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vent la parole à Frédéric Stolberg; il reproduit les lettres du pieux écrivain, soit par extraits, soit en entier, en se contentant de faire en peu de mots les liaisons indispensables à l'intelligence du récit. Cette nouvelle édition aura certainement un grand succès dans le monde des lecteurs catholiques d'Allemagne ; elle représente dans Frédéric Stolberg moins le poète et le traducteur que le protestant converti, le catholique fervent, l'ami de la princesse Galitzin; elle ne fait que citer en passant les titres littéraires. de Stolberg et s'attache surtout, selon l'expression même de M. Janssen en tête de son volume, aux agissements du comte Frédéric a dans l'es prit de l'église ». Une partie importante du livre et que nous recommandons particulièrement aux lecteurs français, est celle qui renferme les jugements de Stolberg sur la Révolution française, sur Bonaparte, sur les événements du premier Empire, enfin sur le mouvement national de 1813 et la guerre de 1815. C.

171.

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Ueber die Beziehungen Napoleons III zu Preussen und Deutschland, ein Vortrag, von Bernhard SIMSON, Professor in Freiburg im Breisgau. Freiburg i. B. u. Tübingen, J. C. B. Mohr [Paul Siebeck]. 1882. In-S 62 p. 1 mark 20.

On lira cet opuscule avec intérêt; ce n'est, comme l'auteur nous l'apprend, qu'une conférence (faite sans doute devant le public de Fribourg en Brisgau), et M. Simson n'apporte aucun document inédit; il reconnaît lui-même qu'il court le danger de répéter bien des choses qui sont encore dans toutes les mémoires. Mais cette « esquisse », où M. S. a << mis en relief ce qui lui a paru le plus important et le plus frappant > est composée avec talent. M. S. nous expose d'abord les sympathies que Napoléon III avait pour l'Allemagne et la Prusse, depuis son séjour sur le lac de Constance et à Wurzbourg; puis, en tirant parti des ouvrages de Martin (Vie du prince Albert), Geffcken (Histoire de la guerre d'Orient), Delord, etc., des études de MM. Rothan et de Sybel', des écrits et dépêches de l'époque, il retrace les rapports de l'empereur avec le roi Guillaume et M. de Bismarck; tout cela est résumé avec clarté, et non sans élégance; c'est un abrégé de l'histoire diplomatique de la France et de l'Allemagne sous le second empire. M. Simson montre surtout que la cause principale de toutes les erreurs de la politique française a été ce qu'il appelle die Unterschätzung der Kraft Preussens, le trop peu de cas qu'on faisait en France des forces de la Prusse '.

1. Nous voulons parler de la belle étude de M. de Sybel sur Napoléon III dans le troisième volume de ses Kleine historische Schriften (Stuttgart, Cotta, 1880).

2. Le prince Albert rapporte que Napoléon III lui récita « une poésie de Schiller sur les avantages de la guerre et de la paix pour l'humanité »; M. Simson pense à un passage de la Fiancée de Messine; on peut citer aussi un passage des Piccolomini (I, IV).

FRANCE.

