| Paris (France) - 1832 - 370 pages
...nous l'avons tous vu, bondir et hurler d'aise Les canons monstrueux à ta porte accroupis ! Et Lui ! l'orgueil gonflait sa puissante narine ; Ses deux bras, jusqu'alors croisés sur sa S'étaient enfin ouverts : Et l'enfant, soutenu dans sa main paternelle , poitrine, Inondé des éclairs... | |
| Claude-Sixte Sautreau de Marsy, Charles-Joseph Mathon de La Cour, Vigée (M., Louis-Jean-Baptiste-Étienne), Marie Justin Gensoul, Jean Lesguillon - French poetry - 1833 - 340 pages
...nous l'avons tous vu , bondir et hurler d'aise Les canons monstrueux à ta porte accroupis ! Et lui ! l'orgueil gonflait sa puissante narine ; Ses deux...Aux vieilles nations comme aux vieilles couronnes , Eperdu , l'œil fixé sur quiconque était roi , Comme un aigle arrivé sur une haute cime, 11 cria... | |
| Victor Hugo - 1835 - 366 pages
...nous l'avons tous vu, bondir et hurler d'aise Les canons monstrueux à ta porte accroupis ! Et Lui! l'orgueil gonflait sa puissante narine; Ses deux bras,...croisés sur sa poitrine, S'étaient enfin ouverts ! Et reniant, soutenu dans sa main paternelle, Inondé des éclairs de sa fauve prunelle, Rayonnait au travers!... | |
| Victor Hugo - French language - 1835 - 368 pages
...nous l'avons tous vu, bondir et hurler d'aise Les canons monstrueux à ta porte accroupis ! Et Lui! l'orgueil gonflait sa puissante narine; Ses deux bras, jusqu'alors croisés sur sa poitrine, S'étaient enfln ouverts! Et reniant, soutenu dans sa mai» paternelle, Inondé des éclairs de sa fauve prunelle... | |
| Victor Hugo - 1841 - 312 pages
...nous l'avons tous vu, bondir et hurler d'aise Les canons monstrueux à ta porte accroupis ! Kl Lui! l'orgueil gonflait sa puissante narine; Ses deux bras...prunelle, Rayonnait au travers! Quand il eut bien l'ait voir l'héritier de ses trônes Aux vieilles nations comme aux vieilles couronnes , Éperdu ,... | |
| A. F. GUILLEREZ - 1842 - 258 pages
...la porte accroupis ! Et Lui ! l'orgueil gonflait sa puissante <iarine ; Ses deux bras, jusqu' alors croisés sur sa poitrine. S'étaient enfin ouverts...Aux vieilles nations comme aux vieilles couronnes, u Eperdu, l'œil fixé sur quiconque était roi, Comme un aigle arrivé sur une haute cîme, II cria... | |
| G. H. F. de Castres de Tersac - French language - 1843 - 408 pages
...nous l'avons touts vu, bondir et hurler d'aise Les canons monstrueux à ta porte accroupis! Et lui! l'orgueil gonflait sa puissante narine; Ses deux bras,...Aux vieilles nations comme aux vieilles couronnes, Eperdu, l'oeil fixé sur quiconque était roi, Comme un aigle arrivé sur une haute cime, II cria tout... | |
| Victor Hugo - 1843 - 830 pages
...nous l'avons '.eus vu, bondir et hurler d'aise Les canons monstrueux à ta porte accroupis! El Lui ! l'orgueil gonflait sa puissante narine ; Ses deux...travers! Quand il eut bien fait voir l'héritier de ses IrdiKS Aux vieilles nations comme aux vieilles couronne1. Éperdu, l'œil fixé sur quiconque était... | |
| J. A. de Freitas - 1854 - 240 pages
...nous l'avons tous vu , bondir et hurler d'aise Les canons monstrueux à ta porte accroupis l Et Lui ! l'orgueil gonflait sa puissante narine ; Ses deux...travers ! Quand il eut bien fait voir l'héritier de ses trones Aux vieilles nations comme aux vieilles couronnes , E'perdu , l'œil fixé sur quiconque était... | |
| Victor Hugo - French poetry - 1858 - 284 pages
...nous l'avons tous vu, bondir et hurler d'aise Les canons monstrueux à ta porte accroupis! Et Lui, l'orgueil gonflait sa puissante narine; Ses deux bras, jusqu'alors croisés sur sa poitrine, LES ENFANTS. 209 S'étaient enfin ouverts ! Et l'enfant, soutenu dans sa main paternelle, Inondé des... | |
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