Traité de numismatique du moyen âge: Depuis la fin de l'époque carolingienne jusqu'à l'apparition du gros d'argentLeroux, 1894 - 1459 pages |
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Expressions et termes fréquents
Abbaye accostée annelets archevêques argent le Roy assis de face ateliers attribue battre monnaie bifaces Boleslas bractéates buste de face Canut carolingien champ CIVI CIVITAS coins Cologne COMES comte Concession Conrad croisettes croix cantonnée croix pattée crosse d'argent d'Henri d'Otton Dannenberg deniers deniers frappés deniers portant duché édifice Édouard le Confesseur émissions empereurs épiscopal espèces esterlins Étienne évêques fabrication fils Frédéric Barberousse gauche globules Godefroid Guillaume Harold Harthacnut Henri Henri III Hugues impérial Jean l'abbaye l'archevêque l'écu l'effigie l'empereur l'évêque légende circulaire lettres lion Louis Louis IX Louis VII maailles marc mitré moneta monétaire monetam monnaies monnaies frappées monnayage monogramme Münzen nom de l'atelier numism numismatique oboles Otton Otton III parfois petiz Philippe Philippe d'Alsace pièces portant à l'avers prince profil Raymond règne revers Robert saint sceptre seigneur Sigefroid Soest successeurs suiv temple Thierry tournois trouvaille type se compose XIIe siècle
Fréquemment cités
Page 471 - Bourgogne moderne ; aux deuxième et troisième bandé d'or et d'azur, de six pièces, à la bordure de gueules qui est...
Page 405 - Châleau-Villain (Château-Meillant), mère au seigneur de Sully. Les deniers doivent estre à iij d. vj grains de loy argent le roy, et de xx s. de pois au marc de Paris, et les maailles de la dite monnoie doivent estre a ij d.
Page 828 - En 1284, Jeanne épousa Philippe le Bel, roi de France. Le monnayage navarrais cessa jusqu'au moment où le royaume eut passé à la maison d'Évreux. § VII. — Royaume de Portugal. Henri de Bourgogne, petit-fils de Robert I duc de Bourgogne, étant venu au secours d'Alfonse VI, roi de Castille et de Léon, contre les Maures, avec Raimond, comte de Toulouse, Raimond de Bourgogne et d'autres seigneurs français, reçut vers 1095, pour récompense...
Page 409 - Paris, et ne pourront faire que le dixiesme de maailles; c'est à dire, ixc 1. de deniers et c 1. de maailles doubles, et ainsi vaudront les deniers et les maailles dessus dictes, avalué l'un parmi l'autre, aus petiz tournoiz et aus oboles tournoiz v s.
Page 413 - Lymoges, les deniers doivent estre à iij d. xvj grains de loy argent le roy et de xix s. vj d. de pois au marc de Paris, hem, les maailes de la dicte monnoie doivent estre à iij d.
Page 391 - Roy, et de xix s. vj d. de pois, au marc de Paris, et les maailles doivent estre de ij d. xxj grains de loy, argent le Roy, et xvifs. iiij d. maailles doubles au marc de Paris ; et ne pourront faire que le x* de maailles, c'est à dire ix.
Page 523 - Tout l'argent monnayé, résume M. Schlumberger, devait, au bout de chaque année, retourner à la Monnaie; chaque habitant était forcé, sous les peines les plus graves, d'y apporter le sien, et pas un pfennig ne devait en être détourné pour un autre usage. Une fois rapporté à l'atelier monétaire, l'ancien argent était refondu et rendu, sous forme de bractéates, à ses anciens possesseurs, et le droit monstrueux de l'époque forçait chaque habitant à acheter ces nouveaux pfennigs par...
Page 771 - Essai sur les monnaies du comté de Bourgogne depuis l'époque gauloise jusqu'à la réunion de la FrancheComté à la France sous Louis XIV, p.
Page 484 - ... d. maailles doubles de pois au marc de Paris, et ne porront faire que la xe partie de maailles, c'està-dire ixc 1.