= Interrogation in-tè-ro-ga-sion; en vers, de six syllabes. Intervention in-tèr-van-sion; en vers, de cinq syllabes. Intertrachélien in-tèr-tra-ké-liin. == Intimation in-ti-ma-sion; en vers, de cinq syllabes. Intimement in-ti-me-man; et non, comme disent quelquesuns, in-ti-mé-man. Intimidation in-ti-mi-da-sion; en vers, de six syllabes. Intra-muros in-tra-mu-rôs'. Intrarachidien in-tra-ra-chi-diin. Intronisation in-tro-ni-za-sion; en vers, de six syllabes. Intuition in-tu-i-sion; en vers, de cinq syllabes. Invention = en vers, de quatre syllabes. Inventorier in-van-to-ri-é. = Investigation in-vè-sti-ga-sion; en vers, de six syllabes. Irradiation = i-rra-di-a-sion; en vers, de six syllabes. = Irréligieusement i-rré-li-ji-eu-ze-man. L'Académie met un accent aigu; elle n'en met pas à religieusement et la vérité, il lui arrive souvent de mettre un accent à des mots ainsi composés, bienque le simple n'en ait point; mais beaucoup prononcent un e muet, et cette prononciation vaut mieux. Auch Bescherelle schreibt ebenfalls irréligieux und irréligieusement und religieux und religieusement. Irrésolution i-rré-so-lu-sion; en vers, de six syllabes. Bescherelle giebt bei Israélite keine Aussprache an, spricht aber in Israël das sz. Malvin-Cazal in beiden Wörtern (370). Feline spricht izraelit. Ebenso will Nodier sprechen. Steffenhagen dagegen hat ein scharfes s in Israël (348). Isthme = i-sm'. Isthmien i-smiin. = Isthmiquei-smi-k. Bescherelle giebt für diese Wörter keine Aussprachebezeichnung. Feline spricht dieses Wort ism. Steffenhagen spricht: isthme, isthmiens, isthmiques, isthmion, isthmite mit weichem s. Malvin-Cazal (370) hat ebenfalls das weiche s in diesen Wörtern; doch im Widerspruch mit dieser seiner Behauptung orthographirt er diese Wörter p. 287: is-m', is-mi-k' Lesaint schreibt S. 170 isme. Italianiser= i-ta-li-a-ni-zé. Iulacé i-u-la-se. Jabot ja-bo; let ne se lie pas dans le parler ordinaire; au pluriel, l's se lie: des ja-bo-z-élégants. Steffenhagen behauptet (378): Das t ist laut in allen Substantiven, z. B. un tort_insupportable. Ausnahmsweise aber stumm in: un goulot étroit. Dies hat er dem Dubroca entlehnt; siehe dessen Anführung unter illot. Jactation ja-kta-sion; en vers, de quatre syllabes. Jadis ja-di; aujourd'hui plusieurs, à tort, font sentir l's; l's se lie: ja-di-z il y avait. Bescherelle ja-diss. Feline: jâdis. Nodier schweigt. MalvinCazal spricht das s; ebenso Landais, Lemare, Steffenhagen, Restaut (Traité de l'orthographe 338), Lesaint (159) etc. Was die Bindung betrifft, so bindet Dubroca die Endung is stets (119), ebenso Malvin-Cazal. Bescherelle: ja-gu-ar, et non ja-gouar ni jagar, fausse prononciation qui a donné lieu au barbarisme jacar. Feline jaguar. Lesaint (79): jaguar jag-ar, g dur. Steffenhagen (128) spricht in dem Worte ua einsilbig, doch nicht oua wie Littré. Malvin-Cazal schreibt jaguard und spricht wie Littré. Jaillir ja-llir; 11 mouillées, et non ja-yir'. = Jais jê; l's se lie. Jamais ja-mê; l's se lie: ja-mê-z-on n'a vu .. Jambosier jan-bo-zié. Jansénien jan-sé-niin. = Janoier jan-oié; l'r ne se lie jamais. = Jardinet jar-di-nè, le t ne se lie pas; au pluriel, l's se lie: des jar-di-nè-zagréables; jardinets rime avec traits, paix etc. Dubroca