Leçons et modèles de poésie française; or, Choice selections from the best French poets, with annotations by C.J. DelilleCharles Jean Delille 1841 |
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Page xxiii
... main rustique , Oisive par les champs , au labeur ne s'applique , Tout le corps périra , comme un grand bastiment Dont l'assiette n'a point de ferme fondement , Lequel au premier hurt que l'aquilon desserre , Avec horrible bruit est ...
... main rustique , Oisive par les champs , au labeur ne s'applique , Tout le corps périra , comme un grand bastiment Dont l'assiette n'a point de ferme fondement , Lequel au premier hurt que l'aquilon desserre , Avec horrible bruit est ...
Page 6
... main le droit de l'offensé . " De ce vers , " direz - vous , " l'expression est basse . " " Ah ! monsieur , pour ce vers je vous demande grâce , ” Répondra - t - il d'abord.— " Ce mot me semble froid ; Je le retrancherais . " " C'est le ...
... main le droit de l'offensé . " De ce vers , " direz - vous , " l'expression est basse . " " Ah ! monsieur , pour ce vers je vous demande grâce , ” Répondra - t - il d'abord.— " Ce mot me semble froid ; Je le retrancherais . " " C'est le ...
Page 14
... main des fleurs toujours écloses . Qu'Énée et ses vaisseaux , par le vent écartés , Soient aux bords africains d'un orage emportés ; Ce n'est qu'une aventure ordinaire et commune , Qu'un coup peu surprenant des traits de la fortune ...
... main des fleurs toujours écloses . Qu'Énée et ses vaisseaux , par le vent écartés , Soient aux bords africains d'un orage emportés ; Ce n'est qu'une aventure ordinaire et commune , Qu'un coup peu surprenant des traits de la fortune ...
Page 22
... main . Achève , et prends ma vie après un tel affront , Le premier dont ma race ait vu rougir son front . LE COMTE . Et que penses - tu faire avec tant de faiblesse ? D. DIÈGUE . Ô Dieu ! ma force usée en ce besoin me laisse ! LE COMTE ...
... main . Achève , et prends ma vie après un tel affront , Le premier dont ma race ait vu rougir son front . LE COMTE . Et que penses - tu faire avec tant de faiblesse ? D. DIÈGUE . Ô Dieu ! ma force usée en ce besoin me laisse ! LE COMTE ...
Page 27
... mais aux âmes bien nées La valeur n'attend point le nombre des années . LE COMTE . Te mesurer à moi ! qui t'a rendu si vain , Toi qu'on n'a jamais vu les armes à la main ? D. RODRIGUE . Mes pareils à deux fois ne se C 2 LE CID . 27.
... mais aux âmes bien nées La valeur n'attend point le nombre des années . LE COMTE . Te mesurer à moi ! qui t'a rendu si vain , Toi qu'on n'a jamais vu les armes à la main ? D. RODRIGUE . Mes pareils à deux fois ne se C 2 LE CID . 27.
Common terms and phrases
ABNER ACHILLE AGAMEMNON âme amour AMPHITRYON ARMANDE ATHALIE Auguste beau BÉLISE belle Boileau bras Britannicus Burrhus Calchas chant cher CHICANEAU Chimène CHRYSALE ciel cieux Cinna cloz CLYTEMNESTRE cœur combat COMTE COMTESSE Corneille coup courroux crime CURIACE DANDIN DANVILLE DIÈGUE Dieu dieux digne discours donne enfants enfin ennemis esprit Extrait des poésies fille fils FRANÇOIs Ier French frère funeste fureur gloire grec héros HORACE Iphigénie ISABELLE j'ai j'en jamais Jézabel JOAD JOAS JOSABETH jour juge L'INTIMÉ l'univers laisse langue LÉANDRE lévites lois madame MAHOMET main maître malheureux Mathan MERCURE mère Mithridate monsieur mort mourir NARCISSE NÉRON ORGON parle passer pensée père PETIT-JEAN peuple Pharnace PHILAMINTE pleurs poëme poëte prince qu'un raison rien rime RODRIGUE rois Romains Rome sais sang SCÈNE seigneur seul seyn sort SOSIE syllabes Tartuffe temple tragédie trembler TRISSOTIN trône VADIUS venger veux VIEIL HORACE voilà vois voix Voyez yeux
Popular passages
Page 4 - Enfin Malherbe vint, et, le premier en France, Fit sentir dans les vers une juste cadence, D'un mot mis en sa place enseigna le pouvoir. Et réduisit la Muse aux règles du devoir.
Page 100 - Misérable! et je vis! et je soutiens la vue De ce sacré soleil dont je suis descendue! J'ai pour aïeul le père et le maître des dieux ; Le ciel, tout l'univers est plein de mes aïeux : Où me cacher?
Page 5 - Sans la langue, en un mot , l'auteur le plus divin Est toujours, quoi qu'il fasse, un méchant écrivain.
Page 67 - Je suis maître de moi comme de l'univers ; Je le suis, je veux l'être. O siècles! ô mémoire ! Conservez à jamais ma dernière victoire ; Je triomphe aujourd'hui du plus juste courroux De qui le souvenir puisse aller jusqu'à vous. Soyons amis, Cinna, c'est moi qui t'en convie...
Page 102 - Tout son corps est couvert d'écailles jaunissantes. Indomptable taureau, dragon impétueux, Sa croupe se recourbe en replis tortueux ; Ses longs mugissements font trembler le rivage, Le ciel avec horreur voit ce monstre sauvage ; La terre s'en émeut, l'air en est infecté, Le flot qui l'apporta recule épouvanté.
Page 124 - Pleure, Jérusalem, pleure, cité perfide, Des prophètes divins malheureuse homicide : De son amour pour toi ton Dieu s'est dépouillé; Ton encens, à ses yeux, est un encens souillé. Où menez-vous ces enfants et ces femmes...
Page 123 - Mais d'où vient que mon cœur frémit d'un saint effroi ? Est-ce l'esprit divin qui s'empare de moi ? C'est lui-même ; il m'échauffe ; il parle ; mes yeux s'ouvrent, Et les siècles obscurs devant moi se découvrent.
Page 415 - L'augmenteront toujours ? Le malheur de ta fille au tombeau descendue Par un commun trépas, Est-ce quelque dédale où ta raison perdue Ne se retrouve pas ? Je sais de quels appas son enfance était pleine ; Et n'ai pas entrepris, Injurieux ami, de soulager ta peine Avecque son mépris.
Page 104 - Je viens, selon l'usage antique et solennel, . » Célébrer avec vous la fameuse journée Où sur le mont Sina la loi nous fut donnée. Que les temps sont changés ! Sitôt que de ce jour La trompette sacrée annonçait le retour, Du temple, orné partout de festons magnifiques, Le peuple saint en foule inondait les portiques...
Page 92 - Un prêtre , environné d'une foule cruelle , Portera sur ma fille une main criminelle ! Déchirera son sein ! et d'un œil curieux Dans son cœur palpitant consultera les dieux...