Causeries historiques et littérairesM. Levy, 1861 - French essays |
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... maître , lui persuade de consentir en apparence au mariage qu'on lui propose , parce qu'il sait que Chrémès vient de retirer sa parole ; mais Simon ramène celui - ci à leur premier projet , si bien que Pamphile se trouve pris . Dave ...
... maître , lui persuade de consentir en apparence au mariage qu'on lui propose , parce qu'il sait que Chrémès vient de retirer sa parole ; mais Simon ramène celui - ci à leur premier projet , si bien que Pamphile se trouve pris . Dave ...
Page 6
... maître , vous êtes un homme perdu ! Dès qu'elle vous saura vaincu , vous deviendrez son jouet . PHÉDRIA . Voyons , pendant qu'il en est temps encore , calculons bien ... PARMÉNON . Eh ! grands dieux ! le moyen de 6 CAUSERIES HISTORIQUES.
... maître , vous êtes un homme perdu ! Dès qu'elle vous saura vaincu , vous deviendrez son jouet . PHÉDRIA . Voyons , pendant qu'il en est temps encore , calculons bien ... PARMÉNON . Eh ! grands dieux ! le moyen de 6 CAUSERIES HISTORIQUES.
Page 17
... maître de la maison et enlève une jeune fille qui y était enfermée ! Déméa , qui l'apprend , arrive furieux , et se plaint à Micion , qui lui répond que tout est bien . MICION . Voyons , est - ce un si grand crime , après tout , qu'un ...
... maître de la maison et enlève une jeune fille qui y était enfermée ! Déméa , qui l'apprend , arrive furieux , et se plaint à Micion , qui lui répond que tout est bien . MICION . Voyons , est - ce un si grand crime , après tout , qu'un ...
Page 49
... maître de son in- dignation , il court à la tribune et s'écrie : Jusque à quand , Catilina , abuseras - tu de notre pa- tience ? combien de temps encore ta fureur osera - t- elle nous braver ? Quoi donc , ni les gardes qui veillent la ...
... maître de son in- dignation , il court à la tribune et s'écrie : Jusque à quand , Catilina , abuseras - tu de notre pa- tience ? combien de temps encore ta fureur osera - t- elle nous braver ? Quoi donc , ni les gardes qui veillent la ...
Page 77
... maître leur sert la liqueur enrichie Dans sa coupe facile et toujours rafraîchie . Faut - il en conclure que la littérature du siècle d'Au- guste n'a point de caractère historique et n'a gardé au- cune empreinte ? Nullement . La ...
... maître leur sert la liqueur enrichie Dans sa coupe facile et toujours rafraîchie . Faut - il en conclure que la littérature du siècle d'Au- guste n'a point de caractère historique et n'a gardé au- cune empreinte ? Nullement . La ...
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Common terms and phrases
accent âme amis amour arrive Aude avaient avez Barkman bonheur bras c'était Catilina César Chant de Roland charmante cher chose Chriemhild Cicéron citoyen cœur Comédie cousine Cratinus d'Auguste Dante demanda Démosthène devant Dieu dire dit-il Divine Comédie donner Dorothée Énée enfin eût Évandre fit observer forestier frappé Frédéric génie Grèce Guelfes Herman homme Horace instant interrompit j'ai jeune femme jeune fille Jorg jour Kaufman l'avait laissa latin Leuthold Lina lui-même madame Dalchid main major ment monde monsieur le comte mort mourir Müller Münden n'avait Néron Niebelungen parler parole passé pasteur pensée père peuple pleurer poëme poëte porte pouvait raison Raphaël regard répliqua répondit reprit république reste rien romain Rome Rudolphe s'écria s'était sais Salluste Séjan semble sénat Sennhutten sent seul siècle Siegfried sorte Stankar Suétone Sylla Térence tête Tibère tion Tite-Live trouve venait Verrès veux vieillard Virgile visage voilà voix voulut Wilhelmine Wrangel yeux
Popular passages
Page 283 - Mais vois cette âme immobile qui, seule et tout à l'écart, regarde vers nous; celle-là nous enseignera la voie la plus courte. » Nous vînmes à elle : ô âme lombarde ! comme tu te tenais altière et dédaigneuse ! en tournant vers nous les yeux, que tu étais noble et grave ! Elle ne disait pas une parole , mais nous laissait venir, regardant seulement à la manière d'un lion qui se repose...
Page 154 - Juvénal , élevé dans les cris de l'école , Poussa jusqu'à l'excès sa mordante hyperbole. Ses ouvrages, tout pleins d'affreuses vérités...
Page 28 - Et se tenant derrière lui, à ses pieds, elle commença à les arroser de ses larmes, et elle les essuyait avec ses cheveux, les baisait et y répandait ce parfum.
Page 154 - II brise de Séjan la statue adorée ; Soit qu'il fasse au conseil courir les sénateurs, D'un tyran soupçonneux pâles adulateurs ; Ou que , poussant à bout la luxure latine, Aux porte-faix de Rome il vende Messaline ; Ses écrits pleins de feu partout brillent aux yeux.
Page 29 - J'estime que c'est celui à qui il a le plus quitté. Jésus lui dit : Tu as fort bien jugé. 44 Alors, se tournant vers la femme, il dit à Simon : Vois-tu cette femme ? Je suis entré dans ta maison, et tu ne m'as point donné d'eau pour me laver les pieds ; mais elle a arrosé mes pieds de larmes, et les a essuyés avec ses cheveux.
Page 275 - Elles sont mêlées au chœur pervers des anges qui ne furent ni rebelles ni fidèles à Dieu, mais ne furent que pour eux seuls.
Page 218 - C'est la reine d'Espagne; ils la baptisent sous le nom de Julienne; elle devient chrétienne, et du fond de son cœur. Le jour s'en va, la nuit couvre la terre, l'ange connu de Charles, saint Gabriel, descend à son chevet, et lui dit de la part de Dieu : « A la cité que les païens assiégent, Charles, il te faut marcher ! les chrétiens à grands cris te réclament.
Page 216 - A ces mots, la mort l'entreprend et lui gagne le cœur. Sur l'herbe verte il s'étend, couche sous lui son épée et son cher olifant; puis, tournant le visage vers la gent sarrasine. afin que Charles et les siens disent en le trouvant là qu'il est mort conquérant, il se frappe la poitrine et demande à Dieu .merci. De maintes choses lui vient la souvenance ! de tant de beaux combats, de sa douce patrie, des gens de son lignage, de Charles, son seigneur, qui l'a nourri ! et sur luimême aussi...
Page 76 - D'Horace sous leur main ou du tendre Virgile Lecteurs toujours épris , ne tiennent que par eux Au cercle délicat des mortels généreux ! La Muse des Latins, c'est de la Grèce encore ; Son miel est pris des fleurs que l'autre fit éclore. N'ayant pas eu du ciel , par des dons aussi beaux , Grappes en plein soleil , vendange à pleins coteaux , Cette Muse moins prompte et plus industrieuse Travailla le nectar dans sa fraude pieuse , Le scellâ dans l'amphore, et là, sans plus l'ouvrir, Jusque...
Page 76 - N'ayant pas eu du ciel, par des dons aussi beaux, Grappes en plein soleil, vendange à pleins coteaux, Cette muse moins prompte et plus industrieuse, Travailla le nectar, dans sa fraude pieuse, Le scella dans l'amphore, et là, sans plus l'ouvrir, Jusque sous neuf consuls, lui permit de mûrir. — Le nectar, condensant ses vertus enfermées, A propos redoubla de douceurs consommées, Prit une saveur propre, un goût délicieux, Digne en tout du festin des pontifes des dieux.