Horace, Juvénal et Perse: Oeuvres complètes |
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... lyre , et ma tête ira tou- cher le ciel . ODE II . A AUGUSTE . Assez longtemps le père des dieux et des hommes a fait tom- ber sur la terre et la neige et la grêle ; assez longtemps sa main étincelante a foudroyé les temples , et rempli ...
... lyre , et ma tête ira tou- cher le ciel . ODE II . A AUGUSTE . Assez longtemps le père des dieux et des hommes a fait tom- ber sur la terre et la neige et la grêle ; assez longtemps sa main étincelante a foudroyé les temples , et rempli ...
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... lyre a peur des combats : la muse qui l'inspire et le res- pect me défendent de flétrir , en y touchant , les lauriers de César et les tiens . Qui peindra dignement Mars revêtu d'acier , Mérion tout poudreux aux champs de Troie ...
... lyre a peur des combats : la muse qui l'inspire et le res- pect me défendent de flétrir , en y touchant , les lauriers de César et les tiens . Qui peindra dignement Mars revêtu d'acier , Mérion tout poudreux aux champs de Troie ...
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... lyre , dieu rusé , dont rien n'arrête les joyeux , larcins ! Encore enfant , tu avais dérobé les génisses d'Apollon ?? « Rends - les moi ! » disait - il d'une voix menaçante ; tout à coup son carquois disparaît , et le dieu ne put s ...
... lyre , dieu rusé , dont rien n'arrête les joyeux , larcins ! Encore enfant , tu avais dérobé les génisses d'Apollon ?? « Rends - les moi ! » disait - il d'une voix menaçante ; tout à coup son carquois disparaît , et le dieu ne put s ...
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... lyre ou ta flûte so- nore , ô Clio ? Quel dieu dont l'écho se plaise à répéter le nom sur les verts sommets de l'Hélicon ou sur le Pinde , ou sur l'Hœ- mus couvert de neige , et d'où l'on vit les forêts descendre à la voix d'Orphée ...
... lyre ou ta flûte so- nore , ô Clio ? Quel dieu dont l'écho se plaise à répéter le nom sur les verts sommets de l'Hélicon ou sur le Pinde , ou sur l'Hœ- mus couvert de neige , et d'où l'on vit les forêts descendre à la voix d'Orphée ...
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... lyre : en vain , couché dans les bras d'Hélène , tu fuiras les lourds javelots ! les flèches du Cré- tois , le bruit des batailles , et la poursuite impétueuse d'Ajax : Paris erra longtemps sur les mers , avant d'arriver avec Hélène ...
... lyre : en vain , couché dans les bras d'Hélène , tu fuiras les lourds javelots ! les flèches du Cré- tois , le bruit des batailles , et la poursuite impétueuse d'Ajax : Paris erra longtemps sur les mers , avant d'arriver avec Hélène ...
Contents
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Horace, Juvénal Et Perse: OEuvres Complètes (Classic Reprint) Horace Horace No preview available - 2018 |
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Common terms and phrases
Accius affranchi aïeux amis amour Apollon Bacchus beau brûle Canidie cent Cérès César chants char cher cheveux chose ciel cœur colère convive coups coursiers Cratinus crime DAMASIPPE dévore dieu dieux digne divinité Énée enfants ÉPITRE épouse époux esclave estomac fais falerne femme festin fille fils flots fortune forum front gens Gétulie gloire goût Grecs heureux homme HORACE j'ai jamais jeune jeux jour Jupiter l'or laisse Latium lyre main maison maître malheureux Mécène ment mer Égée mère mieux mille sesterces mort muse Néron noble nuit parfums Parthe passer patrie pauvre père peuple pieds poëte poisson porte Pouille pourpre préteur qu'un reste riche rien rire robe rois Romains Rome s'il sage sais sanglier SATIRE Séjan sera sesterces seul Suburre Télèphe temple terre tête Thèbes Thrace Tibre Tibur traîne troupeaux turbot Ulysse vaisseaux vertu veux vice vieille vieux vœux voilà vois voix yeux
Popular passages
Page 232 - Qu'il y ait des mânes , un empire souterrain , un aviron et de noirs reptiles dans les gouffres du Styx ; que les ombres par milliers traversent l'onde dans une seule barque, c'est ce que ne croient plus même les enfants , hormis ceux qui ne paient rien encore aux bains.
