La poésie: études sur les chefs-d'oeuvre des poètes de tous les temps et de tous les pays |
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... sais quoi d'aride et de rebutant . Il fallait s'adresser à l'imagination et à la sensibilité , facultés Vibrantes et toujours en éveil aux jours de la jeunesse ; on ne s'est adressé qu'à la mémoire , et on lui a jeté la plus maigre et ...
... sais quoi d'aride et de rebutant . Il fallait s'adresser à l'imagination et à la sensibilité , facultés Vibrantes et toujours en éveil aux jours de la jeunesse ; on ne s'est adressé qu'à la mémoire , et on lui a jeté la plus maigre et ...
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... sais gré , lui disait le prince de Condé , de a si bien connaître Aristote ; mais je ne pardonne pas à << Aristote d'avoir fait faire une si mauvaise tragédie >> La levée de boucliers qui eut lieu contre le Cid 6 DE LA MÉTHODE .
... sais gré , lui disait le prince de Condé , de a si bien connaître Aristote ; mais je ne pardonne pas à << Aristote d'avoir fait faire une si mauvaise tragédie >> La levée de boucliers qui eut lieu contre le Cid 6 DE LA MÉTHODE .
Page 10
... sais quelle définition du genre inventée mille ans , deux mille ans après , et calquée sur les habitudes et les goûts d'une société qui ne ressemblait en rien à celle de la Grèce héroïque . - Boileau , qui réfuta Per- rault , n'eut ...
... sais quelle définition du genre inventée mille ans , deux mille ans après , et calquée sur les habitudes et les goûts d'une société qui ne ressemblait en rien à celle de la Grèce héroïque . - Boileau , qui réfuta Per- rault , n'eut ...
Page 14
... sais le nom du peintre , c'est Paul Véronèse . Il vivait au seizième siècle , il appartenait à l'École vénitienne . Je m'explique alors l'éclat du coloris qui était la gloire de cette école , et comme un reflet du ciel admi- rable de ...
... sais le nom du peintre , c'est Paul Véronèse . Il vivait au seizième siècle , il appartenait à l'École vénitienne . Je m'explique alors l'éclat du coloris qui était la gloire de cette école , et comme un reflet du ciel admi- rable de ...
Page 31
... sais s'il y a dans aucune langue rien de plus beau . Qu'on lise aussi à la fin du vingt - quatrième chant le récit des funérailles du Troyen , les derniers adieux qui lui sont adressés . Disons aussi un mot des caractères de femmes . Ho ...
... sais s'il y a dans aucune langue rien de plus beau . Qu'on lise aussi à la fin du vingt - quatrième chant le récit des funérailles du Troyen , les derniers adieux qui lui sont adressés . Disons aussi un mot des caractères de femmes . Ho ...
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Common terms and phrases
Achille Agamemnon Ajax âme Arès Athènè Atrides bataille bergers bles Boileau c'était caractère champs Chanson de Roland chant charme chœur choses cœur critique d'Achille d'Ajax d'Homère d'Ulysse destinée Dieu dieux Dionysos divinité dix-septième siècle drame Énée enfants épopée Eschyle esprit Euripide eût fable femme fils fleurs foule génie genre gloire goût Grecs guerre héros Homère hommes Horace Idylles Ithaque jour Jupiter Juvénal l'âme l'apologue l'art l'Énéide l'épopée l'homme l'Iliade l'Odyssée l'œuvre légende liberté littérature Lope de Véga Lucilius Lucrèce lui-même Macbeth main maître malheureux Ménélaos ment misères mœurs monde morale mort mortels nature noble œuvre passe passions Patrocle peinture père personnages peuple Phéaciens Pindare pitié poëme poésie dramatique poésie lyrique poésie pastorale poëte poétique prince reste rien rois Roland Romains Rome sais sang sanglante satire scène seizième siècle sentiments serait seul Shakespeare Sophocle sujet Tecmessa Teucer théâtre Théocrite tion tragédie traits Troie Troyens Ulysse vainqueur vices Virgile voilà Voltaire yeux
Popular passages
Page 291 - Scudéry et de sa protectrice, en faisant quelque nouveau Cid, qui attire encore les suffrages de tout le monde, et qui montre que l'art n'est pas ce qui fait la beauté ; mais il n'ya pas moyen de l'y résoudre, et il ne parle plus que de règles, et que des choses qu'il eût pu répondre aux académiciens...
Page 186 - Et lui! l'orgueil gonflait sa puissante narine; Ses deux bras, jusqu'alors croisés sur sa poitrine, S'étaient enfin ouverts! Et l'enfant, soutenu dans sa main paternelle, Inondé des éclairs de sa fauve prunelle, Rayonnait au travers.
Page 327 - Puis, aux derniers abois de sa proche ruine, Elle dit : « Vous avez, félons, ensanglanté, Le sein qui vous nourrit et qui vous a porté; Or vivez de venin, sanglante geniture, 130 Je n'ai plus que du sang pour vostre nourriture.
Page 336 - Au banquet de la vie, infortuné convive, J'apparus un jour, et je meurs ; Je meurs, et sur la tombe, où lentement j'arrive, Nul ne viendra verser des pleurs.
Page 288 - L'on voit certains animaux farouches, des mâles et des femelles, répandus par la campagne, noirs, livides et tout brûlés du soleil, attachés à la terre qu'ils fouillent et qu'ils remuent avec une opiniâtreté invincible ; ils ont comme une voix articulée, et quand ils se lèvent sur leurs pieds, ils montrent une face humaine, et en effet ils sont des hommes.
Page 186 - Ton aigle dans son vol, haletants, nous emporte. L'œil même qui te fuit te retrouve partout. Toujours dans nos tableaux tu jettes ta grande ombre; Toujours Napoléon, éblouissant et sombre, Sur le seuil du siècle est debout.
Page 188 - Quand, pour loger un jour ce maître héréditaire, On eut enraciné bien avant dans la terre Les pieds de marbre des palais ; Lorsqu'on eut pour sa soif posé devant la France Un vase tout rempli du vin de l'espérance Avant qu'il eût goûté de ce poison doré, Avant que de sa lèvre il eût touché la coupe , Un Cosaque survint qui prit l'enfant en croupe Et l'emporta tout effaré ! IV Oui, l'aigle, un soir, planait aux voûtes éternelles, Lorsqu'un grand coup de vent lui cassa les deux ailes...
Page 189 - Tous deux sont morts. — Seigneur, votre droite est terrible ! Vous avez commencé par le maître invincible, Par l'homme triomphant, Puis vous avez enfin complété l'ossuaire ; Dix ans vous ont suffi pour filer le suaire Du père et de l'enfant ! Gloire, jeunesse, orgueil, biens que la tombe emporte!
Page 385 - J'aime le jeu, l'amour, les livres, la musique, La ville et la campagne, enfin tout ; il n'est rien Qui ne me soit souverain bien, Jusqu'au sombre plaisir d'un cœur mélancolique.
Page 124 - II n'eût point de son livre illustré l'Italie , Si son sage héros , toujours en oraison , N'eût fait que mettre enfin Satan à la raison ; Et si Renaud , Argant, Tancrède, et sa maîtresse , N'eussent de son sujet égayé la tristesse.