et me laissait tout embrasée d'amour de Dieu. La douleur de cette blessure... | |
| Jean Baptiste Alphonse KARR - 1869 - 336 pages
...voyais près de moi, à ma gauche, un ange, sous une forme corporelle ; il était très-beau, son visage enflammé. Il avait dans la main un long dard qui...emporter avec ce dard, et me laissait tout embrasée de l'amour de Dieu. » La douleur de cette blessure était si vive, quelle m'arrachait de faibles soupirs... | |
| Saint Teresa (of Avila) - 1884 - 742 pages
...saurais dire. Je voyais dans les mains de cet ange un long dard qui était d'or, et dont la pointe en fer avait à l'extrémité un peu de feu. De temps en...au travers de mon cœur, et l'enfonçait jusqu'aux entraillés ; en le retirant, il semblait me les emporter avec 1. C'est-à-dire la vision intellectuelle... | |
| Georges Gilles de la Tourette - 1891 - 612 pages
...mains de cet ange un long dard qui était d'or, et dont la pointe en fer avait à l'extré• mité un peu de feu. De temps en temps, il le plongeait...cette blessure était si vive qu'elle m'arrachait ces faibles soupirs dont je parlais naguère; mais cet indicible martyre me faisait goûter, en même... | |
| 1902 - 700 pages
...et très bel ange. 11 avait dans les mains « un long dard'qui était d'or et dont la pointe en fer avait à l'extrémité un peu de feu. De temps en...laissait tout embrasée d'amour de Dieu. La douleur de celte blessure était si vive, qu'elle m'arrachait ces faibles soupirs.... mais cet indicible martyre... | |
| Henri Joly - 1902 - 556 pages
...amour — Je voyais dans les mains de cet ange un long dard qui était d'or, et dont la pointe en fer avait à l'extrémité un peu de feu. De temps en...semblait me les emporter avec ce dard et me laissait toute embrasée d'amour de Dieu. « La douleur de cette blessure était si vive qu'elle m'arrachait... | |
| 1902 - 682 pages
...et très bel ange. 11 avait dans les mains «. un long dard qui était d'or et dont la pointe en fer avait à l'extrémité un peu de feu. De temps en...jusqu'aux entrailles; en le retirant, il semblait me les]emporter avec ce dard et me laissait lout embrasée d'amour de Dieu. La douleur de celte blessure... | |
| 1903 - 720 pages
...beau... Je voyais dans les mains de cet ange un long dard qui était d'or, et dont la pointe en fer avait à l'extrémité un peu de feu. De temps en...retirant, il semblait me les emporter avec ce dard, el me laissait tout embrasée d'amour de Dieu. La douleur de cette blessure était si vive, qu'elle... | |
| 1903 - 698 pages
...Je voyais dans les mains de cet ange un long dard qui était d'or, et dont la pointe en fer avait a l'extrémité un peu de feu. De temps en temps, il le plongeait au travers de mon cœur, el l'enfonçait jusqu'aux entrailles; en le retirant, il semblait me les emporter avec ce dard, et... | |
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