Page 115 - On. allez-vous de ce pas? — Ce n'est pas la peine de vous faire promener ; je vais rendre visite chez quelqu'un que vous ne connaissez pas et qui demeure fort loin de l'autre côté du Tibre, près des jardins de César.
Page 239 - ... sa batterie de cuisine. Corbulon soutiendrait à peine autant de vases énormes, autant d'ustensiles qu'en porte sur son cou roidi un misérable petit esclave, qui rallume en courant son réchaud. Malheur aux tuniques recousues ! Puis survient un chariot chargé d'une longue poutre, un autre, d'une immense sapin.
Page 282 - At-il manqué son coup; il se redresse, le visage découvert . aux yeux des .spectateurs, et fuit, jaloux d'Otre reconnu de toute l'arène. C'est lui, croyons-en sa tunique, son collier d'or et le réseau d'or qui flotte en longs replis autour de son cou ! Cependant , le mirmillon forcé de le combattre est plus sensible à cet outrage qu'aux blessures les plus cruelles. Si le peuple devenait maître de ses suffrages , quel pervers hésiterait à préférer Sénèque à Néron, ce Néron pour le...
Page 20 - Lalium , et les mères des rois barbares , et les tyrans sous la pourpre : ils tremblent que ton pied dédaigneux ne fasse écrouler l'édifice de leur grandeur, qu'un peuple révolté ne coure aux armes, n'appelle, aux armes les citoyens trop longtemps paisibles , et ne brise leur pouvoir. Devant toi marche l'inexorable Nécessité , dont les mains de bronze portent les énormes clous , les coins do la torture , le croc terrible et le plomb fondu.
Page 260 - Priam et l'infirme Nestor. Déjà les désirs exaltés veulent être assouvis ; déjà chaque femme reconnaît quelle ne tient dans ses bras qu'une femme impuissante 1, et l'antre retentit de ces cris unanimes : Introduisez les hommes, la déesse le permet.
Page 113 - J'étais autrefois un tronc de figuier, bois inutile. L'ouvrier, incertain d'abord s'il ferait de moi un banc ou un Priape , se decida pour le dieu. Ainsi je suis dieu; l'épouvantai! des voleurs et des oiseaux, car ma main arrête les voleurs, ma main et ce pieu malhonnête qui se dresse là, tout rouge ! Quant aux oiseaux maudits , le roseau planté sur ma tête les effraie et les chasse deces nouveaux jardins.
Page 141 - Quintus, ou Publius ( ses oreilles mignardes sont caressées par ce surnom), votre vertu m'a gagné le cœur ! Je connais tous les détours de la chicane ; je puis défendre une cause. Non : l'on m'arrachera les yeux avant que je vous laisse offenser ou appauvrir seulement d'une coquille de noix ! Vous ne serez ni volé ni berné ; j'en fais mon affaire. « — Invite-le à rentrer et à bien soigner sa petite santé. Toi...
Page 327 - ... réciproque un tranquille sommeil ; protéger de nos armes un concitoyen abattu ou affaibli par de larges blessures, marcher au combat sous de communes enseignes et repousser l'ennemi du ba> il des mêmes tours, à l'abri des mêmes portes.
Page 323 - C'est un sacrilége , que de presser sous sa dent le poireau ou l'oignon. Oh ! la sainte nation, qui voit naître dans ses jardins de pareilles divinités ! On ne sert sur aucune table l'animal qui porte la laine : défense d'égorger le petit d'une chèvre ; mais toute liberté de se nourrir de la chair humaine. Quand Ulysse, à la table...