Histoire financière de la France: depuis l'origine de la monarchie jusqu'à la fin de 1786, Volume 2Moutardier, 1830 - Finance |
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abonnés acquitter années annuellement Arrêt du conseil avaient bail bénéfices billets caisse Calonne campagnes capitation cent mille livres centième denier chambre des comptes charges clergé Colbert commerce comptables contribuables contrôleur général cour des aides d'amortissement d'impositions d'offices deniers dépenses devait dîmes dixième don gratuit édits emprunts établis évaluation ferme générale fermiers finances Forbonnais frais François Ier gabelles gages gouvernement guerre impositions impôts intérêts l'abbé Terray l'administration l'édit l'état l'Etat au vrai l'impôt lit de justice livre tournois lods et ventes loterie Louis XIV Louis XVI magistrats Mémoire ment millions ministre monnaies montant Monthion Moreau de Beaumont moyen n'était Necker officiers opérations paiement pays d'élection pays d'états perception perçus portée priviléges produit provinces public recettes receveurs généraux recouvrement réduction réformes régence régie remboursement Remontrances rentes répartition reporter ressources résultat retenue revenus royaume seulement somme taille taxes tion total trésor royal tributs Turgot versé au trésor viagères vingtième
Popular passages
Page 314 - L'académicien qui était alors directeur, continue Charles Perrault, alla, suivi de toute la compagnie en corps , haranguer le roi à SaintGermain , à la suite du parlement , de la chambre des comptes et de la cour des aides.
Page 200 - ... de notre cœur, et nous nous occupons déjà des moyens de les réduire à des bornes convenables. De tels sacrifices ne nous coûteront rien dès qu'ils pourront tourner au soulagement de nos sujets ; leur bonheur fera notre gloire , et le bien que nous pourrons leur faire sera la plus douce récompense de nos soins et de nos travaux.
Page 204 - Majesté permet de faire circuler librement les vins dans toute l'étendue du royaume, de les emmagasiner, de les vendre en tous lieux et en tout...
Page 40 - comme la source des plus grands maux. » Ne faites donc jamais la guerre que pour » vous défendre , ou pour défendre vos » alliés. Je vous avoue que, de ce côté-là, » je ne vous ai pas donné de bons exem» pies : mais aussi c'est la partie de ma vie » et de mon gouvernement dont je me re
Page 40 - ... ment la guerre , comme la source des plus grands « maux. Ne faites donc jamais la guerre que pour vous « défendre , ou pour défendre vos alliés. Je vous avoue « que de ce côté-là je ne vous ai pas donné de bons * exemples. Ne m'imitez pas : c'est la partie de ma vie « et de mon gouvernement dont je me repens davan- J7l5.
Page 265 - Paris, ces forteresses de mauvais goût à l'usage des gens de l'octroi, et dont la folle que pécuniaires, non compris une forte partie de droits et de devoirs féodaux, dont l'évaluation serait impossible. Dans cette masse de tributs équivalente à plus d'un milliard deux cents millions de francs, à peine cinq cent dix millions de livres étaient livrées au nom du roi... Il ne restait pas deux cents millions à l'État.
Page 266 - Il ne restait pas deux cents millions à l'État. Ce faible reliquat de tant de tributs, déjà bien inférieur aux dépenses de la couronne et du gouvernement, disparaissait, pour les trois quarts, sous la forme des acquits au comptant, qui absorbaient cent trente-six et jusqu'à cent quarante-cinq millions chaque année.
Page 58 - ... je sais que plusieurs d'entre eux emploient leur autorité plutôt à protéger les riches qu'à soulager les pauvres, et que les frais qu'on fait toujours payer par préférence à la taille, en empêchent ou en retardent le recouvrement.
Page 177 - ... sont pénétrés de la douleur la plus profonde, que la dispersion des membres de votre parlement annonce l'anéantissement des formes les plus anciennes, que toute nouveauté est dangereuse, que l'interversion des...
Page 200 - Pour remplir ces trois points, il n'ya qu'un moyen. C'est de réduire la dépense au-dessous de la recette, et assez au-dessous pour pouvoir économiser chaque année une vingtaine de millions, afin de rembourser les dettes anciennes.