Les ornemens de la mémoire, ou: Traits brillans des poètes français les plus célèbresImprimerie librairie romantique, 1830 - 250 pages |
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... qu'à un certain nombre de connaissances , il est naturel de leur faire cultiver celles qui s'acquièrent avec plus de facilité , qui rendent l'étude aimable , et qui perfection- nent le goût . Telle est la connaissance des poëtes . Il ...
... qu'à un certain nombre de connaissances , il est naturel de leur faire cultiver celles qui s'acquièrent avec plus de facilité , qui rendent l'étude aimable , et qui perfection- nent le goût . Telle est la connaissance des poëtes . Il ...
Page xi
... qu'à l'école de ces grands maîtres , que ce n'est qu'en les étudiant , qu'on peut apprendre à connaître un bon ouvrage , et qu'ils sont , pour toutes les productions nouvelles , la vraie pierre de touche . C'est en les goûtant qu'on s ...
... qu'à l'école de ces grands maîtres , que ce n'est qu'en les étudiant , qu'on peut apprendre à connaître un bon ouvrage , et qu'ils sont , pour toutes les productions nouvelles , la vraie pierre de touche . C'est en les goûtant qu'on s ...
Page 15
... qu'à se montrer ; Il parle , et dans la poudre il les fait tous rentrer . Au seul son de sa voix , la mer fuit , le ciel tremble ; Il voit comme un néant tout l'univers ensemble ; Et les faibles mortels , vains jouets du trépas , Sont ...
... qu'à se montrer ; Il parle , et dans la poudre il les fait tous rentrer . Au seul son de sa voix , la mer fuit , le ciel tremble ; Il voit comme un néant tout l'univers ensemble ; Et les faibles mortels , vains jouets du trépas , Sont ...
Page 18
... Qu'à des dieux qui sont nés du penchant de son cœur . Ainsi des nations triomphent les prestiges . Grand Dieu ! de ta justice il n'est plus de vestiges , Qu'attends - tu pour punir ces forfaits éclatans ? Leur cri jusqu'à ton trône est ...
... Qu'à des dieux qui sont nés du penchant de son cœur . Ainsi des nations triomphent les prestiges . Grand Dieu ! de ta justice il n'est plus de vestiges , Qu'attends - tu pour punir ces forfaits éclatans ? Leur cri jusqu'à ton trône est ...
Page 26
... qu'à nous les plaisirs , Et les mènent au but où tendent leurs désirs . Pauline , dans Polyeucte , de Corneille . Image du ciel ou du séjour des bienheureux , d'après les notions de la foi . Au milieu des clartés d'un feu pur et durable ...
... qu'à nous les plaisirs , Et les mènent au but où tendent leurs désirs . Pauline , dans Polyeucte , de Corneille . Image du ciel ou du séjour des bienheureux , d'après les notions de la foi . Au milieu des clartés d'un feu pur et durable ...
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Common terms and phrases
aimait amour ANDROMAQUE ARDARIC ATHALIE Attila beau beauté Boileau bonheur brillant Calchas célèbre CÉPHISE César charmes cher CHIMÈNE chose ciel cieux Cinna CLYTEMNESTRE cœur Corneille courage courroux craint crime cruel Dieu dieux digne doit donne douleur Édouard III enfans ennemis époux esprit Eurydice fable fille fils Fontaine fortune funeste fureur gloire goût grandeur guerre haine Hélas Henriade Héraclius héros heureux hommes images j'ai j'en jamais JOAD JOAS jour JOZABET l'ame l'amour l'univers laisse long-temps madame main maître malheureux Mérouée mort mortels mourir noble Oreste parle pensées père Pertharite peuple Phocas plaisirs pleurs poésie poëte Polyeucte Pompée prince Pyrrhus qu'un Racine raison régner Rhadamiste rien RODRIGUE rois Romains Rome Rousseau sage saints sais sang scène Seigneur sentimens sentiment Sertorius seul soins Sophonisbe sort STRATONICE sublime suivans sujet Sylla Syphax terre tragédie traits trembler trépas triste trône vainqueur venger vérité vertu veut victoire vœux vois voix yeux Zaïre Zénobie
Popular passages
Page 169 - J'aime à voir comme vous l'instruisez. Enfin, Eliacin, vous avez su me plaire ; Vous n'êtes point, sans doute, un enfant ordinaire. Vous voyez, je suis Reine, et n'ai point d'héritier ; Laissez là cet habit, quittez ce vil métier ; Je veux vous faire part de toutes mes richesses, Essayez dès ce jour l'effet de mes promesses.
Page 241 - Tout prend un corps, une âme, un esprit, un visage. Chaque vertu devient une divinité : Minerve est la prudence, et Vénus la beauté ; Ce n'est plus la vapeur qui produit le tonnerre, C'est Jupiter armé pour effrayer la terre ; Un orage terrible aux yeux des matelots, C'est Neptune en courroux qui gourmande les flots.
Page 81 - Misérable ! et je vis ! et je soutiens la vue De ce sacré soleil dont je suis descendue ! J'ai pour aïeul le père et le maître des dieux ; Ils s'aimeront toujours!
Page 193 - Quand pourront les neuf Sœurs, loin des cours et des villes, M'occuper tout entier, et m'apprendre des cieux Les divers mouvements inconnus à nos yeux , Les noms et les vertus de ces clartés errantes Par qui sont nos destins et nos mœurs différentes...
Page 138 - Sylla m'a précédé dans ce pouvoir suprême, Le grand César, mon père, en a joui de même : D'un œil si différent tous deux l'ont regardé Que l'un s'en est démis, et l'autre l'a gardé : Mais l'un, cruel, barbare, est mort aimé, tranquille., Comme un bon citoyen dans le sein de sa ville ; L'autre, tout débonnaire, au milieu du Sénat, A vu trancher ses jours par un assassinat.
Page 205 - Ainsi dit le renard; et flatteurs d'applaudir. On n'osa trop approfondir Du tigre, ni de l'ours, ni des autres puissances, Les moins pardonnables offenses : Tous les gens querelleurs, jusqu'aux simples mâtins, Au dire de chacun étaient de petits saints.
Page 173 - De l'absolu pouvoir vous ignorez l'ivresse, Et des lâches flatteurs la voix enchanteresse. Bientôt ils vous diront que les plus saintes lois, Maîtresses du vil peuple^ obéissent aux rois; Qu'un roi n'a d'autre frein que sa volonté même...
Page 173 - Promettez sur ce livre, et devant ces témoins, Que Dieu sera toujours le premier de vos soins ; Que, sévère aux méchants, et des bons le refuge, Entre le pauvre et vous vous prendrez Dieu pour juge ; Vous souvenant, mon fils, que, caché sous ce lin, Comme eux vous fûtes pauvre, et comme eux orphelin.
Page 57 - Lorsqu'un époux mortel fut reçu dans son lit : Je puis choisir, dit-on, ou beaucoup d'ans sans gloire, Ou peu de jours suivis d'une longue mémoire. Mais, puisqu'il faut enfin que j'arrive au tombeau, Voudrais-je, de la terre inutile fardeau, Trop avare d'un sang reçu d'une déesse, Attendre chez mon père une obscure vieillesse ; Kt, toujours de la gloire évitant le sentier, Ne laisser aucun nom, et mourir tout entier?
Page 158 - Non, non : d'un ennemi respecter la misère, Sauver des malheureux , rendre un fils à sa mère.