| Jean-Sifrein Maury - Oratory - 1810 - 742 pages
...forte» ment que vous-même : il ne reste donc plus » qu'un seul remède à nos maux. Imitez la » bonte de Dieu : outragé par ses Créatures, il » leur a ouvert les Cieux. J'ose le dire, grand » Prince ! si vous nous pardonnez, nous devrons » notre salut à votre indulgence;... | |
| Jean Jacques Fillassier - 1818 - 542 pages
...contre nous plus fortement que vous-même. Ilnereste à nosmaux qu'un seul remède. Imitez la bonté de Dieu : outragé par ses créatures , il leur a ouvert les cieux. J ose le dire, grand prince , si vous nous pardonnez , nous devons notre salut à votre indulgence... | |
| Jean Jacques Fillassier - Conduct of life - 1818 - 540 pages
...contre nous plus fortement que vous-même. Une reste à nos maux qu'un seul remède. Imitez la bonté de Dieu : outragé par ses créatures , il leur a ouvert les cieux. J'ose Je dire, grand prince , si vous nous pardonnez , nous devons notre salut à votre indulgence... | |
| Charles Le Beau - Byzantine Empire - 1824 - 482 pages
...nous plus fortement que vous-même. « II ne reste à nos maux qu'un senl remède. Imitez la « bonté de Dieu : outragé par ses créatures , il leur a « ouvert les cieux. J'ose le dire, grand prince; si vous « nous pardonnez , nous devrons notre salut à votre « indulgence... | |
| Jean Siffrein Maury - Eloquence - 1827 - 460 pages
...fortement que vous- ' « même : il ne reste donc plus qu'un seul re« méde à nos maux. Imitez la bonté de Dieu : « outragé par ses créatures , il leur a ouvert « les cieux. J'ose le dire, grand prince ! si vous « nous pardonnez, nous devrons notre salut à « votre indulgence... | |
| Louis Théodore Ventouillac - 1832 - 270 pages
...contre nous plus fortement que nous-mêmes. Il ne reste à nos maux qu'un seul remède. Imitez la bonté de Dieu : outragé par ses créatures, il leur a ouvert les cieux. J'ose le dire, grand prince, si vous nous pardonnez, nous devrons notre salut à votre indulgence ;... | |
| abbé Jean-Baptiste Bergier - 1856 - 516 pages
...contre nous plus fortement que vous-même. Il ne reste à nos maux qu'un seul remède. Imitez la bonté de Dieu : outragé par ses créatures, il leur a ouvert les cieux. J'ose le dire, grand prince; si vous nous pardonnez nous devrons notre salut à votre indulgence, mais... | |
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