will in den Wörtern auf et das t stets binden (139); ebenfalls Malvin-Cazal (313). Brandon sagt p. 49: Es ist allgemein bekannt, dass das t der Conjunction et stumm ist und niemals verbunden wird. Was die andern Wörter anlangt, die sich auf et endigen, so verbinden sie sich im Allgemeinen alle. Auch Steffenhagen bindet das t in allen Substantiven (378). Siehe intérêt. Jarret = ja-rè; le t ne se lie pas, au pluriel, l's se lie: des ja-rè-zagiles; jarrets rime avec traits, jamais, succès, paix etc. Siehe intérêt, jardinet. Jarreter ja-re-té. Le t se redouble quand la syllabe qui suit est muette: je jarrette, et non comme on dit souvent, je jarte. Jars jar; l's ne se lie jamais. Dubroca bindet p. 112; ebenso Brandon p. 38 und Malvin-Cazal. Das t bindet freilich nicht, aber das r. Javelot = ja-ve-lo; let ne se lie pas; au pluriel, l's se lie: des ja-ve-lo-zaigus; javelots rime avec repos, maux, travaux etc. Siehe in Bezug auf die Bindung jabot und illot, impôt. Jean-de-Janten jan-de-jan-tèn'. Jetjè, let ne se lie pas; au pluriel, l's se lie: des jè-z écumeux; jets rime avec traits, succès, paix etc. Siehe intérêt, jarret, jardinet. Joachimite jo-a-chi-mi-t' (Secteur de l'abbé Joachim de Flore, XII siècle). = Joie joi; d'après Bèze, au XVIe siècle on prononçait joi-ye; d'autres prononçaient, ce qu'il blâme jo-ye. joai. La Touche (1720) bezeichnet die Aussprache Joint join; au pluriel, l's se lie: des joint-z en bon état. Das heisst doch, dass in der Einzahl das t nicht bindet. Dubroca (141) sagt bei der Endung oint: La liaison du t n'est pas constante dans cette finale, qui appartient souvent à des mots susceptibles des trois acceptions de substantif, d'adjectif ou de verbe; p. ex. joint substantif. Le joint a été manqué; verbe; il join-t'à la douceur beaucoup de fermeté, join-t'à ce que, ci-join-t'un billet. Er ist also der Meinung Littré's. Ebenso Malvin-Cazal, pag. 324. Feline bindet das t in joint; es ist aber aus seinem Wörterbuche nicht ersichtlich, ob er das Hauptwort meint. Jointoyer join-to-ié; d'autres disent join-toi-ié. Jonc jon; le c ne se lie pas; le jon odorant; au pluriel, l's se lie: des jon-z odorants; d'après Chifflet, Gramm. p. 208, le c ne se prononce jamais, non pas même quand il est suivi d'une voyelle. Dubroca bindet (81): du-jon-k'en tâs. Malvin-Cazal (437 Anm. 1): Dans les mots ajonc (genêt épineux), jonc et tronc, le c final ne s'articule jamais, quelle que soit la lettre qui commence le mot suivant: un ajon épineux. Ce tron est pourri, etc., Brandon (28) bindet ebenfalls; Steffenhagen, p. 265 Anm., und Feline binden nicht. Jonchet = jon-chè; le t ne se lie pas; au pluriel, l's se lie: des jon-chè-z élégants; jonchets rime avec traits, succès, paix etc. Siehe intérêt, jarret, jardinet, jet. Jonction jon-ksion; en vers, de trois syllabes. = Jonquille jon-ki-ll', Il mouillées, et non jon-ki-ye. = Jouailler jou-â-llé, 11 mouillées, et non jou-a-yé. jou-è; le t ne se lie pas; au pluriel, I's se lie: des jou-è-z élégants; jouets rime avec traits, succès, paix etc. Siehe intérêt, jarret, jardinet, jet, jonchet. Joug = jough'; dans la campagne on prononce jou; c'était la prononciation du XVIIe siècle, Chifflet, Gram. p. 213, remarquant que le g ne se prononce