La France sous ses rois: essai historique sur les causes qui ont préparé et consommé la chute des trois premières dynasties, Volume 4; Volumes 1675-1759Mme. J. Buynand née Bruyset, 1810 - France |
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alliés Anglais armée armes attaques auroit avoient avoit bataille bataillons Belle-Isle Bouflers çais campagne cardinal Catinat cents Charles chevalier commandoit comte comte d'Estrées confiance conseil cour courtisans d'Espagne d'Estrées Dauphin dignité disgrâces Dubois duc d'Orléans duc de Bourgogne duc de Cumberland duc de Savoie ennemis étoient étoit faisoit Flandre Fleury foible foiblesse forces foule fran française général gloire guerre habitans Hollandais honneurs l'armée l'électeur l'Europe l'honneur laissa Louis XIV Louvois Luxembourg M.me de Maintenon Madame majesté mander maréchal de Berwick maréchal de Broglie maréchal de Noailles maréchal de Saxe maréchal de Villeroi Marlborough marquis ment mille hommes ministre monarque mort n'avoit officiers ordres parut perte Philippe pièces de canon place porta pouvoit prince d'Orange prince Eugène reconnoissance reçut Régence reine de Hongrie rendoit rent royaume s'empara s'étoient s'étoit secours seroit siége soldats souverain succès talens tête tion trône troupes vaisseaux Vauban Vendôme venoit Versailles victoire Villars
Popular passages
Page 40 - Que ne puis-je vous donner mon expérience ! que ne puis-je vous faire voir l'ennui qui dévore les grands, et la peine qu'ils ont à remplir leurs journées ! Ne voyez-vous pas que je meurs de tristesse dans une fortune qu'on aurait peine à imaginer, et qu'il n'ya que le secours de Dieu qui m'empêche d'y succomber?
Page 40 - J'ai été jeune et jolie, j'ai goûté des plaisirs, j'ai été aimée partout; dans un âge un peu avancé, j'ai passé des années dans le commerce de l'esprit* ; je suis venue* à la faveur : et je vous proteste , ma chère fille , que tous les états laissent un vide affreux, une inquiétude, une lassitude, une envie de connaître autre chose, parce qu'en tout cela rien ne satisfait entièrement.
Page 47 - Sa majesté veut qu'on fasse éprouver les dernières « rigueurs à ceux qui ne voudront pas se faire de sa « religion ; et ceux qui auront, la sotte gloire de vou«loir demeurer les derniers, doivent être poussés «jusqu'à la dernière extrémité.
Page 56 - Mon fils, en vous envoyant commander mes armées, je vous donne les occasions de faire connaître votre mérite : allez le montrer à toute l'Europe, afin que, quand je viendrai à mourir, on ne s'aperçoive pas que le roi soit mort.
Page 315 - Votre excellence est trop instruite de tout ce qui se passe, pour ne pas deviner celui qui mit tout en œuvre pour déterminer le roi à entrer dans une ligue qui était si contraire à mon goût et à mes principes.
Page 215 - Mon Père , j'ai entendu plusieurs grands orateurs dans ma chapelle ; j'en ai été fort content : pour vous, toutes les fois que je vous ai entendu , j'ai été très-mécontent de moi-même.
Page 270 - Je vous prie, madame, et s'il le faut, je vous ordonne de faire tout ce que l'évêque de Fréjus vous dira de ma part , comme si c'était moi-même. Louis. » (11 juin 1726.) Il fallut l'intervention de la police pour empêcher le peuple de Paris de faire des feux de joie. Hinisl.V.- de Flenry (1723-1743; : affaire» intérieures, le
Page 252 - Lundi, j'achetai des actions ; Mardi, je gagnai des millions ; Mercredi, j'arrangeai mon ménage, Jeudi, je pris un équipage, Vendredi, je m'en fus au bal, Et Samedi, à l'Hôpital.
Page 37 - Madame , je vous ai fait attendre longtemps ; mais vous avez tant d'amis, que j'ai voulu avoir seul ce mérite auprès de vous.
Page 400 - La charge de» évéques est d'autant plus grande, qu'ils doivent rendre compte des rois mêmes au jugement de Dieu. Car vous savez, qu'encore que votre dignité vous élève au-dessus du genre humain, vous baissez la tête devant les prélats, vous recevez d'eux les sacrements, et leur êtes soumis dans l'ordre de la religion.