PoésieHachette et Cie., 1848 - Authors, French |
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... teint la fraîcheur éternelle , La douceur de sa voix et celle de ses yeux , Pouvaient servir d'objet aux plus ambitieux , Et ranger à ses lois l'âme la plus rebelle . T. II . 4 O vous qui vous flattez de vos charmes divers ,
... teint la fraîcheur éternelle , La douceur de sa voix et celle de ses yeux , Pouvaient servir d'objet aux plus ambitieux , Et ranger à ses lois l'âme la plus rebelle . T. II . 4 O vous qui vous flattez de vos charmes divers ,
Page 74
... charmes divers , Quand vos perfections , qu'adore l'univers , De celles de Cloris égaleraient le nombre ; Cessez de vous fonder sur un si frêle appui ; Elle fut un soleil , elle n'est plus qu'une ombre , Et vous serez demain ce qu'elle ...
... charmes divers , Quand vos perfections , qu'adore l'univers , De celles de Cloris égaleraient le nombre ; Cessez de vous fonder sur un si frêle appui ; Elle fut un soleil , elle n'est plus qu'une ombre , Et vous serez demain ce qu'elle ...
Page 85
... charmes impuissants ; Vous me montrez en vain par tout ce vaste empire Les ennemis de Dieu pompeux et florissants . Il étale à son tour des revers équitables Par qui les grands sont confondus ; Et les glaives qu'il tient pendus 1 Sur ...
... charmes impuissants ; Vous me montrez en vain par tout ce vaste empire Les ennemis de Dieu pompeux et florissants . Il étale à son tour des revers équitables Par qui les grands sont confondus ; Et les glaives qu'il tient pendus 1 Sur ...
Page 105
... charme beaucoup de gens . TRISSOTIN . Cela n'empêche pas qu'elle ne me déplaise . VADIUS . Elle n'en reste pas pour cela plus mauvaise . TRISSOTIN . Elle a pour les pédants de merveilleux appas . VADIUS . Cependant nous voyons qu'elle ...
... charme beaucoup de gens . TRISSOTIN . Cela n'empêche pas qu'elle ne me déplaise . VADIUS . Elle n'en reste pas pour cela plus mauvaise . TRISSOTIN . Elle a pour les pédants de merveilleux appas . VADIUS . Cependant nous voyons qu'elle ...
Page 114
... charme : on y voit sans horreur Le pâle Désespoir , la sanglante Fureur , L'inhumaine Clotho , qui marche sur leurs traces : Jugez avec quels traits je sais peindre les Grâces . Dans les maux de l'absence on cherche mon secours , Je ...
... charme : on y voit sans horreur Le pâle Désespoir , la sanglante Fureur , L'inhumaine Clotho , qui marche sur leurs traces : Jugez avec quels traits je sais peindre les Grâces . Dans les maux de l'absence on cherche mon secours , Je ...
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Common terms and phrases
AGAMEMNON airs âme amour astre Atrée beau Beaune beauté belle bords bouts-rimés brillant bruit CASSANDRE chants charme cher ciel cieux Cléon CLYTEMNESTRE cœur cruel Dieu dieux discours douleur doux éclat enfants enfin ennemis Épigramme esprit éternel Fables feux fils fleurs flots François Ier front fureur gens gloire Hélas heureux Homère homme honneur immortelle j'ai jamais jeune jour l'Académie française l'amour l'homme l'onde l'univers laisse loin Louis Racine Louis XIV lyre main maître malheureux MELLIN DE SAINT-GELAIS mère Métromanie Molière monde mort mortels mourir mourut naquit neuf sœurs nuit Odes ombre ouvrage pâle parle passer peine pensée père peuple pieds plaisir plaisirs pleurs poëme poésie poëte qu'un raison rien rois Rome ruisseau sacré sage sainte alliance sais sang satire Saül Seigneur seul siècle soleil Sophocle sort temple terre Thyeste tombe tombeau tragédie trembler TRISSOTIN triste trône VADIUS vainqueur veux Voilà vois voix Voltaire yeux
Popular passages
Page 416 - Est-ce à moi de mourir? Tranquille je m'endors, Et tranquille je veille, et ma veille aux remords Ni mon sommeil ne sont en proie. Ma bienvenue au jour me rit dans tous les yeux; Sur des fronts abattus, mon aspect dans ces lieux Ranime presque de la joie.
Page 172 - Tremble, m'at-elle dit, fille digne de moi; « Le cruel Dieu des Juifs l'emporte aussi sur toi.
Page 173 - Ma fille." En achevant ces mots épouvantables, Son ombre vers mon lit a paru se baisser ; Et moi, je lui tendais les mains pour l'embrasser ; Mais je n'ai plus trouvé qu'un horrible mélange D'os et de chair meurtris, et traînés dans la fange, Des lambeaux pleins de sang, et des membres affreux, Que des chiens dévorants se disputaient entre eux.
Page 416 - S'il est des jours amers, il en est de si doux! Hélas! quel miel jamais n'a laissé de dégoûts? Quelle mer n'a point de tempête? L'illusion féconde habite dans mon sein. D'une prison sur moi les murs pèsent en vain, J'ai les ailes de l'Espérance.
Page 100 - M'ôter, pour faire bien , du grenier de céans Cette longue lunette à faire peur aux gens, Et cent brimborions dont l'aspect importune ; Ne point aller chercher ce qu'on fait dans la lune , Et vous mêler un peu de ce qu'on fait chez vous , Où nous voyons aller tout sens dessus dessous.
Page 69 - Roi de ses passions, il a ce qu'il désire; Son fertile domaine est son petit empire, Sa cabane est son Louvre et son Fontainebleau...
Page 99 - Qui, brûlants et priants, demandent chaque jour, Et prêchent la retraite au milieu de la cour; Qui savent ajuster leur zèle avec leurs vices, Sont prompts, vindicatifs, sans foi, pleins d'artifices, Et, pour perdre quelqu'un, couvrent insolemment De l'intérêt du ciel leur fier ressentiment...
Page 102 - Dès qu'on voit qu'on nous mêle avec tout l'univers. Sur quelque préférence une estime se fonde ; | Et c'est n'estimer rien qu'estimer tout le monde.
Page 169 - Un effroyable cri , sorti du fond des flots , Des airs en ce moment a troublé le repos ; Et du sein de la terre une voix formidable Répond en gémissant à ce cri redoutable.
Page 417 - Mon beau voyage encore est si loin de sa fin ! Je pars, et des ormeaux qui bordent le chemin J'ai passé les premiers à peine. Au banquet de la vie à peine commencé, Un instant seulement mes lèvres ont pressé La coupe en mes mains encor pleine...