| Robert Arnauld d'Andilly - France - 1734 - 410 pages
...il étoit auffi extrêmement connu , ainfî qu'on le pourra voir dans unMémoire particulier figné de ma main , que j'ai fait il ya longtemps de tout ce qui le regarde , fcachant aufïï que Son Eminence ne fè confioit que par moi à M. le Colonel , & n'ignorant pas... | |
| Petitot (M., Claude-Bernard) - France - 1824 - 560 pages
...Après lui avoir protesté que son amitié et sa tendresse pour moi étoient toujours les mêmes , il lui dit que cette inclination et cette confiance...à M. le colonel , et n'ignorant pas quelle étoit l'ambitioa de madame la marquise , et sa passion de gouverner Monsieur, il n'eut pas peine à juger... | |
| Petitot (M., Claude-Bernard) - France - 1824 - 562 pages
...Après lui a voir prolesté que son amitié et sa tendresse pour moi étoient toujours les mêmes , il lui dit que cette inclination et cette confiance...n'eut pas peine à juger que ce discours étoit un effet de la jalousie. Ainsi il répondit à M. le colonel que ce qu'il venoit de lui dire luifaisoit... | |
| Marie d'Orléans Nemours (duchesse de) - France - 1824 - 574 pages
...ne parussent tant, j'évitasse une partie des occasions dans lesquelles Monsieur me les tëmoignoit. Nul autre n'ayant l'esprit plus pénétrant que M....n'eut pas peine à juger que ce discours étoit un effet de la jalousie. Ainsi il répondit à M. le colonel que ce qu'il venoit de lui dire lui faisoit... | |
| Joseph Fr. Michaud - France - 1838 - 646 pages
...cette inclination et cette confiance de Monsieur pour moi éclatoient de telle sorte, qu'il serait bon que, pour empêcher qu'elles ne parussent tant,...n'eut pas peine à juger que ce discours étoit un effet de la jalousie. Ainsi il répondit à M. le colonel que ce qu'il veuoit de lui dire lui faisoit... | |
| Marie d'Orléans Nemours (duchesse de) - France - 1838 - 640 pages
...lesquelles Monsieur me les témoignoit. Nul autre n'ayant l'esprit plus pénétrant que M. de Saint-Cyrau , ni ne connoissant mieux celui de M. le colonel, dont...n'eut pas peine à juger que ce discours étoit un effet de la jalousie. Ainsi il répondit à M. le colonel que ce qu'il venoit de lui dire lui faisoit... | |
| Joseph Fr. Michaud - France - 1851 - 640 pages
...cette inclination et cette confiance de Monsieur pour moi éclataient de telle sorte, qu'il serait bon que, pour empêcher qu'elles ne parussent tant,...le regarde ; sachant aussi que Son Eminence ne se conlioil que par moi à M. le colonel, et n'ignorant pas quelle étoit l'ambition de madame la marquise,... | |
| Auch (France) - 1911 - 586 pages
...fois. Il dit dabord, (p. 33) : « Nul autre n'ayant l'esprit plus pénétrant que M. de SaintCyran... ainsi qu'on le pourra voir dans un Mémoire. particulier, signé de ma main, que j'ai fait il ya longtemps (2) de tout ce qui le regarde... » Et ensuite, (p. 117) : «Je ne parlerai point des divers intérêts... | |
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