Introduction à la littérature1849 - Literature - 120 pages |
From inside the book
Results 1-5 of 15
Page xi
... Bergers • Trois sortes d'Eglogues Style de la Bergerie Exemple du Style simple Exemple du Style doux Exemple du Style naïf . Exemple du Style gracieux Règles de la Poésie pastorale Origine de la Poésie pastorale Caractère des principaux ...
... Bergers • Trois sortes d'Eglogues Style de la Bergerie Exemple du Style simple Exemple du Style doux Exemple du Style naïf . Exemple du Style gracieux Règles de la Poésie pastorale Origine de la Poésie pastorale Caractère des principaux ...
Page 11
... berger qui , reve- nant le soir dans sa cabane , trouve sous un berceau de pampre son vieux père qui , sur un banc de gazon dort tranquillement au clair de la lune ; des larmes de joie coulent sur les joues de ce jeune homme , ô toi ...
... berger qui , reve- nant le soir dans sa cabane , trouve sous un berceau de pampre son vieux père qui , sur un banc de gazon dort tranquillement au clair de la lune ; des larmes de joie coulent sur les joues de ce jeune homme , ô toi ...
Page 35
... berger . Je me dévoûrai donc , s'il le faut : mais je pense Qu'il est bon que chacun s'accuse ainsi que moi , Car on doit souhaiter selon toute justice , Que le plus coupable périsse . Sire , dit le renard , vous êtes trop bon roi ; Vos ...
... berger . Je me dévoûrai donc , s'il le faut : mais je pense Qu'il est bon que chacun s'accuse ainsi que moi , Car on doit souhaiter selon toute justice , Que le plus coupable périsse . Sire , dit le renard , vous êtes trop bon roi ; Vos ...
Page 37
... églogue est la peinture poétique du bonheur pas- toral ; on ne peindra donc pas la vie champêtre telle qu'elle est , avec ses occupations viles et dégoûtantes ; E on ne représentera donc pas les bergers tels que sont 37.
... églogue est la peinture poétique du bonheur pas- toral ; on ne peindra donc pas la vie champêtre telle qu'elle est , avec ses occupations viles et dégoûtantes ; E on ne représentera donc pas les bergers tels que sont 37.
Page 38
... bergers , dans l'abondance et dans la paix jouissaient d'un repos tranquille , n'avaient que des occupations agréables et peu pénibles et goûtaient des plaisirs innocens . MATIÈRE DE L'ÉGLOGUE . Tout ce qui peut plaire et intéresser ...
... bergers , dans l'abondance et dans la paix jouissaient d'un repos tranquille , n'avaient que des occupations agréables et peu pénibles et goûtaient des plaisirs innocens . MATIÈRE DE L'ÉGLOGUE . Tout ce qui peut plaire et intéresser ...
Other editions - View all
Common terms and phrases
Achille acteurs Agamemnon Aristophane Athalie badin beauté beaux arts belle nature bergers Boileau CARACTÈRE DES PRINCIPAUX chant choses ciel Cinna cœur colère comédie comique Corbulon Corneille d'images Dieu dieux doit douleur doux Esope espèce Euripide fables fleurs fureur génie genre de poésie gloire goût gracieux Grecs Hector Héraclius héros homme Horace Idylle imitant j'ai jour l'action l'apologue l'églogue l'élégie l'épître l'épopée l'esprit l'expression l'héroïde l'ode Lafontaine lecteur LEICESTER SQUARE Lusiade Madame Deshoulières madrigal malheureux matière maux merveilleux mœurs mort nœud objets ornemens Oronte ouvrage parler passions Patrocle peindre peint peintures pensées peuple philosophique Pindare pitié plaire Plaute pleurs poème poésie didactique POÉSIE DRAMATIQUE poésie épique poésie lyrique poésie pastorale premier Priam PRINCIPAUX POÈTES qualités quelquefois Racan raconte récit poétique renard ridicule rien rois ruisseau sentimens sentiment sera seul sort style simple style sublime sujet tendre Térence terreur tragédie tragique tranchet trembler triste vérité Virgile vraisemblable yeux
Popular passages
Page 118 - La mort a des rigueurs à nulle autre pareilles ; On a beau la prier, La cruelle qu'elle est se bouche les oreilles, Et nous laisse crier. Le pauvre en sa cabane, où le chaume le couvre, Est sujet à ses lois ; Et la garde qui veille aux barrières du Louvre N'en défend point nos Rois. De murmurer contre elle et perdre patience II est mal à propos ; Vouloir ce que Dieu veut est la seule science Qui nous met en repos.
Page 37 - L'âne vint à son tour, et dit : J'ai souvenance Qu'en un pré de moines passant, La faim, l'occasion, l'herbe tendre, et, je pense, Quelque diable aussi me poussant, Je tondis de ce pré la largeur de ma langue ; Je n'en avais nul droit, puisqu'il faut parler net.
Page 120 - Où l'Hèbre effrayé dans son onde Reçut ses membres dispersés, Le Thrace, errant sur les montagnes, Remplit les bois et les campagnes Du cri perçant de ses douleurs ; Les champs de l'air en retentirent, Et dans les antres qui gémirent Le lion répandit des pleurs.
Page 80 - Inventa du sonnet les rigoureuses lois; Voulut qu'en deux quatrains de mesure pareille La rime avec deux sons frappât huit fois l'oreille; Et qu'ensuite six vers artistement rangés Fussent en deux tercets par le sens partagés ; Surtout de ce...
Page 36 - Un mal qui répand la terreur, Mal que le Ciel en sa fureur Inventa pour punir les crimes de la terre...
Page 141 - Même elle avait encor cet éclat emprunté Dont elle eut soin de peindre et d'orner son visage Pour réparer des ans l'irréparable outrage. Tremble , m'at-elle dit , fille digne de moi: Le cruel Dieu des Juifs l'emporte aussi sur toi; Je te plains de tomber dans ses mains redoutables ., Ma fille.
Page 144 - Juste ciell puis-je entendre et souffrir ce langage ? Est-ce ainsi qu'au parjure on ajoute l'outrage ? Moi, je voulais partir aux dépens de ses jours ? Et que m'a fait à moi cette Troie où je cours ? Au pied de ses remparts quel intérêt m'appelle ? Pour qui, sourd à la voix d'une mère immortelle, Et d'un père éperdu négligeant les avis, Vais-je y chercher la mort tant prédite à leur fils ? Jamais vaisseaux partis des rives du Scamandre...
Page 19 - Jusques aux courtisans qui me rendent hommage, Mon palais, tout ici n'a qu'un faste sauvage; La nature marâtre en ces affreux climats Ne produit, au lieu d'or, que du fer, des soldats; 20 Son sein tout hérissé n'offre aux désirs de l'homme Rien qui puisse tenter l'avarice de Rome.
Page 143 - Un bruit assez étrange est venu jusqu'à moi , Seigneur; je l'ai jugé trop peu digne de foi. On dit, et sans horreur je ne puis le redire , Qu'aujourd'hui par votre ordre Iphigénie expire...
Page 117 - Enfin Malherbe vint, et, le premier en France, Fit sentir dans les vers une juste cadence, D'un mot mis en sa place enseigna le pouvoir, Et réduisit la muse aux règles du devoir. Par ce sage écrivain la langue réparée N'offrit plus rien de rude à l'oreille épurée.