CHRONIQUE

Aux deux premières parties de sa publication, Les arts à la cour des papes pendant le xve et le xvIe siècle, documents inédits tirés des archives et des bibliothèques romaines, M. Eugène MüNTZ vient d'ajouter une troisième partie. La première partie de ce considérable ouvrage était consacrée à Martin V et à Pie II (14171464, et la deuxième à Paul II (1464-1471); la troisième traite de Sixte IV et de Léon X (1471-1521) et se divise en deux sections, dont la première, relative au pontificat de Sixte IV (in-8°, 300 p. avec 2 gravures; XXVIII fasc. de la « Bibliothèque des écoles françaises d'Athènes et de Rome »), fait l'objet de la présente note. Le volume s'ouvre par une Notice préliminaire sur Sixte IV (9 août 1471-13 août 1484); dans cette très intéressante notice, M. Müntz, après avoir finement marqué le caractère de François della Rovere, expose les ressources matérielles dont le nouveau pontife disposait et comment il joua son rôle de Mécène. « Ce sera l'honneur des Médicis, dit l'auteur, d'avoir compris que le musée doit être le complément de la bibliothèque, et d'avoir assigné une place aux marbres à côté des manuscrits... Ils ont formé une collection d'antiques qui ne tarda pas à devenir la première de l'Italie, et qui jeta un éclat incomparable sur leur palais de la Via Larga, véritable école de la Renaissance florentine. A Rome, pendant tout le xve siècle, ces deux tendances paraissent inconciliables. Un pape se distingue-t-il par son amour pour la littérature antique, on peut affirmer d'avance qu'il négligera les monuments. S'attache-t-il, au contraire, aux monuments, c'est que la littérature n'a pas d'attraits pour lui. »>< M. M. montre que Sixte a ouvert le musée du Capitole au public, achevé la restauration de la statue de Marc-Aurèle, défendu l'exportation des marbres antiques, mais c'est le revers de la médaille - qu'il a dispersé le musée du palais SaintMarc, démoli une demi-douzaine de temples ou d'arcs de triomphe, autorisé ses architectes à prendre partout les matériaux nécessaires aux constructions nouvelles; « comment justifier la conduite de Sixte vis-à-vis des ruines vénérables qui couvraient sa capitale! Ses victimes sont innombrables, et le long martyrologe de Rome antique enregistre son règne comme un des plus néfastes » (p. 15). Il est vrai, ces « crimes » commis par Sixte contre la Rome antique se rachètent par les services rendus à la Rome moderne; Sixte élève la Chapelle-Sixtine, Sainte-Marie-du-Peuple, Sainte-Marie-de-la-Paix, l'hospice du Saint-Esprit; il restaure et embellit vingt basiliques; il reconstruit le pont du Janicule, rétablit les aqueducs de la fontaine Trevi, pave les rues boueuses, ouvre de nouvelles avenues, remplace les dédales de ruelles par de grandes artères régulières (le Corso, la Via Giulia, Ripetta, la Lungara), etc. M. M. admire cette œuvre en son ensemble, mais il fait des réserves sur les détails; les architectes de Sixte ne furent que des artistes laborieux sans originalité ni puissance créatrice. Il choisit mieux ses sculpteurs et ses peintres; ce furent les premiers de l'Italie; mais ils durent ne consacrer leur ciseau ou leur pinceau qu'à la glorification de la religion. Dans cet exposé sommaire, M. M. ne retrace pas seulement l'œuvre de Sixte; il étudie les auxiliaires du pontife, les Riario, les Basso, les della Rovere, dont les fondations ont parfois rivalisé avec celles du pape, et surtout Guillaume d'Estouteville, archevêque de Rouen, camerlingue de l'Eglise romaine, surintendant de l'édilité, que Fulvio nomme nummosissimus heros. Cette introduction de M. M. est suivie du chapitre premier, qui renferme des Notices sur les principaux artistes du règne de Sixte IV (pp. 66-111); les documents découverts par M. M. dans les archives du Vatican et du Campo Marzo, ainsi que ceux que M. Milanesi a trouvés dans les archives de la Toscane, permettent de modifier sensiblement l'his

