Revue bourguignonne, Volume 11

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V. 4-6 include "Jurisprudence de la cour d'appel de Dijon."
 

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Popular passages

Page 128 - Les principes du christianisme, bien gravés dans le cœur, seraient infiniment plus forts que ce faux honneur des monarchies , ces vertus humaines des républiques , et cette crainte servile des états despotiques.
Page 129 - Chose admirable! la religion chrétienne, qui ne semble avoir d'objet que la félicité de l'autre vie , fait encore notre bonheur dans celle-ci. C'est la religion chrétienne qui, malgré la grandeur de l'empire et le vice du climat...
Page 127 - Quand il serait inutile que les sujets eussent une religion, il ne le serait pas que les princes en eussent, et qu'ils blanchissent d'écume le seul frein que ceux qui ne craignent point les lois humaines puissent avoir.
Page cxcvi - Charles, par la grace de Dieu, roy de France. Savoir faisons à tous presens et avenir, nous avoir receu l'umble supplicacion de...
Page liv - Qu'un ami véritable est une douce chose ! Il cherche vos besoins au fond de votre cœur; II vous épargne la pudeur De les lui découvrir vous-même Un songe, un rien, tout lui fait peur Quand il s'agit de ce qu'il aime.
Page 125 - Les dogmes les plus vrais et les plus saints peuvent avoir de trèsmauvaises conséquences lorsqu'on ne les lie pas avec les principes de la société; et, au contraire, les dogmes les plus faux en peuvent avoir d'admirables lorsqu'on fait qu'ils se rapportent aux mêmes principes.
Page cxli - d'une nonne qui laissa son abbaie pour s'en aler avec un chevalier.
Page 131 - ... française de la religion pour l'Etat et pour l'ordre public? Montesquieu ajoute : « Lorsque les lois ont cru devoir souffrir plusieurs religions, il faut aussi qu'elles les obligent à se tolérer entre elles. Il est donc utile que les lois exigent de ces diverses religions, non seulement qu'elles ne troublent pas l'Etat, mais aussi qu'elles ne se troublent pas entre elles ». Ainsi, tout en revient à l'autorisation de l'Etat.
Page 218 - Proinde hoc domi hoc foris hoc in omni vitae genere teneamus, ut nobis implacabiles simus, exorabiles istis etiam qui dare veniam nisi sibi nesciunt, mandemusque memoriae quod vir mitissimus et ob hoc quoque maximus Thrasea crebro dicere solebat: " Qui vitia odit, homines odit.
Page 301 - Motez, ballades, virelais, Comédies, rondeauls et lais, Autres instrumens dont l'en use En chalemie et cornimuse, Orgues seans et portatives Faisoïe concorder souvent Par poulz de doiz, par trait ou vent.

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