Séance publique [afterw.] Mémoires, Volume 23 |
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Common terms and phrases
2º classe âgé agricole animaux année août Arleux Aubert avez Baralle baron de Crèvecœur bestiaux Bourgogne bovine Bruyelle Cambray cambrésiens Cambrésis Cantimpré Charles charrue citerne commission comte concours Cruninghem cultivateur culture décerner docteur-médecin dudit engrais Esnes étables évêque de Cambrai Facon ferme Flament François François Ier hectares hectolitres Hem-Lenglet homme de lettres irrigations Iwuy Jean Jehan jour l'abbaye l'agriculture l'architecture l'arrondissement de Cambrai l'art l'auteur l'église L'empereur l'évêque laisser LEFRANCQ Licques Lille linier Louis XI maître Martin Guerre marqué de blanc mars Martin Guerre Maximilien médaille membres Mémoires ment Messieurs monuments mort mourut Nord notice octobre ovine Paillencourt pays péripneumonie Philippe pièce Pierre Pierres Jumelles poëtes première présenté président prime de 2º produit question race indigène rapport rouissage Saint Géri Saint-Aubert Saint-Souplet séance publique seigneur service seule siècle sieur Simencourt Société d'Emulation sucre taureau terre Tilh tion Tordeux travail vache de race Villers-Plouich WILBERT
Popular passages
Page 42 - A son souffle vivant Les germes dispersés dans la nature entière Tremblent comme frissonne une forêt au vent ! Oui , tout va , tout s'accroît. Les heures fugitives Laissent toutes leur trace. Un grand siècle a surgi, Et contemplant de loin de lumineuses rives , L'homme voit son destin comme un fleuve élargi. Mais parmi ces progrès dont notre âge se vante , Dans tout ce grand éclat d'un siècle éblouissant, Une chose , ô Jésus , en secret m'épouvante : C'est l'écho de ta voix qui va...
Page 61 - LA JEUNE TARENTINE Pleurez, doux alcyons ! ô vous, oiseaux sacrés, Oiseaux chers à Thétis, doux alcyons, pleurez ! Elle a vécu, Myrto, la jeune Tarentine ! Un vaisseau la portait aux bords de Camarine : Là, l'hymen, les chansons, les flûtes, lentement Devaient la reconduire au seuil de son amant.
Page 377 - L'art n'a que faire des lisières, des menottes, des bâillons; il vous dit : Va! et vous lâche dans ce grand jardin de poésie, où il n'ya pas de fruit défendu.
Page 51 - Le mal est ton spectacle, et l'homme est ta victime. Ton œil, comme Satan, a mesuré l'abîme, Et ton âme, y plongeant loin du jour et de Dieu, A dit à l'espérance un éternel adieu ! Comme lui, maintenant, régnant dans les ténèbres, Ton génie invincible éclate en chants funèbres; II triomphe, et ta voix, sur un mode infernal, Chante l'hymne de gloire au sombre dieu du mal. Mais que sert de lutter contre sa destinée?
Page 479 - Mémoire sur la fertilisation des landes de la Campine et des dunes, par M. Eenens. (Couronné et publié par l'Académie royale de Belgique). — 49.° Mémoires de la Société de statistique des Deux-Sèvres. II
Page 414 - La réduction du tarif de la loi de 1822 ou la substitution du droit au poids au droit par tête , aux frontières de l'est de la France...
Page 44 - ... qui précède le développement des passions, lorsque nos facultés, jeunes, actives, entières mais renfermées, ne se sont exercées que sur elles-mêmes, sans but et sans objet. Plus les peuples avancent en civilisation, plus cet état du vague des passions...
Page 378 - ... sous la forme qui est celle de l'Art, il est certain que l'Art, ayant épuisé le type fini du Beau correspondant à cette conception finie du Vrai, et ne pouvant aller au delà, ne saurait désormais, ou que tourner dans le même cercle, ou que décliner et se corrompre. Il faut pour avancer qu'il sorte de la voie déjà parcourue, que, par une conception plus parfaite du Vrai et du Bien, il découvre un type plus parfait du Beau ; et comme la conception croît toujours, se développe toujours,...
Page 311 - Paix des Dames, parce qu'il fut négocié par Marguerite d'Autriche, tante de Charles-Quint, et Louise de Savoie, mère de François...
Page 378 - On le voit, dans chacune de ses branches, l'Art , comme nous l'avons établi d'abord, n'est que la forme extérieure des idées, l'expression du dogme religieux et du principe social dominant à certaines époques.