toire de l'architecture romaine; M. M. restreint le rôle de Baccio Pontelli; il juge problématique la participation de Giuliano da Majano aux travaux entrepris à Rome; il restitue à Giuliano da San Gallo l'influence qu'il a exercée sur le développement de l'architecture; il rend à Meo del Caprino et Giacomo da Pietrasanta les œuvres qu'on attribuait à d'autres, il appelle l'attention sur un artiste jusqu'ici entièrement inconnu, Giovannino de' Dolci, humble charpentier, élevé à la dignité de commissaire des constructions pontificales, et qui fut l'architecte de la chapelle Sixtine; il donne la liste des sculpteurs et des peintres employés par Sixte; il publie le texte inédit des Statuts de la corporation des peintres de Rome inexactement traduits en italien par Missirini. Le n°, le me, le ive et le ve chapitre traitent plus spécialement et avec le plus grand détail des travaux exécutés à Rome : 11. Le palais et la basilique du Vatican (pp. 111-151); ш. Les églises (pp. 152-168); Iv. Les monuments antiques (pp. 168-178); v. Edifices civils divers, places et rues, ponts, portes et murs (pp. 178207). On remarquera, dans le ir chapitre, les documents relatifs à la bibliothèque du Vatican et tirés des registres de Platina 1; les pages sur la chapelle Sixtine, dont les travaux, d'après des passages de la chronique de Jacques de Volterra relevés pour la première fois par M. M., n'étaient pas encore assez avancés en 1481 pour qu'on pût y officier, etc. Le 1e chapitre démontre, entre autres points nouveaux, que, contre l'opinion de Vasari, Giovannino de' Dolci a restauré la basilique des Saints-Apôtres. Le chapitre Iv reproduit des documents qui définissent l'attitude de Sixte IV vis-à-vis de l'art antique; l'un d'eux établit que, longtemps avant Alexandre VI, le Vatican communiquait avec le château Saint-Ange par un chemin couvert, qui permettait de se rendre de l'un à l'autre édifice sans être vu du dehors; on ne lit pas sans intérêt la liste des antiques que comprenait, à cette époque, le musée du Capitole. Dans le chapitre v, M. M. publie les documents concernant les grands travaux de voirie entrepris par Sixte V; ce pape réorganisa l'office des «< magistri viarum » sous la présidence du cardinal d'Estouteville; dans la bulle de 1480, il posa avec une netteté incomparable les règles de l'expropriation pour cause d'utilité publique; il fit reconstruire le « Pons Quinti » qu'on appela depuis le Ponte Sisto, non point par Pontelli, comme le dit Vasari que M. M. surprend si souvent en flagrant délit d'erreur, mais surtout par Niccolo de Narni. Le vi chapitre de l'ouvrage (pp. 207-238) a pour titre : Travaux exécutés en dehors de Rome (Ancône, Assise, Césène, Civita-Vecchia, Foligno, Forli, Ostie, Savone, ville natale de Sixte IV, etc.). Le vir et dernier chapitre (pp. 239-284) traite de l'orfèvrerie, de la tapisserie, de la broderie, des fêtes; il montre que Sixte, qui fit un instant mine d'austérité, « ne tarda pas à céder au courant et à rechercher cette magnificence qui paraissait inséparable du pouvoir pontifical »; il se termine par la reproduction de l'Edit somptuaire de 1473 (pp. 280-284) où Sixte recommandait à ses sujets d'observer les règles que lui-même ne pratiquait pas. Un appendice renferme des documents inédits sur les travaux et commandes du cardinal d'Estouteville (pp. 285-297) et le Testament du cardinal François de Gonzague; un autre appendice, à la suite de la « Notice préliminaire », contient quelques poésies d'Aurelio Brandolini de laudibus Sixti quarti et des documents sur les finances de Sixte IV (p. 56-65). Ce nouvel ouvrage du bibliothécaire de notre Ecole des beaux-arts se recommande par les qualités dont témoignent déjà ses travaux précédents; les recherches de M. Müntz sont menées non-seulement avec sagacité, mais avec un soin scrupuleux, une ardeur qui ne né

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1. Dans l'inscription métrique de Platina sur la Bibliothèque (vers 4), M. M. met un point d'îsterrogation après moconide; ne peut-on lire Moconide et traduire ainsi : Pisistrate (Cecropius tyrannus) ne peut se glorifier que d'avoir réuni les fragments dispersés d'Homère ?

glige aucun document, aucun détail; elles aboutissent à des résultats nouveaux pour l'histoire de l'art; elles sont résumées dans un récit clair et net, où l'on trouve souvent de précieuses observations sur l'esprit de la fin du xv siècle et de la Renaissance. - Deux nouvelles plaquettes de M. Albert BABEAU sont consacrées, l'une à l'entrée de Henri IV à Troyes (Encore quelques mots sur Henri IV à Troyes, Troyes, Dufour-Bourquet. In-8°, 8 p., avec une planche lithographiée); elle donne la description du vitrail de Linard Gontier représentant l'entrée du roi dans la cathédrale de Saint-Pierre; l'autre, à Grosley magistrat (Ibid. In-8°, 15 p.); M. Babeau nous montre Grosley, grand-maire de l'abbaye de Saint-Loup et bailli de la baronnie de Chappes et de Vauchassis.

