Le maréchal de camp Desandrouins, 1729-1792: guerre du Canada 1756-1760; guerre de l'indépendance américaine 1780-1782 |
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Le Maréchal de Camp Desandrouins, 1729-1792: Guerre Du Canada 1756-1760... Charles Nicolas Gabriel No preview available - 2018 |
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américain Androüins Anglais arrivé attaquer avaient avoit baie bataillons bateaux batterie Béarn berges Berry blessés bord Bougainville Bourgogne Bourlamaque braves Canada Canadiens canot capitaine Desandroüins Carillon chemin chevalier de Lévis Chouaguen Cinq-Nations colonel de Bourlamaque Colonie commandant compagnies de grenadiers côté coups de fusil débarquement Desan droüins ennemis envoyé étoient étoit fleuve flotte fort Ontario François frégate Frontenac garnison gauche général Desandroüins guerre Guyenne heures du matin hommes ingénieur Iroquois J'avois jour juillet l'Amérique l'armée l'artillerie l'ennemy l'escadre lac Champlain lac Ontario lac Saint-Sacrement laisser lieues Louisbourg Lydius maréchal de camp marine marquis de Montcalm marquis de Vaudreuil matelots ment Montréal munitions naufrage Niagara Niouré nuit officiers ordre Papiers du général passer pension Pinsun piquets portage Porto-Cabello poste prisonniers Québec Recueil et Journal régiment reste retranchements rive rivière Rochambeau Royal-Roussillon Saint-Frédéric Saint-Laurent Sarre Sauvages secours seul siège soldats sorte terre toises troupes trouve Verdun William-Henry
Popular passages
Page 414 - Il faut , établir des écoles publiques, où l'on enseigne la " crainte des dieux, l'amour de la patrie, le respect des lois, la préférence de l'honneur aux plaisirs et à la vie même.
Page 108 - ... rhum et autres liqueurs fortes dont ils s'enivrèrent. Alors, ce furent de véritables tigres en fureur. Le casse-tête à la main, ils tombèrent impitoyablement sur les Anglais qui, remplis d'effroi, achevèrent de se disperser, se croyant à la fin véritablement sacrifiés par les Français. " Aucun d'entre eux ne songea à chercher son salut ailleurs que dans la fuite. Notre escorte, trop peu nombreuse, protégea autant qu'elle put, principalement les officiers. Mais, forcée de garder les...
Page 105 - Quand il fit jour, continue Desandrouins , on entreprit enfin de se mettre en route. M. de Laas fit précéder la colonne par un détachement de son escorte, et recommanda aux Anglais de se tenir toujours serrés et de suivre sans intervalles. Lui-même se tint à la porte du camp pour faire filer. « Toutes ces précautions, ces variations dans les arrangements du départ, ces faux avis et les cérémonies que nous observions pour traiter avec des sauvages, et surtout cette manière timide et circonspecte...
Page 106 - Anglais, un peu écartés, se crurent trop heureux de livrer leurs sacs ou leurs armes pour rejoindre le gros de la troupe. D'autres sauvages pillèrent dans le camp quelques effets abandonnés. Les nègres qu'ils purent saisir furent enlevés sans scrupule, et peut-être aussi quelques blancs de la suite de l'armée, dans ce premier moment de confusion. " Il était encore possible de rétablir l'ordre, et les officiers de l'escorte s'y employèrent de leur mieux. Mais ceux- des sauvages qui...
Page 109 - Puisque vous êtes des enfants rebelles, qui manquez à la promesse que vous avez faite à votre père, et qui ne voulez plus écouter sa voix, tuez -le le premier ». « Cette véhémence extraordinaire du général parut en imposer un peu; ils se dirent :
Page 268 - Ordre, et recevoir de lui l'accolade et la croix que vous devez dorénavant porter sur l'estomac, attachée d'un petit ruban couleur de feu : voulant qu'après cette réception faite, vous teniez rang entre les autres chevaliers dudit Ordre, et jouissiez des honneurs qui y sont attachés.
Page 109 - ... accourent et donnent ordre d'employer la vive force, s'il le faut. Interprètes, officiers, missionnaires, Canadiens, tous sont mis en œuvre, et chacun s'efforce de son mieux à sauver les malheureux Anglais, en les arrachant à leurs bourreaux. " Ceux-ci, enivrés de sang et de carnage, n'étaient plus capables d'écouter personne. Plusieurs assomment leurs prisonniers plutôt que de les abandonner, un grand nombre les entraînent dans leurs canots et ' s'échappent. " M. de Montcalm, au désespoir...
Page 268 - Lévis, maréchal de camp en mes armées et chevalier du dit ordre, pour, en mon nom vous recevoir et admettre à la dignité de chevalier de Saint-Louis...
Page 87 - ... dans les approches des places d'Europe. « Le camp retranché , séparé du fort par le « grand marais dont nous avons parlé, était placé « sur une hauteur très avantageuse qui domine le « fort, et qui est encore bordée par un marais du « côté de l'est. Les retranchements en étaient « faits de troncs d'arbres posés les uns sur les
Page 104 - On délibéra avec les officiers et les interprètes; ils s'accordèrent à conseiller d'attendre le jour, promettant d'aller engager les barbares à se retirer et s'obligeant de les contenir. « En conséquence, ils quittèrent le camp anglais pour les aller joindre ; mais ils les trouvèrent tranquilles, ne songeant qu'à dormir. Dès lors ils crurent pouvoir eux-mêmes se livrer au repos.