| Nicolas Boileau-Despréaux - 1700 - 574 pages
...quelque Rieur prenant votre défenfe. Veut faire au moins de grace adoucir la fentence. Rien n'apaife un Lecteur toujours tremblant d'effroi, Qui voit peindre en autrui ce qu'il remarque en foi. Vous fer^z-vous toujours des affaires nouvelles î Et faudra-t'il fans cefle effuyer des querelles... | |
| Nicolas Boileau Despréaux - 1735 - 520 pages
...prenant votre dcfenie , 140 Veut faire au moins de grâce adoucir la fentence. Rien n'appaifeunLeâeur toujours tremblant d'effroi, Qui voit peindre en autrui ce qu'il remarque en foi. Vous ferez-vous toujours des affaires nouvelles ? Et faudra-t-il fans cefle eiïiiïer des querelles... | |
| Nicolas Boileau Despréaux - 1747 - 706 pages
...Rieur , prenant vôtre défenfc , Veut faire au moins de grâce adoucir la fentence. Rien n'apaife un Lecteur toujours tremblant d'effroi , Qui voit peindre en autrui ce qu'il remarque en foi. Vous ferez-vous toujours des affaires nouvelles ? Et faudra-t-il fans celle etfuyer des querelles... | |
| Nicolas Boileau Despréaux - 1747 - 712 pages
...prenant vôtre défenfe , Veut faire au moins de grâce adoucir la fentence. Rien n'apaife un Leéteur toujours tremblant d'effroi , Qui voit peindre en autrui ce qu'il remarque en foi. Vous ferez-vous toujours des affaires nouvelles ï • Et faudra-t-il fans cefle efluyer des querelles... | |
| tome premier - 1800 - 354 pages
...adoucir la sentence : Pùen n'appaise un lecteur toujours tremblant d'effroi, Qui voit peindre en antrui ce qu'il remarque en soi. Vous ferez-vous toujours des affaires nouvelles? Et fandra-t-il sans cesse essuyer des querelles? N'entendrai-je qu'anteurs se plaindre et murmurer? Jusqu'à... | |
| Nicolas Boileau-Despréaux - 1800 - 354 pages
...adoucir la sentence : Rien n'appaise un lecteur toujours tremblant d'effroi, Qui voit peindre en antrui ce qu'il remarque en soi. Vous ferez-vous toujours des affaires nouvelles? Et fandra-t-il sans cesse essuyer des querelles ? N'entendrai-je qu'anteurs se plaindre et murmurer? Jusqu'à... | |
| François Moysant - 1803 - 438 pages
...rivière. Voilà comme on vous traite: et Je monde effrayé Vous regarde déjà comme un homme noyé. En vain quelque rieur, prenant votre défense, , ....Veut faire au moins, de grâce, adoucir la sentence : Bien n'apaise un lecteur toujours tremblant d'effroi, Qui voit peindre en autrui ce qu'il remarque... | |
| C. J. Cunninghame - 1808 - 208 pages
...rivière. Voilà comme on vous traite : et le monde effrayé , Vous regarde déjà comme un homme noyé. En vain quelque rieur, prenant votre défense , Veut...faire au moins de grâce adoucir la sentence. Rien n'appaise un lecteur toujours tremblant d'effroi , Qui voit peindre en autrui ce qu'il remarque en... | |
| Jean-Pons-Victor Lecoutz de Levizac, François Moysant - Literature - 1814 - 572 pages
...rivière. "Voilà comme on vous traite , et le monde effrayé Vous regarde déjà comme un homme noyé. En vain quelque rieur , prenant votre défense , Veut...voit peindre en autrui ce qu'il remarque en soi. Vous ferez -vous toujours des affaires nouvelles ? Et faudra-t-il sans cesse essuyer des querelles ? N'entendrai-je... | |
| Nicolas Boileau Despréaux - 1815 - 386 pages
...rivière. Voilà comme on vous traite : et le monde effrayé Vous regarde déja comme un homme noyé. En vain quelque rieur, prenant votre défense , Veut faire au moins , de grace , adoucir la sentence : Rien n'apaise un lecteur toujours tremblant d'effroi, Qui voit peindre... | |
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