M. Ph. TAMZEY DE LARROQUE a trouvé à la bibliothèque de Carpentras (recueil 335) une plaquette extrêmement rare qui n'est pas mentionnée par les plus exacts bibliographes; c'est la relation de l'Entrée de Charles IX à Bordeaux, publiée a Paris en 1565, M. T. de L. a jugé utile de réimprimer cet opuscule qui comblera les lacunes de l'Histoire de la ville de Bordeaux, de Dom Devienne. Il a gardé la longue pièce de vers latins, intitulée Aquitania, qui suit cette relation, parce que « cette pièce, dédiée au chancelier de France, Michel de Lhospital, est charmante, et a pour auteur Stephanus Crusellus que rien n'empêche d'identifier avec Etienne de Cruseau le chroniqueur ». La réimpression faite par M. T. de L. et augmentée par lui d'un avertissement et d'un commentaire, est extraite de la Revue des bibliophiles (tirage à 75 exemplaires) et se vend à Bordeaux, chez P. Chollet. Nous y relèverons une note curieuse; il est dit dans la relation que la livrée du roi était « blanc, pers et rouge ». « Pers, dit M. T. de L., signifie une sorte de couleur bleue. Voir le dictionnaire de Littré qui cite un passage d'un poète du xvie siècle, Machaut, où pers est synonyme d'azur. D'après le Dictionnaire de l'Académie, pers désignerait une nuance entre le vert et le bleu. Le Dictionnaire de Richelet dans la définition du mot pers, écarte le vert et ne garde que le bleu. Le Dictionnaire de Trévoux explique le mot : « qui est de couleur bleue, ou tirant sur le bleu, cæruleus; Homère appelle souvent Minerve aux yeux pers, Minerva glaucopis. » On voit qu'en tout cela c'est le bleu qui domine. On est donc autorisé à dire que la livrée blanc, pers et rouge de Charles IX avait devancé notre drapeau tricolore » (p. 7). - M. T. de L. a trouvé encore à la bibliothèque de Carpentras quelques autres plaquettes d'une insigne rareté, et il compte les publier successivement, pour la plus grande joie des curieux en général, et des curieux de « son cher Sud-Ouest, en particulier ». Il en réunira quatre, nous dit-il, sous le titre de : Le duc de Rohan en Gascogne, et quatre autres sous le titre de : Le vice-amiral Barrault et les pirates de la Gironde.

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- Après l'histoire du Véritable Saint-Genest de Rotrou, M. Léonce PERSON nous donne une Histoire de Venceslas (Cerf, in-8°, vIII et 99 p.). Dans le premier chapitre de son ouvrage (pp. 22-28) l'auteur montre ingénieusement comment le sujet de Venceslas s'accordait merveilleusement avec le génie de Rotrou et le tour particulier de ses idées; Rotrou a aimé par-dessus tout les « intrigues, amenées par un déguisement des personnages, qui produit une erreur sur la personne ». Le chapitre (pp. 29-48) étudie la pièce de Francisco de Rojas, No ay ser padre siendo rey (« On ne peut être père et roi en même temps » ou, comme traduit Alph. Royer, « il n'y a pas à être père quand on est roi »); M. Person analyse très minutieusement la première et la deuxième journée de cette pièce espagnole qui inspira la tragédie de Rotrou; il montre que le poète français s'est gardé des gongorismes de Rojas, mais il regrette qu'il n'ait pas profité des incidents et des péripéties que renferme la deuxième journée et qu'il ait refroidi sa pièce par l'inutile complication des amours

