Histoire politique des Etats-Unis depuis les premiers essais de colonisation jusqu'à l'adoption e la constitution fédérale 1620-1789: Tom. Ier, Volume 1 |
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... compagnie ; et , par un vice de nature ou d'éducation , je me défie de ce que tout le monde applaudit . Comme citoyen , ce n'est pas sans inquiétude que je considère ce qui se passe aujourd'hui . Dans ce que j'entends louer , il me ...
... compagnie ; et , par un vice de nature ou d'éducation , je me défie de ce que tout le monde applaudit . Comme citoyen , ce n'est pas sans inquiétude que je considère ce qui se passe aujourd'hui . Dans ce que j'entends louer , il me ...
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... compagnie hollandaise des Indes orientales , avait découvert en 1608 et remonté la rivière à la- quelle on a donné son nom , les Pays - Bas avaient entrepris un établissement dans ces belles con- trées . Ainsi , au droit que leur ...
... compagnie hollandaise des Indes orientales , avait découvert en 1608 et remonté la rivière à la- quelle on a donné son nom , les Pays - Bas avaient entrepris un établissement dans ces belles con- trées . Ainsi , au droit que leur ...
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... compagnie de Plymouth . La guerre décida des prétentions des deux États , et la colonie resta à l'Angleterre beaucoup moins en vertu du droit de découverte , qu'en vertu du droit du plus fort , cette règle suprême , cette ultima ratio ...
... compagnie de Plymouth . La guerre décida des prétentions des deux États , et la colonie resta à l'Angleterre beaucoup moins en vertu du droit de découverte , qu'en vertu du droit du plus fort , cette règle suprême , cette ultima ratio ...
Page 77
... compagnie de Londres , dont les chefs étaient sir Thomas Gates , sir Georges Summers , et Richard Hakluyt , du chapitre de Westminster . Hakluyt est l'homme auquel l'Angleterre doit la colonisation de l'Amé- rique ; il usa sa vie à ...
... compagnie de Londres , dont les chefs étaient sir Thomas Gates , sir Georges Summers , et Richard Hakluyt , du chapitre de Westminster . Hakluyt est l'homme auquel l'Angleterre doit la colonisation de l'Amé- rique ; il usa sa vie à ...
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... compagnie qu'on fait la concession . L'âge féodal est fini , ce n'est plus à un seigneur comme Raleigh qu'on donne ce nouveau domaine ; mais ce n'est pas non plus l'État qui prend en main la colonisation . L'âge des compagnies , qui ...
... compagnie qu'on fait la concession . L'âge féodal est fini , ce n'est plus à un seigneur comme Raleigh qu'on donne ce nouveau domaine ; mais ce n'est pas non plus l'État qui prend en main la colonisation . L'âge des compagnies , qui ...
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Common terms and phrases
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Popular passages
Page 69 - ... de vous citer ses paroles prophétiques ; car cette gloire politique nous appartient. Tout en acceptant la guerre avec les Anglais pour affranchir l'Amérique, M. de Vergennes ne se faisait pas illusion sur l'avenir de la nation que nous allions émanciper. « Bien loin de nous réjouir des événements, disait-il à lord Stormont, l'ambassadeur anglais, nous les voyons avec quelque peine. Ce qui vous arrive en Amérique n'est de la convenance de personne. Je vois les suites de cette indépendance...
Page 283 - soit plaidée à ce premier tribunal avant d'être portée devant la « justice. Et si l'avis de l'intendant est contraire aux habitants, ou « si leur adversaire a du crédit à l'intendance, la communauté est « déchue de la faculté de défendre ses droits. Voilà, Sire, par quels « moyens on a travaillé à étouffer en France tout esprit municipal, « à éteindre , si on le pouvait , jusqu'aux sentiments de citoyens ; « on a pour ainsi dire interdit la nation entière, et on lui a donné...
Page 283 - ... jusqu'à déclarer nulles les délibérations des habitants d'un village quand elles ne sont pas autorisées par l'intendant ; en sorte que si cette communauté a une dépense à faire...
Page 519 - C'est dans cet espace abandonné aux flexibles combinaisons de l'intelligence, que s'exerce la liberté du pouvoir social, et qu'il faut chercher la double influence des lois sur les mœurs, et des mœurs sur les lois.
Page 166 - Nouvelle-Angleterre se sont d'abord répandus dans les États voisins ; ils ont ensuite gagné de proche en proche les plus éloignés , et ont fini , si je puis m'exprimer ainsi , par pénétrer la confédération entière. Ils exercent maintenant leur influence au delà de ses limites sur tout le monde américain. La civilisation de la Nouvelle-Angleterre a été comme ces feux allumés sur les hauteurs , qui, après avoir répandu la chaleur autour d'eux , teignent encore de leurs clartés les...
Page 158 - Et, en vertu du dit acte, nous ferons et établirons telles justes et équitables lois, telles ordonnances, actes, constitutions, et tels officiers qu'il nous conviendra, suivant que nous le jugerons opportun et utile pour le bien général de la colonie. Moyennant quoi, nous promettons toute due 'soumission et obéissance. En foi de quoi nous avons signé, au cap Cod, le U novembre, anno Domini 1620 (vieux style).
Page 124 - ... corrompent l'autre , dégradent la morale politique, infectent la morale sociale et dévorent l'espèce humaine. Le système colonial, l'esclavage, les haines de l'avarice qu'on appelle haines nationales, les guerres de l'avarice qu'on appelle guerres de commerce, ont fait sortir de cette...
Page 528 - Cela est vrai, mais il faut connaître la forme de cette demande, afin que ceux qui attachent à cefa-quelque importance comprennent en quel sens elle fut faite. A mon arrivée à Paris, en octobre 1782, à l'occasion de la paix, le livre de M. l'abbé de Mably, Sur la manière d'écrire l'histoire, me tomba dans les mains. A la fin de cet ouvrage, il déclare qu'il a l'intention d'écrire l'histoire de la révolution américaine. Ayant rencontré bientôt après l'abbé à dîner chez M. de Chalut...
Page 59 - ... des établissements sédentaires et permanents; il faut, en un mot, occuper par des habitations et par la culture le terrain qu'on prétend s'approprier; tout ce qui se fait au delà est désavoué par la saine raison et ne peut se soutenir que par la force.