Introduction à la littérature1849 - Literature - 120 pages |
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... destinée la plus heureuse , puisqu'il a le bonheur de paraître sous les auspices d'un Révérend qui cultive , avec tant de suc cès , les sciences et les arts , et que de si précieuses qualités recommandent à la vénération publique ...
... destinée la plus heureuse , puisqu'il a le bonheur de paraître sous les auspices d'un Révérend qui cultive , avec tant de suc cès , les sciences et les arts , et que de si précieuses qualités recommandent à la vénération publique ...
Page 14
... de leurs cavernes sombres , Mêlent à leurs clameurs d'horribles sifflements . Inutiles efforts ! amante infortunée , D'un dieu plus fort que toi dépend ta destinée : Tu peux faire trembler la terre sous tes pas , 14.
... de leurs cavernes sombres , Mêlent à leurs clameurs d'horribles sifflements . Inutiles efforts ! amante infortunée , D'un dieu plus fort que toi dépend ta destinée : Tu peux faire trembler la terre sous tes pas , 14.
Page 104
... destinée à être mise en chant . C'est pour cela qu'on l'a appelée lyrique , et parce qu'autre fois quand on la chantait , la lyre accompagnait la voix . Le mot ode a la même origine ; il signifie chant , chanson , hymne , cantique . Il ...
... destinée à être mise en chant . C'est pour cela qu'on l'a appelée lyrique , et parce qu'autre fois quand on la chantait , la lyre accompagnait la voix . Le mot ode a la même origine ; il signifie chant , chanson , hymne , cantique . Il ...
Page 125
... destinée , Cédez sans murmurer à la rigueur du sort : Minos vous a reçus , des bras de la victoire ; Les rayons de la gloire , Ont dissipé l'horreur des ombres de la mort . Rivaux dignes de nous , si le sort de vos armes A la fière ...
... destinée , Cédez sans murmurer à la rigueur du sort : Minos vous a reçus , des bras de la victoire ; Les rayons de la gloire , Ont dissipé l'horreur des ombres de la mort . Rivaux dignes de nous , si le sort de vos armes A la fière ...
Page 143
... lauriers qui vous furent promis ; Et , par d'heureux exploits forçant la destinée , Trouveront d'lion la fatale journée . J'entrevois vos mépris et juge à vos discours , Combien j'acheterais vos superbes secours . De la Grèce déjà 143.
... lauriers qui vous furent promis ; Et , par d'heureux exploits forçant la destinée , Trouveront d'lion la fatale journée . J'entrevois vos mépris et juge à vos discours , Combien j'acheterais vos superbes secours . De la Grèce déjà 143.
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Achille acteurs Agamemnon Aristophane Athalie badin beauté beaux arts belle nature bergers Boileau CARACTÈRE DES PRINCIPAUX chant choses ciel Cinna cœur colère comédie comique Corbulon Corneille d'images Dieu dieux doit douleur doux Esope espèce Euripide fables fleurs fureur génie genre de poésie gloire goût gracieux Grecs Hector Héraclius héros homme Horace Idylle imitant j'ai jour l'action l'apologue l'églogue l'élégie l'épître l'épopée l'esprit l'expression l'héroïde l'ode Lafontaine lecteur LEICESTER SQUARE Lusiade Madame Deshoulières madrigal malheureux matière maux merveilleux mœurs mort nœud objets ornemens Oronte ouvrage parler passions Patrocle peindre peint peintures pensées peuple philosophique Pindare pitié plaire Plaute pleurs poème poésie didactique POÉSIE DRAMATIQUE poésie épique poésie lyrique poésie pastorale premier Priam PRINCIPAUX POÈTES qualités quelquefois Racan raconte récit poétique renard ridicule rien rois ruisseau sentimens sentiment sera seul sort style simple style sublime sujet tendre Térence terreur tragédie tragique tranchet trembler triste vérité Virgile vraisemblable yeux
Popular passages
Page 118 - La mort a des rigueurs à nulle autre pareilles ; On a beau la prier, La cruelle qu'elle est se bouche les oreilles, Et nous laisse crier. Le pauvre en sa cabane, où le chaume le couvre, Est sujet à ses lois ; Et la garde qui veille aux barrières du Louvre N'en défend point nos Rois. De murmurer contre elle et perdre patience II est mal à propos ; Vouloir ce que Dieu veut est la seule science Qui nous met en repos.
Page 37 - L'âne vint à son tour, et dit : J'ai souvenance Qu'en un pré de moines passant, La faim, l'occasion, l'herbe tendre, et, je pense, Quelque diable aussi me poussant, Je tondis de ce pré la largeur de ma langue ; Je n'en avais nul droit, puisqu'il faut parler net.
Page 120 - Où l'Hèbre effrayé dans son onde Reçut ses membres dispersés, Le Thrace, errant sur les montagnes, Remplit les bois et les campagnes Du cri perçant de ses douleurs ; Les champs de l'air en retentirent, Et dans les antres qui gémirent Le lion répandit des pleurs.
Page 80 - Inventa du sonnet les rigoureuses lois; Voulut qu'en deux quatrains de mesure pareille La rime avec deux sons frappât huit fois l'oreille; Et qu'ensuite six vers artistement rangés Fussent en deux tercets par le sens partagés ; Surtout de ce...
Page 36 - Un mal qui répand la terreur, Mal que le Ciel en sa fureur Inventa pour punir les crimes de la terre...
Page 141 - Même elle avait encor cet éclat emprunté Dont elle eut soin de peindre et d'orner son visage Pour réparer des ans l'irréparable outrage. Tremble , m'at-elle dit , fille digne de moi: Le cruel Dieu des Juifs l'emporte aussi sur toi; Je te plains de tomber dans ses mains redoutables ., Ma fille.
Page 144 - Juste ciell puis-je entendre et souffrir ce langage ? Est-ce ainsi qu'au parjure on ajoute l'outrage ? Moi, je voulais partir aux dépens de ses jours ? Et que m'a fait à moi cette Troie où je cours ? Au pied de ses remparts quel intérêt m'appelle ? Pour qui, sourd à la voix d'une mère immortelle, Et d'un père éperdu négligeant les avis, Vais-je y chercher la mort tant prédite à leur fils ? Jamais vaisseaux partis des rives du Scamandre...
Page 19 - Jusques aux courtisans qui me rendent hommage, Mon palais, tout ici n'a qu'un faste sauvage; La nature marâtre en ces affreux climats Ne produit, au lieu d'or, que du fer, des soldats; 20 Son sein tout hérissé n'offre aux désirs de l'homme Rien qui puisse tenter l'avarice de Rome.
Page 143 - Un bruit assez étrange est venu jusqu'à moi , Seigneur; je l'ai jugé trop peu digne de foi. On dit, et sans horreur je ne puis le redire , Qu'aujourd'hui par votre ordre Iphigénie expire...
Page 117 - Enfin Malherbe vint, et, le premier en France, Fit sentir dans les vers une juste cadence, D'un mot mis en sa place enseigna le pouvoir, Et réduisit la muse aux règles du devoir. Par ce sage écrivain la langue réparée N'offrit plus rien de rude à l'oreille épurée.