Causeries historiques et littérairesM. Levy, 1861 - French essays |
From inside the book
Results 1-5 of 18
Page 10
... latin son intention ; vous allez voir ce qu'il en a fait . C'est aussi un père qui consulte , non des amis , mais des médecins , sur l'état de sa fille qui se meurt d'a- mour : SCÈNE IV . SGANARELLE , MM . TOMÈS , DES FONANDRÈS ...
... latin son intention ; vous allez voir ce qu'il en a fait . C'est aussi un père qui consulte , non des amis , mais des médecins , sur l'état de sa fille qui se meurt d'a- mour : SCÈNE IV . SGANARELLE , MM . TOMÈS , DES FONANDRÈS ...
Page 70
... . Rome se trouvait merveilleusement préparée pour un développement littéraire , qu'avaient jusqu'à ce moment contrarié les guerres civiles . Le latin dégrossi par En- nius et par Plaute , poli par Térence , avait 70 CAUSERIES HISTORIQUES.
... . Rome se trouvait merveilleusement préparée pour un développement littéraire , qu'avaient jusqu'à ce moment contrarié les guerres civiles . Le latin dégrossi par En- nius et par Plaute , poli par Térence , avait 70 CAUSERIES HISTORIQUES.
Page 71
... latin déjà parlé par Térence , par Catulle , par Cornélius Sévère ; qu'il vivait au temps de Cicéron et était presque con- temporain d'Horace et de Virgile ! Certes , à cette époque la langue latine pouvait être regardée comme complé ...
... latin déjà parlé par Térence , par Catulle , par Cornélius Sévère ; qu'il vivait au temps de Cicéron et était presque con- temporain d'Horace et de Virgile ! Certes , à cette époque la langue latine pouvait être regardée comme complé ...
Page 72
... latin étrusque ; mais parce que cet examen ne trouve point de place dans notre rapide esquisse des œuvres littéraires qui instruisent un siècle ou le reflètent . En développant dans ses vers le système d'Épicure , Lucrèce a cédé à une ...
... latin étrusque ; mais parce que cet examen ne trouve point de place dans notre rapide esquisse des œuvres littéraires qui instruisent un siècle ou le reflètent . En développant dans ses vers le système d'Épicure , Lucrèce a cédé à une ...
Page 73
... latin pouvait res- serrer la pensée dans une formule à la fois concise et étincelante ; il leur montra , dans la création , dans la philosophie et dans les scènes journalières , certaines sources poétiques jusqu'alors inexplorées ; là ...
... latin pouvait res- serrer la pensée dans une formule à la fois concise et étincelante ; il leur montra , dans la création , dans la philosophie et dans les scènes journalières , certaines sources poétiques jusqu'alors inexplorées ; là ...
Other editions - View all
Common terms and phrases
accent âme amis amour arrive Aude avaient avez Barkman bonheur bras c'était Catilina César Chant de Roland charmante cher chose Chriemhild Cicéron citoyen cœur Comédie cousine Cratinus d'Auguste Dante demanda Démosthène devant Dieu dire dit-il Divine Comédie donner Dorothée Énée enfin eût Évandre fit observer forestier frappé Frédéric génie Grèce Guelfes Herman homme Horace instant interrompit j'ai jeune femme jeune fille Jorg jour Kaufman l'avait laissa latin Leuthold Lina lui-même madame Dalchid main major ment monde monsieur le comte mort mourir Müller Münden n'avait Néron Niebelungen parler parole passé pasteur pensée père peuple pleurer poëme poëte porte pouvait raison Raphaël regard répliqua répondit reprit république reste rien romain Rome Rudolphe s'écria s'était sais Salluste Séjan semble sénat Sennhutten sent seul siècle Siegfried sorte Stankar Suétone Sylla Térence tête Tibère tion Tite-Live trouve venait Verrès veux vieillard Virgile visage voilà voix voulut Wilhelmine Wrangel yeux
Popular passages
Page 283 - Mais vois cette âme immobile qui, seule et tout à l'écart, regarde vers nous; celle-là nous enseignera la voie la plus courte. » Nous vînmes à elle : ô âme lombarde ! comme tu te tenais altière et dédaigneuse ! en tournant vers nous les yeux, que tu étais noble et grave ! Elle ne disait pas une parole , mais nous laissait venir, regardant seulement à la manière d'un lion qui se repose...
Page 154 - Juvénal , élevé dans les cris de l'école , Poussa jusqu'à l'excès sa mordante hyperbole. Ses ouvrages, tout pleins d'affreuses vérités...
Page 28 - Et se tenant derrière lui, à ses pieds, elle commença à les arroser de ses larmes, et elle les essuyait avec ses cheveux, les baisait et y répandait ce parfum.
Page 154 - II brise de Séjan la statue adorée ; Soit qu'il fasse au conseil courir les sénateurs, D'un tyran soupçonneux pâles adulateurs ; Ou que , poussant à bout la luxure latine, Aux porte-faix de Rome il vende Messaline ; Ses écrits pleins de feu partout brillent aux yeux.
Page 29 - J'estime que c'est celui à qui il a le plus quitté. Jésus lui dit : Tu as fort bien jugé. 44 Alors, se tournant vers la femme, il dit à Simon : Vois-tu cette femme ? Je suis entré dans ta maison, et tu ne m'as point donné d'eau pour me laver les pieds ; mais elle a arrosé mes pieds de larmes, et les a essuyés avec ses cheveux.
Page 275 - Elles sont mêlées au chœur pervers des anges qui ne furent ni rebelles ni fidèles à Dieu, mais ne furent que pour eux seuls.
Page 218 - C'est la reine d'Espagne; ils la baptisent sous le nom de Julienne; elle devient chrétienne, et du fond de son cœur. Le jour s'en va, la nuit couvre la terre, l'ange connu de Charles, saint Gabriel, descend à son chevet, et lui dit de la part de Dieu : « A la cité que les païens assiégent, Charles, il te faut marcher ! les chrétiens à grands cris te réclament.
Page 216 - A ces mots, la mort l'entreprend et lui gagne le cœur. Sur l'herbe verte il s'étend, couche sous lui son épée et son cher olifant; puis, tournant le visage vers la gent sarrasine. afin que Charles et les siens disent en le trouvant là qu'il est mort conquérant, il se frappe la poitrine et demande à Dieu .merci. De maintes choses lui vient la souvenance ! de tant de beaux combats, de sa douce patrie, des gens de son lignage, de Charles, son seigneur, qui l'a nourri ! et sur luimême aussi...
Page 76 - D'Horace sous leur main ou du tendre Virgile Lecteurs toujours épris , ne tiennent que par eux Au cercle délicat des mortels généreux ! La Muse des Latins, c'est de la Grèce encore ; Son miel est pris des fleurs que l'autre fit éclore. N'ayant pas eu du ciel , par des dons aussi beaux , Grappes en plein soleil , vendange à pleins coteaux , Cette Muse moins prompte et plus industrieuse Travailla le nectar dans sa fraude pieuse , Le scellâ dans l'amphore, et là, sans plus l'ouvrir, Jusque...
Page 76 - N'ayant pas eu du ciel, par des dons aussi beaux, Grappes en plein soleil, vendange à pleins coteaux, Cette muse moins prompte et plus industrieuse, Travailla le nectar, dans sa fraude pieuse, Le scella dans l'amphore, et là, sans plus l'ouvrir, Jusque sous neuf consuls, lui permit de mûrir. — Le nectar, condensant ses vertus enfermées, A propos redoubla de douceurs consommées, Prit une saveur propre, un goût délicieux, Digne en tout du festin des pontifes des dieux.