Friedrich Heinrich Jacobi's werke, Volume 6G. Fleischer, 1825 - Philosophy, German |
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Common terms and phrases
Absicht Aegyptier Alexis Archytas Bedürfniß Begierde Begriffe blos bloß Capital chen China Chineser Commerzes Daseyn Demophoon dern diejenigen dieſe dieß Dinge Diokles eben Eigenthums einander einige Empfindung Erde Erkenntniß ersten Eutin finden folglich Freiheit ganze Gefühl Gegenstand Geist Geld gemeinen Genuß Gesek Gesellschaft Geseze Getraide Gewalt gewiß gewiſſen giebt glauben gleich Gott großen Grunde håtte heißt Herrn Wieland Hesiod höchsten höheren Ideen irgend iſt Jupiter könnte Kornhåndler Kraft Kunst Lande laſſen läßt Leben lehten lich Liebe ließ machen macht Manufaktur Maß Menge Menschen muß müſſen nåmlich Natur nothwendig Pekin Philosophen Platon Recht Reichthum Religion Sache sagt scheint Seele sehen ſeine ſelbſt seyn ſich ſie ſind Sinnlichkeit Sokrates soll Staat Stande Stärke Theil Thiere thun Triebe Tugend Ueberfluß Ueberflüssigen unmit unsere Ursache Vermögen Vernunft verschiedenen Verstand viel Volk Vortheil Waaren wahr Wahrheit wåre Weise weiß wenig Werth Wesen wieder Willkühr wirklich Wissenschaften wohl Wort Zweck zwei
Popular passages
Page 68 - Platon dit souvent que l'amour du beau est tout le bien de l'homme, que l'homme ne peut être heureux en soi, et que ce qu'il ya de plus divin pour lui c'est de sortir de soi par l'amour; et en effet, le plaisir qu'on éprouve dans le transport des passions n'est qu'un effet de la pente de l'âme pour sortir de ses bornes étroites et pour aimer hors d'elle le beau infini.
Page 68 - ... mais enfin cet amour qui préfère le parfait infini à soi est un mouvement divin et inspiré, comme parle Platon. Cette impression est donnée à l'homme dès son origine. Sa perfection est tellement de sortir de soi par l'amour qu'il veut sans cesse persuader et aux autres et à soimême qu'il aime sans retour sur soi les amis auxquels il s'attache. Cette idée est si forte...
Page 69 - Mais cette idée qui nous étonne est le fondement de toute amitié et de toute justice. Nous ne pouvons ni accorder l'amour-propre avec cette idée ni l'abandonner; elle est ce qu'il ya de plus divin en nous.
Page 440 - L'origine des corps et collèges est venue de la famille, comme du tige principal, duquel estant sorti plusieurs branches, il fust nécessaire de bastir maisons, puis hameaux et villages, et voisiner en sorte, qui'l semblast que ce ne fust qu'une...
Page 440 - Cette licence et impunité de voler contraignit les hommes qui n'avaient encore princes ni magistrats de se joindre par amitié pour la défense les uns des autres et faire communautés et confréries...
Page 253 - Recherches Philosophiques sur les Egyptiens et les Chinois par M. de Pauw.
Page 440 - ... la republique ne peut estre sans famille, non plus que la ville sans maison , ou la maison sans fondement . . . De la famille sont venus les corps et collèges, et de ceuxcy la république.
Page 530 - Te maris et terrae numeroque carentis harenae mensorem cohibent, Archyta, pulveris exigui prope litus parva Matinum muñera, nee quicquam tibi prodest aerias temptasse domos animoque rotundum percurrisse polum morituro. occidit et Pelopis genitor, conviva deorum, Tithonusque remotus in auras, et...
Page 441 - ... refroidie et du tout éteinte si elle n'eût été rallumée, nourrie et entretenue par alliances, communautés, corps et collèges: l'union desquels a maintenu plusieurs peuples sans forme de république ni puissance souveraine : comme on voit au livre des Juges où il est écrit que le peuple...