Tout m'étonnait dans cette liberté tant souhaitée, et à laquelle j'arrivais enfin. Les charmes que j'y trouvais n'étaient pas ceux que j'avais rêvés, ces compagnons si gais, si aimables, si nobles, que je m'étais figurés je ne les trouvais pas,... L'art et la vie de Stendhal - Page 60by Albert Collignon - 1868 - 535 pagesFull view - About this book
| Stendhal, Honoré de Balzac, Romain Colomb - French fiction - 1846 - 582 pages
...Tout m'étonnait, disait-il, dans cette liberté tant souhaitée, et à laquelle j'arrivais enfin. Les charmes que j'y trouvais n'étaient cependant...compagnons, si gais, si aimables, si nobles, que je m'étais ligurés, je ne les trouvais pas ; mais à leur plaîe des polissons trèségoïstes. Ce désappointement... | |
| Stendhal, Honoré de Balzac, Romain Colomb - French fiction - 1846 - 562 pages
...soubaitée, et à laquelle j'arrivais enfin. Les cbarmes que j'y trouvais n'étaient cependant pas cenx que j'avais rêvés ; ces compagnons, si gais, si aimables, si nobles, que' je m'étais ligurés, je ne les trouvais pas ; mais à leur place des polissons très(t) Les écales centrales... | |
| Académie delphinale - Dauphiné (France) - 1847 - 900 pages
...transition : « Tout m'étonnait dans cette liberté tant souhaitée, et à laquelle j'arrivais enfin. Les charmes que j'y trouvais n'étaient cependant...l'ai eu à peu près dans tout le courant de ma vie. » Il faut en convenir, ces mots n'ont rien de flatteur pour les anciens condisciples de M. Beyle;... | |
| Académie delphinale - Humanities - 1847 - 900 pages
...transition : « Tout m'étonnait dans cette liberté tant souhaitée, et à laquelle j'arrivais enfin. Les charmes que j'y trouvais n'étaient cependant...polissons très-égoïstes. Ce désappointement, je l'ai en à peu près dans tout le courant de ma vie. » Il faut en convenir, ces mots n'ont rien de flatteur... | |
| Hippolyte Babou - Authors, French - 1875 - 352 pages
...cette liberté tant souhaitée et à laquelle j'arrivais enfin. Les charmes que j'y trouvais n'étaient pas ceux que j'avais rêvés; ces compagnons si gais,...de mes camarades; je vois aujourd'hui que j'avais alors'un mélange fort ridicule de hauteur et de besoin de m'amuser. Je répondais à leur égoïsme... | |
| Jean Mélia - 1910 - 550 pages
...en faire remonter l'origine à ce point. « Ce désappointement, écrit-il en effet bien plus tard, je l'ai eu à peu près dans tout le courant de ma vie. » A l'Ecole Centrale, Stendhal se console de sa désillusion par le travail. Il est tellement absorbé... | |
| Stendhal - 1913 - 388 pages
...liberté tant souhaitée, et à laquelle j'arrivais enfin. Les charmes que j'y trouvais n'étaient pas ceux que j'avais rêvés, ces compagnons si gais,...les trouvais pas, mais à leur place, des polissons très égoïstes. Ce désappointement, je l'ai eu à peu près dans l.out le courant de ma vie. Les... | |
| Paul Arbelet - 1919 - 446 pages
...déconcertèrent. « Tout m'étonnait dans cette liberté tant souhaitée, et à laquelle j'arrivais enfin... Ces compagnons si gais, si aimables, si nobles, que...les trouvais pas, mais à leur place, des polissons très égoïstes. » A peine connaissait-il les hommes, que déjà Henri Beyle se sentait un étranger... | |
| Paul Arbelet - Authors - 1919 - 444 pages
...expérience inutile, et ne deviennent jamais des sages. « Ce désappointement, avoue Bcyle à cinquante ans, je l'ai eu à peu près dans tout le courant de ma vie. » Il est probable que ces « polissons » si « égoïstes » furent eux-mêmes aussi surpris de leur... | |
| Louis Gabriel Michaud - Biography - 1842 - 700 pages
...cours de l'école établie à Grenoble ; avec plus de liberté, il eut aussi quelques déceptions. « Ces « compagnons si gais, si aimables, si nobles que « je m'étais figurés, dit-il, je ne les trouvais pas, « mais à leur place des polissons très- égoïstes. « Ce désappointement... | |
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