Oeuvres complètes: conforme au texte donné par Berriat-Saint-PrixGarnier frères, 1861 - 543 pages |
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... étoit dans les deux éditions précédentes1 , à cause de la justice que j'y rends à beaucoup d'auteurs que j'ai attaqués . Je croyois avoir assez fait connoître , par cette démarche où personne ne m'obligeoit , que ce n'est point un ...
... étoit dans les deux éditions précédentes1 , à cause de la justice que j'y rends à beaucoup d'auteurs que j'ai attaqués . Je croyois avoir assez fait connoître , par cette démarche où personne ne m'obligeoit , que ce n'est point un ...
Page 17
... étoit mis dans ce lieu de plaisance , Où j'ai trouvé d'abord , pour toute connoissance , Deux nobles campagnards grands lecteurs de romans , Qui m'ont dit tout Cyrus dans leurs longs complimens " . J'enrageois . Cependant on apporte un ...
... étoit mis dans ce lieu de plaisance , Où j'ai trouvé d'abord , pour toute connoissance , Deux nobles campagnards grands lecteurs de romans , Qui m'ont dit tout Cyrus dans leurs longs complimens " . J'enrageois . Cependant on apporte un ...
Page 29
... étoit , né roi d'une province Qu'il pouvoit gouverner en bon et sage prince , S'en alla follement , et pensant être Dieu , Courir comme un bandit qui n'a ni feu ni lieu ; Et , traînant avec soi les horreurs de la guerre , De sa vaste ...
... étoit , né roi d'une province Qu'il pouvoit gouverner en bon et sage prince , S'en alla follement , et pensant être Dieu , Courir comme un bandit qui n'a ni feu ni lieu ; Et , traînant avec soi les horreurs de la guerre , De sa vaste ...
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... étoit qu'une vaine déclamation qui n'atta- quoit rien de réel , ni qu'aucun homme eût jamais avancé ; je veux bien , pour l'intérêt de la vérité , mettre ici la proposition que j'y combats , dans la langue et dans les termes qu'on la ...
... étoit qu'une vaine déclamation qui n'atta- quoit rien de réel , ni qu'aucun homme eût jamais avancé ; je veux bien , pour l'intérêt de la vérité , mettre ici la proposition que j'y combats , dans la langue et dans les termes qu'on la ...
Page 111
... étoit à l'inven- tion à la soutenir et à l'étendre . La chose fut fort contestée . On s'échauffa beaucoup ; mais , après bien des raisons alléguées pour et contre , il arriva ce qui arrive De 1674 à 1698 il y a : « Poëme héroïque ...
... étoit à l'inven- tion à la soutenir et à l'étendre . La chose fut fort contestée . On s'échauffa beaucoup ; mais , après bien des raisons alléguées pour et contre , il arriva ce qui arrive De 1674 à 1698 il y a : « Poëme héroïque ...
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Apollon Arnauld Art poétique assez auroit auteur avez avoient avoit beau Boileau c'étoit chant Chapelain chose Cizeron-Rival cœur Cotin critique Dacier Daunou Démosthène Despréaux Dieu DIOGÈNE dire discours disoit disoit-il dit-il donne écrit édition endroit Énéide ennemis épigramme épitre esprit étoient étoit faisoit falloit fameux françois frère gens grec héros Homère homme HORACE Iliade impr j'ai j'avois jamais jésuites Joconde jour Juvénal l'abbé l'Académie l'auteur l'édition l'Énéide l'esprit laissé Lamoignon latin lecteur lettre à Brossette livre Longin Louis Racine Lutrin madame madame de Maintenon main ment mieux Moïse Molière monde monseigneur monsieur mort n'avoit note ouvrages parler paroles passage passer pensée père Perrault pièce Pindare plaisir PLUTON poëme poésie poëte pourtant premier prince publié qu'un quelquefois raison rien rime saint Saint-Marc Saint-Surin Sainte-Chapelle sais satire sens seroit seul sorte style sublime sujet Térence tion traduction trouve vérité Virgile Voilà vrai yeux
Popular passages
Page 90 - Aimez donc la raison : que toujours vos écrits Empruntent d'elle seule et leur lustre et leur prix.
Page 97 - Un rimeur, sans péril, delà les Pyrénées, Sur la scène en un jour renferme des années. Là, souvent le héros d'un spectacle grossier, Enfant au premier acte, est barbon au dernier.
Page 100 - N'imitez pas ce fou qui, décrivant les mers, Et peignant, au milieu de leurs flots entr'ouverts, L'Hébreu sauvé du joug de ses injustes maîtres, Met, pour le voir passer, les poissons aux fenêtres ; Peint le petit enfant qui va, saute, revient, Et joyeux à sa mère offre un caillou qu'il tient.
Page 97 - Ce qu'on ne doit point voir , qu'un récit nous l'expose : Les yeux en le voyant saisiraient mieux la chose ; Mais il est des objets que l'art judicieux Doit offrir à l'oreille et reculer des yeux.
Page 99 - L'évangile à l'esprit n'offre de tous côtés Que pénitence à faire et tourments mérités; Et de vos fictions le mélange coupable Même à ses vérités donne l'air de la fable.
Page 32 - Que l'effroi du public et la haine des sots ? Quel démon vous irrite, et vous porte à médire ? Un livre vous déplaît : qui vous force à le lire...
Page 73 - La mort seule ici-bas , en terminant sa vie , Peut calmer sur son nom l'injustice et l'envie : Faire au poids du bon sens peser tous ses écrits , Et donner à ses vers leur légitime prix. Avant qu'un peu de terre , obtenu par prière , Pour jamais sous la tombe eût enfermé Molière ', Mille de ces beaux traits , aujourd'hui si vantés , Furent des sots esprits à nos yeux rebutés.
Page 70 - J'occupe ma raison d'utiles rêveries : Tantôt, cherchant la fin d'un vers que je construi, Je trouve au coin d'un bois le mot qui m'avait fui : Quelquefois, aux appas d'un hameçon perfide, J'amorce, en badinant, le poisson trop avide ; Ou d'un plomb qui suit l'œil, et part avec l'éclair, Je vais faire la guerre aux habitants de l'air.
Page 92 - Hâtez-vous lentement, et, sans perdre courage, Vingt fois sur le métier remettez votre ouvrage : Polissez-le sans cesse et le repolissez ; Ajoutez quelquefois, et souvent effacez.
Page 32 - Voilà comme on vous traite : et le monde effrayé Vous regarde déjà comme un homme noyé. En vain quelque rieur, prenant votre défense, Veut faire au moins, de grâce, adoucir la sentence : Rien n'apaise un lecteur toujours tremblant d'effroi, Qui voit peindre en autrui ce qu'il remarque en soi.