Causeries historiques et littérairesM. Levy, 1861 - French essays |
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... tombes ? Ils n'éveillaient ni espérances ni échos ! Loin de regarder en arrière , le peuple arrivait à une sorte d'adoration du présent . Il se précipitait au - devant d'Auguste , des branches de lauriers à la main et ET LITTÉRAIRES 69.
... tombes ? Ils n'éveillaient ni espérances ni échos ! Loin de regarder en arrière , le peuple arrivait à une sorte d'adoration du présent . Il se précipitait au - devant d'Auguste , des branches de lauriers à la main et ET LITTÉRAIRES 69.
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... tombe la tradition romaine . Les barbares grossissaient les légions , les étrangers affluaient à Rome ; la natio- nalité , que n'entretenaient plus les institutions primi- tives , s'effaçait rapidement . Auguste et ses amis s'ef ...
... tombe la tradition romaine . Les barbares grossissaient les légions , les étrangers affluaient à Rome ; la natio- nalité , que n'entretenaient plus les institutions primi- tives , s'effaçait rapidement . Auguste et ses amis s'ef ...
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... tombe avec son cortége de brigands , d'empoisonneurs et d'assassins ; il monte sur le trône impérial , où il s'éternise sous les noms de Ti- bère , de Caligula , de Claude et de Néron ! C'est là ce qu'on a appelé l'ère des Césars ! Une ...
... tombe avec son cortége de brigands , d'empoisonneurs et d'assassins ; il monte sur le trône impérial , où il s'éternise sous les noms de Ti- bère , de Caligula , de Claude et de Néron ! C'est là ce qu'on a appelé l'ère des Césars ! Une ...
Page 159
... tombes elles - mêmes sont destinées à périr . Pèse Annibal ! combien de livres de cendre dans ce grand capitaine ? Le voilà celui que ne pouvait conte- nir l'Afrique , depuis la rive battue par l'océan mauri- tanien jusqu'aux bouches ...
... tombes elles - mêmes sont destinées à périr . Pèse Annibal ! combien de livres de cendre dans ce grand capitaine ? Le voilà celui que ne pouvait conte- nir l'Afrique , depuis la rive battue par l'océan mauri- tanien jusqu'aux bouches ...
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... 'apaise , la fumée se dissipe , la poussière tombe , et , sur ces ruines sanglan- tes , on aperçoit ces barbares les deux mains sur leur épée et à genoux devant la croix ! Nous y sommes donc enfin arrivés . - Cette longue ET LITTÉRAIRES ...
... 'apaise , la fumée se dissipe , la poussière tombe , et , sur ces ruines sanglan- tes , on aperçoit ces barbares les deux mains sur leur épée et à genoux devant la croix ! Nous y sommes donc enfin arrivés . - Cette longue ET LITTÉRAIRES ...
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Common terms and phrases
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Popular passages
Page 283 - Mais vois cette âme immobile qui, seule et tout à l'écart, regarde vers nous; celle-là nous enseignera la voie la plus courte. » Nous vînmes à elle : ô âme lombarde ! comme tu te tenais altière et dédaigneuse ! en tournant vers nous les yeux, que tu étais noble et grave ! Elle ne disait pas une parole , mais nous laissait venir, regardant seulement à la manière d'un lion qui se repose...
Page 154 - Juvénal , élevé dans les cris de l'école , Poussa jusqu'à l'excès sa mordante hyperbole. Ses ouvrages, tout pleins d'affreuses vérités...
Page 28 - Et se tenant derrière lui, à ses pieds, elle commença à les arroser de ses larmes, et elle les essuyait avec ses cheveux, les baisait et y répandait ce parfum.
Page 154 - II brise de Séjan la statue adorée ; Soit qu'il fasse au conseil courir les sénateurs, D'un tyran soupçonneux pâles adulateurs ; Ou que , poussant à bout la luxure latine, Aux porte-faix de Rome il vende Messaline ; Ses écrits pleins de feu partout brillent aux yeux.
Page 29 - J'estime que c'est celui à qui il a le plus quitté. Jésus lui dit : Tu as fort bien jugé. 44 Alors, se tournant vers la femme, il dit à Simon : Vois-tu cette femme ? Je suis entré dans ta maison, et tu ne m'as point donné d'eau pour me laver les pieds ; mais elle a arrosé mes pieds de larmes, et les a essuyés avec ses cheveux.
Page 275 - Elles sont mêlées au chœur pervers des anges qui ne furent ni rebelles ni fidèles à Dieu, mais ne furent que pour eux seuls.
Page 218 - C'est la reine d'Espagne; ils la baptisent sous le nom de Julienne; elle devient chrétienne, et du fond de son cœur. Le jour s'en va, la nuit couvre la terre, l'ange connu de Charles, saint Gabriel, descend à son chevet, et lui dit de la part de Dieu : « A la cité que les païens assiégent, Charles, il te faut marcher ! les chrétiens à grands cris te réclament.
Page 216 - A ces mots, la mort l'entreprend et lui gagne le cœur. Sur l'herbe verte il s'étend, couche sous lui son épée et son cher olifant; puis, tournant le visage vers la gent sarrasine. afin que Charles et les siens disent en le trouvant là qu'il est mort conquérant, il se frappe la poitrine et demande à Dieu .merci. De maintes choses lui vient la souvenance ! de tant de beaux combats, de sa douce patrie, des gens de son lignage, de Charles, son seigneur, qui l'a nourri ! et sur luimême aussi...
Page 76 - D'Horace sous leur main ou du tendre Virgile Lecteurs toujours épris , ne tiennent que par eux Au cercle délicat des mortels généreux ! La Muse des Latins, c'est de la Grèce encore ; Son miel est pris des fleurs que l'autre fit éclore. N'ayant pas eu du ciel , par des dons aussi beaux , Grappes en plein soleil , vendange à pleins coteaux , Cette Muse moins prompte et plus industrieuse Travailla le nectar dans sa fraude pieuse , Le scellâ dans l'amphore, et là, sans plus l'ouvrir, Jusque...
Page 76 - N'ayant pas eu du ciel, par des dons aussi beaux, Grappes en plein soleil, vendange à pleins coteaux, Cette muse moins prompte et plus industrieuse, Travailla le nectar, dans sa fraude pieuse, Le scella dans l'amphore, et là, sans plus l'ouvrir, Jusque sous neuf consuls, lui permit de mûrir. — Le nectar, condensant ses vertus enfermées, A propos redoubla de douceurs consommées, Prit une saveur propre, un goût délicieux, Digne en tout du festin des pontifes des dieux.