Les grandes questions religieuses résolues en peu de mots: La foi et l'inçrédulite1883 - 297 pages |
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accusera l'Eglise âme Anaxarque animaux Apôtres Aristote avez besoin Bossuet c'est-à-dire catholicisme catholique choses de Dieu chrétien Christ christianisme Cicéron ciel clergé crime croire croyez culte Démosthène dimanche dire Direz-vous disait divine doit pas vendre donner écou enfants Épicure Est-ce êtes faut-il fidèle genre humain gens d'esprit haute société hommes idées Jésus Jésus-Christ jour l'âme l'argent l'Église l'esprit l'Évangile l'homme l'humanité l'immortalité l'objection laisse écrire Léon X loin Lucullus Mahomet ment miracles monde mort N'est-ce n'est-il nature nécessaire nourrir les pauvres œuvres offrandes orner les églises papier se laisse paroles pensée père philosophie Platon premier œuf première poule prêtre prêtre catholique preuve principe protestant protestantisme purgatoire qu'un question quêtes ruinent raison me suffit religieux religion d'argent riches rien ruinent le peuple s'il sacré saint Augustin saint Jérôme saint Paul science sera seul siècle Socrate sophismes spirituelle témoignage Tertullien tion vend vendre les choses vérité vertu Voltaire voyez-vous
Popular passages
Page 188 - Sainte Église romaine, mère des Églises et mère de tous les fidèles, Église choisie de Dieu pour unir ses enfants dans la même foi et dans la même charité, nous tiendrons toujours à ton unité par le fond de nos entrailles.
Page 157 - Quels préjugés, quel aveuglement ne faut-il point avoir pour oser comparer le fils de Sophronisque au fils de Marie? Quelle distance de l'un à l'autre! Socrate, mourant sans douleur, sans ignominie, soutint aisément jusqu'au bout son personnage; et, si cette facile mort n'eût honoré sa vie, on douterait si Socrate, avec tout son esprit, fut autre chose qu'un sophiste.
Page 74 - Il ya donc une profession de foi purement civile dont il appartient au souverain de fixer les articles, non pas précisément comme dogmes de religion, mais comme sentiments de sociabilité sans lesquels il est impossible d'être bon citoyen ni sujet fidèle.
Page 88 - Ne parlons plus de hasard ni de fortune, ou parlons-en seulement comme d'un nom dont nous couvrons notre ignorance. Ce qui est hasard à l'égard de nos conseils incertains est un dessein concerté dans un conseil plus haut, c'est-à-dire dans ce conseil éternel qui renferme toutes les causes et tous les effets dans un même ordre.
Page 158 - Oui, si la vie et la mort de Socrate sont d'un sage, la vie et la mort de Jésus sont d'un Dieu.
Page 206 - Les entendrai-je toujours et les trouverai-je toujours dans le monde, ces libertins déclarés , esclaves de leurs passions, et téméraires censeurs des conseils de Dieu; qui tout plongés qu'ils sont dans les choses basses , se mêlent de décider hardiment des plus relevées? Profanes et corrompus, lesquels, comme dit saint Jude...
Page 128 - Se peut-il que celui dont il fait l'histoire ne soit qu'un homme lui-même ? Est-ce là le ton d'un enthousiaste ou d'un ambitieux sectaire ? Quelle douceur, quelle pureté dans ses mœurs ! quelle grâce touchante...
Page 157 - Jésus avait-il pris chez les siens cette morale élevée et pure dont lui seul...
Page 53 - L'homme n'est qu'un roseau le plus faible de la nature, mais c'est un roseau pensant. Il ne faut pas que l'univers entier s'arme pour l'écraser. Une vapeur, une goutte d'eau, suffit pour le tuer. Mais quand l'univers l'écraserait, l'homme serait encore plus noble que ce qui le tue, parce qu'il sait qu'il meurt; et l'avantage que l'univers a sur lui, l'univers n'en sait rien. Toute...
Page 157 - La mort de Socrate philosophant tranquillement avec ses amis, est la plus douce qu'on puisse désirer ; celle de Jésus expirant dans les tourmens, injurié, raillé, maudit de tout un peuple, est la plus horrible qu'on puisse craindre. Socrate, prenant la coupe empoisonnée, bénit celui qui la lui présente et qui pleure ; Jésus, au milieu d'un supplice affreux, prie pour ses bourreaux acharnés.