jamais; au pluriel, l's ne se lie pas: des jough insupportables. Ueber die Bindung der Einzahl sagt Littré nichts. Dubroca bindet: Un jou-k'intolérable. Auch die Mehrzahl bindet er. Malvin (453): Un jou-k'insupportable; auch er weiss davon nichts, dass das s in der Mehrzahl nicht bindet. Auch Brandon bindet das g in der Einzahl und das s in der Mehrzahl. Ebenso Steffenhagen, p. 225. Joyau jo-iô; plusieurs disent joi-iô. Joyeusement jo-ieû-ze-man, plusieurs disent joi-ieû-ze-man. = = Joyeux jo-ieû; plusieurs disent joi-ieû; au XVe siècle, d'après Bèze, il fallait prononcer joi-ieux; il blâme certains qui prononçaient jo-ieux. Ich möchte trotz Littré behaupten, Bèze's Tadel sei auch heute noch berechtigt. Jubilation ju-bi-la-sion; en vers, de cinq syllabes. Judas ju-dâ; l's se lie: un ju-dâ-z ouvert. Ebenso Malvin-Cazal, Feline, Nodier; Steffenhagen (352) und nach ihm auch wohl Waldow, führt an, dass nach Rammstein Judas als Familienname mit lautem s zu sprechen sei. Juillet = jui-llé, 11 mouillées, et non jui-yé. Chifflet, Gram. p. 193, dit pour son temps qui l'i ne sonne aucunement, mais le seul u; cette prononciation s'entend encore assez souvent et peut-être est-ce la bonne; let ne se lie pas. Siehe intérêt, jardinet, jarret, jet, jonchet, jouet. Jujubier ju-ju-bié; l'r ne se prononce et ne se lie jamais, au pluriel, l's se lie: des ju-ju-bié-z en fleurs. Siehe indigotier. Julep ju-lèp. Du temps de Ménage, on prononçait ju-lè. Malvin-Cazal, Bescherelle, Feline, Nodier, die Academie, GiraultDuvivier, Lemare etc. spréchen wie Littré. Juridiction ju-ri-di-ksion; en vers, de cinq syllabes. = Jurisconsulte ju-ri-skon-sult. Jusque et jusques = ju-sk'. On écrit jusques devant des voyelles, soit en vers pour avoir une syllabe de plus, soit en prose pour l'euphonie, et alors l's se lie: ju-ske-z à quand... D'après Chifflet, Gram. p. 236, il était indifférent de prononcer ou de ne pas prononcer l's de jusque; pour le XVIe siècle, Palsgrave dit qu'on prononçait jusque. Jussion ju-sion; en vers, de trois syllabes. Justaucorps = ju-stô-kor; l's ne se lie pas: un ju-stô-kor élégant. Justicier ju-sti-sié; l'r ne se lie jamais; au pluriel, l's se lie des ju-sti-sié-z inflexibles. Siehe indigotier, jujubier. Justification ju-sti-fi-ka-sion; en vers, de six syllabes. Juxtaposition = juk-sta-pô-zi-sion; en vers, de six syllabes. Kakatoës ka-ka-toi. Feline spricht kakatoês; also mit hörbarem End-s. Nodier: ca-ca-toua. Malvin - Cazal: ka-ka-toua. Ebenso die Academie, Lesaint und Girault-Duvivier. LL double, quand elle est précédée d'un i, se prononce mouillée, comme dans paille, bouteille, fille etc.; il faut se garde de confondre cette prononciation, comme font plusieurs, avec celle de l'y grec, et de dire pa-ye, bou-tè-ye, fi-ye. L se prononce comme 11 dans certains mots par exemple: péril. Siehe den ersten Theil dieser Abhandlung über den mouillirten Laut. Lac = lak; au pluriel, l's ne se lie pas: des lak azurés, mais quelques-uns la lient: des lak-z ouverts. Malvin-Cazal spricht z. B., wie auch Dubroca (109) und Brandon: des lac-z'immenses. = Lacer la-sé; quelques-uns, à tort, prononcent, lâ-sé, et confondent ce verbe avec lasser. Wenigstens in der weiblichen Endung (ace, acent etc.) haben das a |