Catherine Ière: impératrice de toutes les Russies, seconde femme de Pierre-le-Grand, Volume 5A. Bertrand, 1819 |
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Catherine Iere: Imperatrice de Toutes Les Russies, Seconde Femme de Pierre ... Augustine Gottis No preview available - 2017 |
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Common terms and phrases
aban adieu adoré affreuse aimé Alexiena allez âme amou amour appartement belle bientôt bonheur bonté brave calme Cathe Catherine cercueil chambellan charmante cher Alexandre cher Démétrius chère Paola ciel Cosaques coupable courage craignez crime cruelle Czar Czarine d'Alexiena daignez désespoir devant diadême Dieu dit-elle dois douleur enfans époux faiblesse fatale femme fille front funeste glace hélas heureux Holstein homme impératrice infortuné instant j'ai j'en Jaguschinski jamais jeune jour l'empereur l'im l'impératrice l'infortuné larmes lèvres madame de Balk main maître malheureux mânes Menzik métrius Mikaël Moëns momens Montolieu mort mourir noble orné pable palais palais d'hiver pâle pardon pératrice Pierre pleurs pouvait pouvait-elle prince Menzikof regard regrets Repnin respect resta reuse rien rine rue Hautefeuille Russie sera silence Sire sœur soins sort souf sourire souveraine taille-douce tête therine tomba à genoux tremblantes trépas trius trône vais vengeance venger veux voilà voix yeux zikof
Popular passages
Page 370 - Vents impétueux, gardez-vous de mugir, et murmurez avec douceur le récit de nos temps heureux. Univers, écoute en silence : une lyre exaltée veut célébrer les plus grands noms. Toujours admirable dans ses œuvres, le Créateur avait arrêté de manifester de nos jours sa puissance. Il envoie en Russie un homme tel que les siècles n'en ont jamais produit1.
Page 370 - Delices des princes et des empires , aimable tran» quillilé, félicite' des hameaux , gardienne des cités, » que tu es utile et belle ! autour de toi les fleurs 88 » colorent , et les épis jaunissent dans les guérets. » Chargés de trésors, les navires osent le suivre sur » les mers , et lu sèmes d'une main libérale tes ri
Page 354 - ... poser de question. Elle savait qu'il allait chez lui. Il n'y avait pas de prétexte. Elle n'y allait pas pour voir un livre, écouter un disque ou parler peinture. Elle y allait pour aimer Pierre, parce qu'elle aimait Pierre, et que Pierre l'aimait. Elle ne vit rien de la maison parce qu'elle avait besoin de toute sa force, de tout son courage pour ne pas rougir, pour ne pas avoir honte de ce qu'elle allait faire. Dans l'ascenseur, elle ne tenait au sol que par le regard de Pierre, par la main...