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viret intus.- Window, quasi wind-door, an entrance to wind. Hudibras, P. ii. C. ii. 214.

And that they came in at a windore.

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Shade, quære from Hades, the abode of shadows?-Whole,őλos,, ov.-Dock, dexoμas, accipio.-Chop, xóтw, to cut; hence the phrase to chop logic, xóTTEIV λoyous, sermones cædere.-Amenable, perhaps from the Hebrew DN, veritas.—Hyphen, vo' ev, because the words between which it is placed are to be taken under one. Crash, xpál, clango.-Palliate, from pallium, a cloke.—Skiff, oxágos, scapha, idem.-Téuvw hence the Latin temno, and the English cant word to cut, i. e. to neglect or despise.-A tone, TóVos, from Tsivw that the origin of musical tones is derived from the tension of the strings, may be gathered from Euripides, (Alcest. 446.) who applies the epithet értárovos to the lyre; av Tì TOUETTάxOpdos (Schol. ad loc.).-Fancy, originally phansie, syncopated from phantasie or phantasy, pavracia.-Chalybeate, from the Chalybes, a people of Asia Minor, who possessed extensive iron mines. Euripid. Alcest. 1001.

καὶ τὸν ἐν Χαλύβοις δαμά

ζεις σὺ βία σίδαρον

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Generous, yevvaios, generosus.-Tire, Telpw, vexo.-Class, xλálw, to break. Monastery, povados rhgnois, the guard of solitariness or celibacy. Lemon, in his Etymological Dictionary, proposes a very strange derivation of this word; he says, "monastery seems to be compounded of man and astery, or astic, i. e. ab ào xew, exerceo, meditor, signifying the mansion, fane, or minster, where the monks are exercised in the strictest rules of discipline, and the most rigid precepts of severity." This reminds one of the French epigram; Alfeus vient d'equus, sans doute, &c.Ecstasy, exoraris, idem.-A sot, dowτos, idem.-To lick, λeixw, idem. So the English lamb may not improbably be deduced from the Latin lambo.-Deal, anciently and still vulgarly pronounced as if written dale, daλòs, a brand. Eschylus (Choceph. 604.) says of Althea, the mother of Meleager,

καουσα παιδὸς δαφοινὸν
δαλὸν ἥλικ

Cardinal, cardo, a hinge.-Baby, Baußaiva, to lisp or stammer; Ital. bambino, Fr. bambin. This etymon is beautifully illustrated by Minutius Felix (Octav. ii.) "relicta domo, conjuge, liberis, et, quod est in liberis amabilius, adhuc annis innocentibus, et adhuc dimidiata verba tentantibus, loquelam, ipso offensantis linguæ fragmine, dulciorem."-Portcullis, porta clausa, porte-close. By a similar analogy draw-bridge answers to the

ponte levatojo of the Italians, and pont levis of the French.Roach, rozzi occhj, red eyes.

11.-On turning over some Ms. papers, I met with the following epigram, which appears to me to possess much of the raciness of antiquity:

Ad Janum.

Jane bifrons, gemini qui tempora conspicis anni,
Præteriti clavem et qui venientis habes,
Nostrum perpetuo tuteris numine sæclum,
Vitaque felici stamine carpat iter.

Ut sit, Mors avida cum falce reciderit annos,
Maturæ segetis pondere onusta manus!

Tansor Parsonage, May 1825.

NOTICE OF

کتاب شکرستان در نحوي زبان پارسي تصنيف يونس

اوکسفردي

A GRAMMAR of the PERSIAN LANGUAGE, by SIR W. JONES; the 8th edition, with considerable additions and improvements, by the REV. S. LEE, Professor of Arabic at Cambridge.-Grammaire de la Langue Persane, par SIR W. JONES; 8' édition, considérablement augmentée et améliorée, par le Rev. S. LEE, &c. Londres, 1823. xviii et 212 pages. 4to.

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LA Grammaire Persane de William Jones avoit déjà reçu quelques augmentations et améliorations dans la sixième édition, donnée par M. Charles Wilkins, et on les retrouve dans la septième, publiée en 1809; mais celle que nous annonçons aujourd'hui, et que nous devons aux soins de M. Samuel Lee, se distingue de toutes les précédentes par des additions de diverse nature, qui ajoutent beaucoup au mérite de cet ouvrage et en augmentent considérablement l'utilité. C'est ce qui nous en

gage à la faire connoître avec quelque détail aux lecteurs du Journal des Savans.

Un avertissement, placé immédiatement après la préface de l'auteur, signale les additions dont on est redevable au nouvel éditeur. La principale est un abrégé de la Grammaire Arabe, réduite à ce qu'il est indispensable d'en savoir pour analyser et expliquer les textes écrits en cette langue, qui se rencontrent dans les livres Persans. Cet abrégé, quoiqu'il ne puisse pas dispenser les personnes qui veulent approfondir le système grammatical des Arabes, d'étudier les grammaires où ce système est présenté d'une manière plus complète, a, suivant M. Lee, l'avantage de donner des notions plus exactes que celles qu'on pouvoit puiser dans la grammaire de Richardson, qui n'est guère qu'une traduction de celle d'Erpenius, et qui d'ailleurs a le très-grand inconvénient d'être imprimée sans les voyelles. Sans contester la vérité de cela, nous persistons à penser que toute personne qui veut pouvoir lire un livre Persan, ne sauroit se dispenser d'apprendre l'Arabe, et que l'étude de cette langue doit précéder celle du Persan.

