Rabelais medecin: notes et commentaires. Le quart-livreThe fourth (and last?) of a series inaugurated by Brémond in 1879, under the general title of "Rabelais médecin," in which he edits the books of Gargantua and Pantagruel separately with reference to "chaque passage relatif á la medécine ... chaque terme médical." cf. Préambule, p. [3]. |
Other editions - View all
Common terms and phrases
accous advis Alcman Andouilles animal aulcune aultres aureilles avecques avoient avoit Basché beau belle bous c'estoient c'estoit cagots ceste cestui CHAPITRE chascun Chiquanous chose cieulx coingnée cousté decretales diable dict disoit dist frere Jean dist Pantagruel dist Panurge Epistemon Escoutez escrit esquels estant esté estoient estoit estonnés estre eust faict faisoit fasché fault femme François Ier fust Galien Gargantua Gaster gens gents gruel gueule Guy de Chauliac hault Hippocrate hist homme horrifique inse isle jour joyeux l'aultre l'isle loing Macrobe maistre malade médecin ment mesme mort motz moutons nauf nommé nopces note nurge onques oultre Panta Pantagruel paour pere plaisir Pline poinct proverbe QUART-LIVRE Rabelais renard respondit Panurge Rhizotome s'escria sainct salive saulver sçavoir seigneur seroit serpent soubdain tagruel tempeste terre teste tion toutesfois traict Truye urine vent ventre Vertus Dieu veulx Xenomanes Zalas
Popular passages
Page 57 - Nous estions bien bonne compagnie de gens studieux, amateurs de peregrinité, et convoiteux de visiter les gens doctes, antiquités, et singularités d'Italie. Et lors curieusement contemplions l'assiette et beauté de Florence, la structure du dôme, la sumptuosité des temples et palais magnificques.
Page 105 - Nous plaît que tous les médecins de Notre royaume, soient tenus le second jour qu'ils visiteront les malades attaqués de fièvre ou autre maladie, qui par sa nature peut avoir trait à la mort, de les avertir de se confesser, ou de leur en faire donner avis par...
Page 108 - Il n'avoit encores achevé le dernier mot, quand furent entendus grands souspirs, grandes lamentations et effrois en terre, non d'une personne seule, mais de plusieurs ensemble. Ceste nouvelle (parce que plusieurs avoient été présents) fut bien tost divulguée en Rome.
Page 80 - Soubdain la mer commença à s'enfler et tumultuer du bas abysme; les fortes vagues battre les flancs de nos vaisseaulx; le maistral, accompaigné d'un cole effréné, de noires gruppades, de terribles sions, de mortelles bourrasques, siffler à travers nos antemnes. Le ciel tonner du hault, fouldroyer, esclairer...
Page 49 - ... estre le plus sot et inepte animant du monde. Le marchant, tout effrayé de ce que devant ses yeulx périr voyoit et noyer ses moutons, s'efforçoit les empescher et retenir de tout son pouvoir.
Page 109 - Pan, veu que il est le nostre Tout, tout ce que sommes, tout ce que vivons, tout ce que avons, tout ce que esperons est luy, en luy, de luy, par luy. C'est le bon Pan, le grand pasteur, qui, comme atteste le bergier passionné Corydon, non seulement a en amour et affection ses brebis, mais aussi ses bergiers.
Page 137 - Mellusine, leur premiere fondatrice, avoit corps fceminin jusques aux boursavitz, et que le reste en bas estoit andouille serpentine , ou bien serpent andouillicque.
Page 105 - ... enfans, parens et amis, du décès imminent du mary, père, ou prochain, affin, qu'en ce reste de temps qu'il a de vivre, ilz l'admonnestent donner ordre à sa maison, exhorter et benistre ses enfans, recommander la viduité de sa femme...
Page 49 - Panurge, sans aultre chose dire, jette en pleine mer son mouton criant et bellant. Tous les aultres moutons, crians et bellans en pareille intonation, commencerent soy jecter et saulter en mer après, à la file.
Page 188 - Nous y vismes des motz de gueule, des motz de sinople, des motz d'azur, des motz de sable, des motz dorés. Lesquelz, estre quelque peu eschauffés entre nos mains, fondoient comme neige, et les oyons realement, mais ne les entendions, car c'estoit langaige barbare.