L'état et ses limites |
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administrative ALEXIS DE TOCQUEVILLE Américains Amérique Anglais Angleterre Aristote aujourd'hui Barbé-Marbois Benjamin Constant budget c'était cause centralisation Chambre chose chrétiens citoyen civilisation Confédération conseil d'État constitution constitution de 1852 constitutionnel contrôle Corps législatif crédit crédits supplémentaires décret défendre démocratie Démocratie en Amérique dépenses despotisme Eœtvæs esprits Est-ce États États-Unis finances force Fould garantie gouvernement guerre hommes idées institutions intérêts jamais jour journaux justice l'administration l'Amérique l'Angleterre l'égalité l'Église l'empire l'esclavage l'État l'Europe l'individu l'opinion l'Union l'unité lac Érié laisse liberté d'éducation libre livre lois Louis XIV Louisiane main maître ment millions ministre Mississipi modernes monde Montesquieu morale nation Nord Nouvelle-Angleterre Nouvelle-Orléans paix parlement passé pays pensée pétition peuple politique pouvoir premier presse privilége publique puissance qu'un question raison réforme régime religion reste révolution rien Romains Rousseau Sénat sent séparation sera servitude seul siècle société souverain souveraineté système tion Tocqueville toyen vérité virements voilà vote Washington
Popular passages
Page 40 - Que si quelqu'un, après avoir reconnu publiquement ces mêmes dogmes, se conduit comme ne les croyant pas, qu'il soit puni de mort ; il a commis le plus grand des crimes : il a menti devant les lois.
Page 37 - Trouver une forme d'association qui défende et protège de toute la force commune la personne et les biens de chaque associé, et par laquelle chacun, s'unissant à tous, n'obéisse pourtant qu'à lui-même, et reste aussi libre qu'auparavant!
Page 110 - De tous les auteurs chrétiens, le philosophe Hobbes est le seul qui ait bien vu le mal et le remède, qui ait osé proposer de réunir les deux têtes de l'aigle, et de tout ramener à l'unité politique, sans laquelle jamais État ni gouvernement ne sera bien constitué...
Page 190 - que j'ai vu quand j'étais contrôleur des finances. « Sachez que ce royaume de France est gouverné par « trente intendants. Vous n'avez ni parlement, ni états, « ni gouverneurs ; ce sont trente maîtres des requêtes « commis aux provinces de -qui dépendent le malheur « ou le bonheur de ces provinces, leur abondance ou
Page 33 - Elles doivent être relatives au physique du pays; au climat glacé, brûlant ou tempéré; à la qualité du terrain, à sa situation, à sa grandeur; au genre de vie des peuples, laboureurs, chasseurs ou pasteurs: elles doivent se rapporter au...
Page 40 - Il ya donc une profession de foi purement civile dont il appartient au souverain de fixer les articles, non pas précisément comme dogmes de religion, mais comme sentiments de sociabilité sans lesquels il est impossible d'être bon citoyen ni sujet fidèle.
Page 243 - Des lois qui seraient contraires ou qui porteraient atteinte à la constitution, à la morale, à la religion, à la liberté des cultes, à la liberté individuelle, à l'égalité des citoyens devant la loi, à l'inviolabilité de la propriété et au principe de l'inamovibilité de la magistrature ; 2° De celles qui pourraient compromettre la défense du territoire.
Page 110 - Ce fut dans ces circonstances que Jésus vint établir sur la terre un royaume spirituel, ce qui, séparant le système théologique du système politique, fit que l'état cessa d'être un, et causa les divisions intestines qui n'ont jamais cessé d'agiter les peuples chrétiens.
Page 39 - Or, le souverain , n'étant formé que des particuliers qui le composent, n'a ni ne peut avoir d'intérêt contraire au leur; par conséquent la puissance souveraine n'a nul besoin de garant envers les sujets...
Page 128 - Toutes les actions privées sont soumises à une surveillance sévère. Rien n'est accordé à l'indépendance individuelle, ni sous le rapport des opinions, ni sous celui de l'industrie, ni surtout sous le rapport de la religion.