Les ressources de Quinola: comédie en cinq actes, en prose, et précédée d'un prologueHyppolite Souverain, 1842 - 144 pages |
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aime ALCADE Alfonso Fontanarès alguazils allons amour avez balcon Barcelonne CAPITAINE DES GARDES Carpano Catalogne cent sequins cher chose cœur comte Sarpi COPPOLUS couvent d'Espagne démon Dieu dire dix mille sequins DON FRÉGOSE DONA LOPEZ DUC D'OLMEDO DUC DE LERME duc de Neptunado duègne enfant Est-ce ESTEBAN êtes FAUSTINE femme fille FONTANARES fortune galerie GIRONE gloire HALLEBARDIER homme de génie invention j'ai jeune homme l'amour l'hôte du Soleil L'INQUISITEUR Lavradi Lombard Lothun m'aime machine madame Brancador main maître maravédis Marie Lothundiaz marquise de Mondéjar MATHIEU MAGIS mille écus d'or monde MONIPODIO monseigneur monsieur ognon ouvriers palais PAQUITA pauvre père Pétrarque pièce première représentation raison république de Venise Ressources de Quinola reste rien saint-office sais savant SCÈNE PREMIÈRE SCÈNE VII SCÈNE XIV secret seigneur Avaloros sera seul Sire Soleil d'or vais vaisseau valet Valladolid vapeur venir Venise veux vice-roi Vive don Ramon voici voilà voulez-vous
Popular passages
Page 40 - était-il sous mes fenêtres, oui ou non : répondez sur votre honneur de gentilhomme? . DON FRÉGOSE. Il peut se trouver aux environs, afin d'empêcher qu'on ne fasse un méchant parti dans les rues à nos joueurs. FAUSTINE. Stratagème de vieux général ! Je saurai la vérité. Si vous m'avez trompée, je ne vous revois de ma vie.
Page 78 - vous prêtez votre nom au seigneur Avaloros. MATHIEU MAGIS. Je connais le seigneur Avaloros, un banquier; nous faisons quelques affaires , mais il a un trop beau nom sur la place et trop de crédit dans la Méditerranée pour avoir jamais besoin du pauvre Mathieu Magis... FAUSTINE. Tu es discret, Lombard. Si je veux agir sous
Page 46 - à grandes visées. Les filles élevées dans nos familles n'ont pas besoin de prodiges, mais d'un homme qui se résigne à s'occuper de son ménage, et non des affaires du soleil et de la lune. Être bon père de famille est le seul prodige que je veuille en ceci. FONTANARÈS. A l'âge de douze ans, votre
Page 23 - Vous vous dites inventeur, et vous ne pensez qu'à la fortune! Vous êtes plus ambitieux qu'homme de génie. FONTANARÈS. Mon père, je suis si profondément irrité de la jalousie du vulgaire, de l'avarice des grands, de la conduite des faux savants, que... si je n'aimais pas Marie, je rendrais au hasard ce que le hasard m'a donné.
Page 96 - MAGIS, à Monipodio. Qui donc est ce seigneur si savant ? MONIPODIO. Un homme immense auprès de qui je m'instruis dans la balistique, le directeur de l'arsenal de Venise qui va vous rembourser ce soir pour le compte de la république. MATHIEU MAGIS. Courons avertir madame Brancador, elle est de Venise. SCÈNE XIV. LES PRÉCÉDENTS
Page 84 - triple chien. FONTANARÈS. Y pensez-vous? MATHIEU MAGIS. Les capitaux sont sans foi... QUINOLA. Sans espérance ni charité, les écus ne sont pas catholiques. MATHIEU MAGIS. A qui vient toucher une lettre de change, nous ne pouvons pas dire : « Attendez, un homme de talent est en train de chercher une mine d'or dans un grenier
Page 84 - Ça a une femme. QUINOLA. Et si ça fait des petits, ils mangeront la Catalogne. MATHIEU MAGIS. J'ai de lourdes charges. FONTANARÈS. Vous voyez comme je vis. MATHIEU MAGIS. Eh! monsieur, si j'étais riche, je vous prêterais... (Quinola tend la main] de quoi vivre mieux. FONTANARÈS. Attendez encore quinze jours. MATHIEU MAGIS, à part.
Page 101 - Dans trois mois , comte Sarpi, et sans aide, j'aurai fini mon œuvre. Vous verrez alors un des plus grands spectacles qu'un homme puisse donner à son siècle. SARPI. Voici votre engagement, signez-le... ( Fontanarès va signer.) MARIE. Adieu, mon ami ! Si vous succombiez dans cette lutte, je crois que je vous aimerais encore davantage.
Page 115 - Mon cousin, n'avez-vous pas les dispenses nécessaires pour célébrer à l'instant votre mariage avec Marie Lothundiaz? SARPI. Et par les soins du bonhomme, le contrat est tout prêt. FAUSTINE. Eh bien! prévenez au couvent des Dominicains, à minuit vous épouserez, et de son consentement, la riche héritière; elle acceptera tout, en voyant (bas,
Page 68 - pour vous l'offrir. Vous ne savez donc pas que votre galerie de tableaux m'a coûté presque toute ma fortune? FAUSTINE. Paquita. FRÉGOSE. Et que je vous donnerais jusqu'à mon honneur. SCÈNE IX. LES MÊMES, PAQUITA. FAUSTINE , à Paquita. Dis à mon majordome de faire porter les tableaux de ma galerie chez don Frégose.