de Théodore et du duc. Le re chapitre (pp. 49-65) compare la troisième journée de la comédie espagnole et le ive et le ve acte de Venceslas; le coup de théâtre est plus saisissant dans Rotrou que dans Rojas, grâce à l'incertitude qui règne, au moment du mariage et du meurtre, sur l'identité de la victime, et le caractère de Ladislas est toutà-fait une création du poète français ; « farouche et indompté, violent, hautain, contradicteur des autres et de soi-même, terrible en ses colères comme un comte de Charolais, ou comme un duc de Bourgogne qui n'aurait pas eu son Beauvillier ou son Fénelon; donnant la mort lâchement et s'apprêtant à la recevoir bravement; effrayant et menaçant dans la mort même; dominé enfin par une de ces violentes passions qui peuvent faire d'un homme un héros, quand elles n'en font point un criminel », tel est Ladislas (pp. 64-65). Le chapitre Iv est consacré à Venceslas au xvie et au xvío sïëcle (pp. 66-78); M. Person donne les dates indiquées par les registres de La Grange; il rappelle la mort de Baron qui joua le rôle de Venceslas à l'âge de 76 ans, se trouva mal et « tomba au champ d'honneur comme Mondory, Montfleury et Molière»; il raconte la querelle de l'Année littéraire et du Mercure de France, de Fréron et de Marmontel qui avait fort témérairement corrigé le texte primitif de Venceslas. Le chapitre v, Venceslas au Théâtre-Français sous le premier Empire (pp. 80-89) expose les griefs du critique du Journal des Débats. Geoffroy, contre la pièce de Rotrou; Geoffroy louait l'« impétuosité sauvage » de Talma dans le rôle de Ladislas, mais il regrettait l'impunité et le couronnement du meurtrier et trouvait qu'il y a là une grande immoralité; M. Person justifie Rotrou; il fait sur le caractère de Ladislas et le dénouement de la pièce des observations à la fois spirituelles et vraies. Le chapitre vi (pp. 90-95) a pour titre : Venceslas de nos jours (représentation de 1842, inauguration de la statue de Rotrou à Dreux le 30 juin 1867, matinées littéraires de Ballande, 1873 et 1875). Le chapitre vii (pp. 96-99) traite des idées politiques dans Venceslas et dans les œuvres de Rotrou. - On trouvera à la fin du volume la reproduction des Notes critiques et biographiques sur Rotrou (pp. 103-148) que M. Person avait récemment publiées, mais sans les mettre dans le commerce; l'auteur a profité des observations et rectifications que lui avaient adressées quelques critiques, entre autres M. Marty-Laveaux, dans notre recueil (3 juillet 1882); on sera heureux de relire dans cet appendice les faits rigoureusement exacts que M. Person est par. venu à établir; mais le modeste et consciencieux écrivain, un de ceux qui font le plus d'honneur à notre enseignement secondaire par leur studieuse ardeur et leur savoir, ne nous dit pas dans son Avant-propos qu'il a ajouté quelques points nouveaux, comme l'étude sur le Manuscrit de Laurent Mahelot, machiniste et décorateur du temps (pp. 120-124), comme les pages sur le nombre des pièces de Rotrou (pp. 124-133) et sur Rotrou d'après les lettres de Chapelain (pp. 133-135), comme les réflexions sur les beaux vers de Rotrou et sur ce que M. Person appelle, selon le mot qu'un biographe applique à l'éloquence de Mazarin, la indoratura del suo bel dire (pp. 138-146) 1.

1. Nous aurions aimé que M. Person citât ces mots de Voltaire : « La première scène et une partie du quatrième acte de Venceslas sont des chefs-d'œuvre » (Ecrivains du siècle de Louis XIV).

ERRATUM. N° 32, art. de M. Jullian sur le livre de M. Madvig; p. 112, note 4, lire C. I. L. VI, et non V. — p. 114, ligne 9, ou s'en partageant et non « en s'en partageant ».

Le Propriétaire-Gérant : ERNEST LEROUX.

Le Puy, imprimerie Marchessou fils, boulevard Saint-Laurent, 23.

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