Dans les précédentes éditions de la Grammaire Persane de Jones, les voyelles avoient été omises, ce qui sans doute étoit beaucoup plus commode pour l'imprimeur, et même pour l'éditeur, mais mettoit les étudians dans la nécessité d'avoir un maître qui suppléât à ce défaut, ou les exposoit à se former une prononciation arbitraire et vicieuse. Dans celle-ci les mots Persans, les paradigmes, les exemples, et les textes, tout en un mot est imprimé avec les voyelles; et cette seule amélioration suffiroit pour donner à cette nouvelle édition un avantage immense sur toutes les autres.

Le système des verbes Persans irréguliers, fort imparfait dans l'ouvrage de Jones, a été remplacé par une meilleure classification, et M. Lee a pris à cet égard pour principal guide la savante grammaire de M. Lumsden.

W. Jones avoit joint à la fin de la syntaxe une fable Persane, tirée de l'Anvari Soheili, avec une traduction Anglaise. Ce morceau a l'inconvénient d'être écrit d'un style fort élégant, et de n'être pas par conséquent à la portée des commençans, de ceux sur-tout qui n'ont pas le secours de l'instruction orale; et c'est un reproche qu'on peut étendre à presque tous les passages que Jones a donnés pour exemples dans sa grammaire. M. Lee, en ajoutant à cette fable une analyse grammaticale, a remédié autant que possible à cet inconvénient.

Le nouvel éditeur, voulant éviter de rendre le volume beau

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coup plus considérable et d'en élever le prix, a cru devoir retrancher, 1. le traité de la versification Persane, beaucoup trop incomplet pour qu'on pût y prendre une idée juste de la prosodie et de la métrique des Persans; 2. un catalogue des meilleurs livres Persans, travail qui pouvoit avoir quelque importance lors de la première publication de cette grammaire, mais qui pourtant y est déplacé, et qui n'est plus aujourd'hui d'aucune utilité; 3. quatre pages de textes Persans, extraits des mémoires de Djéhanghir. Ces suppressions sont bien motivées, et n'exciteront aucun regret de la part des appréciateurs équitables du travail de M. Lee.

Avant d'entrer dans l'examen de ce travail, nous devons prévenir que, lorsque nous citerons une édition antérieure à celle de M. Lee, ce sera toujours de la septième édition que nous entendrons parler.

Une première observation que nous avons déjà faite à l'occasion d'une autre grammaire, c'est qu'une faute assez grave contre la syntaxe Persane, qui se trouve dans le titre même de l'ouvrage, et qui a été répétée dans toutes les éditions précédentes, reparoît encore dans celle-ci. Il est singulier que ni W.Jones, ni les éditeurs qui lui ont succédé, ne se soient aperçus qu'il falloit

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. avec un نحوي et non در نحو زبان پارسي écrire

Le premier chapitre, qui traite de tout ce qui est relatif à la lecture et à l'orthographe, a reçu de nombreuses augmentations; elles étoient d'une nécessité absolue pour l'étudiant qui, avant de passer à l'étude du Persan, n'a point acquis quelque connoissance de la langue Arabe. Une ode de Hafiz, donnée pour modèle de lecture, et dont le texte, dans cette édition, comme dans les précédentes, est écrit d'abord en caractères Persans, puis en lettres Latines, doit donner lieu à une observation. L'éditeur a adopté les signes employés dans la seconde édition du Dictionnaire de Richardson, pour représenter en caractères Latins les sons et les articulations de la langue Persane. Cette méthode avoit déjà été introduite dans la sixième édition; mais il est à regretter qu'on ait altéré la prononciation de quelques

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mots, comme, qui est écrit dahar; que, dans d'autres, on ait omis une voyelle additionnelle ou euphonique, nécessaire pour compléter la mesure du vers, comine dans le même mot

Journal des Savans, cahier de Janvier, 1824.

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, qu'il falloit prononcer dahri; &, qui devoit être prononcé burdandi;, qu'il falloit prononcer dashti, &c.; enfin qu'on ait écrit dans le Persan des voyelles qu'il faut élider dans la prononciation pour conserver la mesure, comme dans

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comme ونكشود و نگشاید quil falloit écrire ونكشود و نگشاید

l'on a écrit en lettres Latines nak'shūd o nak'shāyad. La seconde édition, que j'ai sous les yeux, étoit plus conforme à la prosodie, quant à la transcription en caractères Latins.

Il est singulier que ni W. Jones, ni M. Lee, n'aient eu l'idéo de donner la traduction de cette ode de Hafiz. C'est, au reste, la seconde de celles qu'a publiées en Persan et en Latin M. de Rewizky.

En général, je dois dire que l'éditeur a eu trop peu d'égard au mètre, en mettant les voyelles sur les textes tirés des poëtes, et que par-là il a quelquefois altéré la mesure, en sorte qu'il devient difficile de scander les vers. Je n'en donnerai qu'un seul exemple, que j'emprunte de la page 23. Ce sont des vers de Hafiz, que je vais transcrire avec leur veritable orthographe;

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La mesure de ces vers, qui appartiennent au mêtre nommé ¿, doit s'exprimer ainsi en termes techniques :

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En comparant le texte tel que je le présente avec celui de la Grammaire de Jones, on verra en quoi consiste le genre de fautes dont je parle, fautes auxquelles je reviendrai plus_bas. Je passe au chapitre des noms.

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