PoésieHachette et Cie., 1848 - Authors, French |
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Page 39
... front superbe , aux voûtes peinturées D'azur , d'émail , et de mille couleurs , Mon œil se paît des trésors de la plaine , Riches d'œillets , de lis , de marjolaine , Et du beau teint des printanières fleurs . Dans les palais enflés de ...
... front superbe , aux voûtes peinturées D'azur , d'émail , et de mille couleurs , Mon œil se paît des trésors de la plaine , Riches d'œillets , de lis , de marjolaine , Et du beau teint des printanières fleurs . Dans les palais enflés de ...
Page 48
... front avait une audace Telle que Mars en la Thrace ; Et les éclairs de ses yeux Étaient comme d'un tonnerre , Qui gronde contre la terre Quand elle a fâché les cieux . Vers funèbres sur la mort de Henri - le - Grand ( 1610 ) . Enfin l ...
... front avait une audace Telle que Mars en la Thrace ; Et les éclairs de ses yeux Étaient comme d'un tonnerre , Qui gronde contre la terre Quand elle a fâché les cieux . Vers funèbres sur la mort de Henri - le - Grand ( 1610 ) . Enfin l ...
Page 51
... front cette fois Sera ceint de rayons qu'on ne vit jamais luire Sur la tête des rois . Soit que de tes lauriers ma lyre s'entretienne , Soit que de tes bontés je la fasse parler , Quel rival assez vain prétendra que la sienne Ait de ...
... front cette fois Sera ceint de rayons qu'on ne vit jamais luire Sur la tête des rois . Soit que de tes lauriers ma lyre s'entretienne , Soit que de tes bontés je la fasse parler , Quel rival assez vain prétendra que la sienne Ait de ...
Page 89
... front . Vous plaignez le travail où ce fardeau m'engage ; Et n'osant m'attaquer , vous attaquez mon âge . Je suis vieux ; mais un fruit de ma vieille saison Est d'en posséder mieux la parfaite raison . Régner est un secret dont la haute ...
... front . Vous plaignez le travail où ce fardeau m'engage ; Et n'osant m'attaquer , vous attaquez mon âge . Je suis vieux ; mais un fruit de ma vieille saison Est d'en posséder mieux la parfaite raison . Régner est un secret dont la haute ...
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Common terms and phrases
AGAMEMNON airs âme amour astre Atrée beau Beaune beauté belle bords bouts-rimés brillant bruit CASSANDRE chants charme cher ciel cieux Cléon CLYTEMNESTRE cœur cruel Dieu dieux discours douleur doux éclat enfants enfin ennemis Épigramme esprit éternel Fables feux fils fleurs flots François Ier front fureur gens gloire Hélas heureux Homère homme honneur immortelle j'ai jamais jeune jour l'Académie française l'amour l'homme l'onde l'univers laisse loin Louis Racine Louis XIV lyre main maître malheureux MELLIN DE SAINT-GELAIS mère Métromanie Molière monde mort mortels mourir mourut naquit neuf sœurs nuit Odes ombre ouvrage pâle parle passer peine pensée père peuple pieds plaisir plaisirs pleurs poëme poésie poëte qu'un raison rien rois Rome ruisseau sacré sage sainte alliance sais sang satire Saül Seigneur seul siècle soleil Sophocle sort temple terre Thyeste tombe tombeau tragédie trembler TRISSOTIN triste trône VADIUS vainqueur veux Voilà vois voix Voltaire yeux
Popular passages
Page 416 - Est-ce à moi de mourir? Tranquille je m'endors, Et tranquille je veille, et ma veille aux remords Ni mon sommeil ne sont en proie. Ma bienvenue au jour me rit dans tous les yeux; Sur des fronts abattus, mon aspect dans ces lieux Ranime presque de la joie.
Page 172 - Tremble, m'at-elle dit, fille digne de moi; « Le cruel Dieu des Juifs l'emporte aussi sur toi.
Page 173 - Ma fille." En achevant ces mots épouvantables, Son ombre vers mon lit a paru se baisser ; Et moi, je lui tendais les mains pour l'embrasser ; Mais je n'ai plus trouvé qu'un horrible mélange D'os et de chair meurtris, et traînés dans la fange, Des lambeaux pleins de sang, et des membres affreux, Que des chiens dévorants se disputaient entre eux.
Page 416 - S'il est des jours amers, il en est de si doux! Hélas! quel miel jamais n'a laissé de dégoûts? Quelle mer n'a point de tempête? L'illusion féconde habite dans mon sein. D'une prison sur moi les murs pèsent en vain, J'ai les ailes de l'Espérance.
Page 100 - M'ôter, pour faire bien , du grenier de céans Cette longue lunette à faire peur aux gens, Et cent brimborions dont l'aspect importune ; Ne point aller chercher ce qu'on fait dans la lune , Et vous mêler un peu de ce qu'on fait chez vous , Où nous voyons aller tout sens dessus dessous.
Page 69 - Roi de ses passions, il a ce qu'il désire; Son fertile domaine est son petit empire, Sa cabane est son Louvre et son Fontainebleau...
Page 99 - Qui, brûlants et priants, demandent chaque jour, Et prêchent la retraite au milieu de la cour; Qui savent ajuster leur zèle avec leurs vices, Sont prompts, vindicatifs, sans foi, pleins d'artifices, Et, pour perdre quelqu'un, couvrent insolemment De l'intérêt du ciel leur fier ressentiment...
Page 102 - Dès qu'on voit qu'on nous mêle avec tout l'univers. Sur quelque préférence une estime se fonde ; | Et c'est n'estimer rien qu'estimer tout le monde.
Page 169 - Un effroyable cri , sorti du fond des flots , Des airs en ce moment a troublé le repos ; Et du sein de la terre une voix formidable Répond en gémissant à ce cri redoutable.
Page 417 - Mon beau voyage encore est si loin de sa fin ! Je pars, et des ormeaux qui bordent le chemin J'ai passé les premiers à peine. Au banquet de la vie à peine commencé, Un instant seulement mes lèvres ont pressé La coupe en mes mains encor pleine...