Inventaire chronologique et analytique des chartes de la maison de Baux, Volume 289

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1882 - 30 pages
 

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Popular passages

Page vii - Etiennette, fille du dernier Comte. Le mobile qui le poussait à cette guerre, ne fut autre qu'un ardent patriotisme et le désir de soustraire la Provence au pouvoir d'un prince étranger, sous lequel elle devint vassale de la Catalogne, non par conquête, mais par la volonté de deux femmes et l'assistance d'une partie de la noblesse trop oublieuse de l'honneur national.
Page 20 - Le 9 octobre i 184, l'empereur Frédéric, reconnaissant des services que lui avaient rendus Bertrand de Baux Ier et ses frères, accordait à ses fils Guillaume, Bertrand et Hugues l'autorisation de battre monnaie dans la ville d'Orange, d'en garder tout le profit, puis le droit de porter leurs enseignes jusqu'au...
Page 550 - Restes de figures sculptées sur les sablières. Fenêtres à cintre brisé, avec meneaux flamboyants et colonneltes aux côtés. La fenêtre du fond du chœur est très-grande. Restes de vitraux ; armatures à dessins variés. Sur le vitrail du transept sud, on voit un chevalier tenant une épée de la main droite et de la gauche un écu blasonné, d'azur à la croix d'argent cantonnée de quatre fleurs de lis d'or. Les \itraux de la fenêtre du chœur ont été enlevés et remplacés par des panneaux...
Page i - Correspondant du Ministère de l'Instruction Publique , Président de la Société de Statistique de Marseille, etc., etc., etc.
Page 175 - Barr>s). était fixée comme limite du territoire de Lapalud avec celui de Pierrelatte (j). Le 4 décembre 1281, un paréage des biens paternels et maternels avait lieu entre Bertrand de Baux III et son frère Raymond, co-princes d'Orange et seigneur de Suze.
Page 556 - ... contre-scel. Il représente dans le champ saint Etienne à genoux, la tête de trois quarts, les mains jointes portées en avant, entre deux bourreaux seulement qui le lapident ; il a pour légende : f SIGILLVM-S-STEPHANI-DE-COMVNITATE-METTENSI. Le contre-scel représente dans le champ saint Paul, debout, tenant de la main droite une épée levée et de la gauche un livre ; il porte la légende : f SANCTVS-PAVLVS-APOSl.
Page 175 - Derboux, Rochegude, Solérieu, Chantemerle, La Palud, Taulignan, Montaigu, Stagnol et Audifred. Bertrand aura tous les droits de la famille sur la ville d'Orange, le territoire de Frigolet, le château de Courtheson, le domaine de Barbaras et sur les châteaux d'Octavion, la GardeParéol, Tulette et Valréas (i). Barry était donc alors un fief de la famille de Baux. Il le resta jusqu'aux dernières années du xiv° siècle ; mais, le 4 décembre 1586, Raymond...
Page 425 - Baux, chevalier, seigneur de Brantes, Plaisians et Caromb, qu'elle a depuis longtemps négligé les soins de son âme, à cause de la dureté de son cœur, de sa jalousie et méchanceté envers diverses personnes ; qu'elle a fait peu d'aumônes, parce qu'elle est pauvre; et qu'elle a de plus à se reprocher certains chagrins causés à son mari, auquel elle demande pardon, ainsi qu'aux personnes qu'elle a offensées, et déclare publiquement se repentir de ses fautes.
Page 286 - Mévouillon, parce que le père du vendeur avait substitué par son testament, en cas de mort de son fils sans héritier légitime, ses neveux Agout et Barrai de Baux, fils d'Agathe de Mévouillon, sœur du testateur, et parce que son frère Barrai lui avait fait abandon de ses droits.
Page 380 - Bretons y tenaient garnison (Arch. Nat., JJ 109, n° 386). 3. Bertrand ne fit qu'une très-courte apparition sur les confins du Limousin et du Périgord ; le 30 août 1370 , il était à Montauban où le duc de Molina, comte de Longueville et de Soria, donna quittance de 10 000 francs d'or, pour ses gages et ceux des gens d'armes de sa compagnie servant en Guyenne, « tant en la compaignie du dit monseigneur le duc (d'Anjou) comme autrement, estant es frontieres de Limosin et autre part ou dit duché...

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